Pour le danois Bjorn Lomborg qui cite une étude du Lancet, le réchauffement climatique épargne 166 000 vies chaque année.
Les augmentations de température de 2000 à 2019 ont causé davantage de morts à cause de la chaleur (116K) que par le passé, mais aussi moins de morts à cause du froid (-283 K). Globalement, donc le réchauffement climatique épargne 166 000 vies chaque année.
Cela ne correspond pas au récit catastrophiste sur le climat, Facebook l’a donc censuré. Bjorn Lomborg ajoute : « nous sommes mal informés quand les médias ne rapportent que les décès dus à la chaleur ».
Bjørn Lomborg (né le 6 janvier 1965) est un statisticien danois, professeur à l’École de commerce de Copenhague et ancien directeur de l’Environmental Assessment Institute à Copenhague. Il a acquis une renommée internationale pour son livre polémique L’Écologiste sceptique (publié en danois en 1998, puis en français en 2004).
166 000 décès évités
Les morts dus au froid l’emportent largement sur les morts dus à la chaleur. Ceci est de notoriété publique dans la littérature académique et par exemple, le Lancet constate que chaque année, près de 600 000 personnes meurent dans le monde de la chaleur, mais 4,5 millions du froid.
De plus, lorsque les chercheurs incluent des températures croissantes de 0,26 °C/décennie, ils constatent que les décès par chaleur augmentent, mais les décès par froid diminuent de plus du double :
Ou directement de l’article :
Écologie — Non, le ciel ne nous tombera pas sur la tête !
En 1839, on se félicitait, on se vantait même du réchauffement des climats froids
« On a basculé dans l’antiscience »
J-P. Le Goff : « L’écologie participe des nouvelles formes de spiritualités diffuses »Hystérie climatique : « la science est davantage en danger que la planète » selon le professeur Richard Lindzen du MIT
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