Mise à jour du 6 décembre 2017
Les mauvais chiffres se confirment. Le nombre de naissances des neuf premiers mois de 2017 est le plus bas depuis dix ans (2007) alors que l’immigration a été la principale cause d’une augmentation de 9 % de la population pendant cette période passant de 7 692 736 âmes en 2007 à 8 394 034 en 2017. Si le dernier trimestre est à l’aune des neuf premiers mois, la natalité et la fécondité québécoises en 2017 risquent donc d’être plus basses qu’en 2016. L’indice synthétique de fécondité devrait être proche de 1,55 enfant/femme, malgré les sommes énormes investies dans les garderies syndicalisées (CPE).
Mise à jour du 7 septembre 2017
Les mauvais chiffres se confirment. Le nombre de naissances des six premiers mois de 2017 est le plus bas depuis dix ans (2007) alors que l’immigration a été la principale cause d’une augmentation de 10 % de la population pendant cette période. Le nombre de décès est également en forte hausse par rapport à 2008.
Mise à jour de 2 août 2017
Les chiffres provisoires des cinq premiers mois sont désormais disponibles. Ils ne sont pas bons du tout. Il n’y a jamais eu aussi peu de naissances au Québec depuis 2007 pendant les cinq premiers mois de l’année alors que la population y a crû d’un peu moins de 10 % (très majoritairement à cause de l’immigration) !
Billet originel du 10 juillet 2017
Nous l’avons déjà vu, l’indice de fécondité des Québécois est en baisse depuis 7 ans. Il est passé de 1,73 enfant/femme en 2009 à 1,59 enfant/femme en 2016. On estime qu’il faut 2,1 enfants/femme pour remplacer les générations. Taux que le Québec n’a plus atteint depuis 1970.
Le taux de fécondité du Japon que l’on cite souvent comme catastrophique est actuellement de 1,46 enfant/femme. Le taux de fécondité du Canada est dans l’ensemble le même que celui du Québec, en dépit de l’absence de politique très dispendieuse d’aide aux frais de garde des jeunes enfants au Canada. [Voir Démographie : même taux de natalité au Canada qu’au Québec, sans « politique familiale »]
Aucun parti politique ne semble se préoccuper de ce taux de fécondité anémique qui augure mal pour la survie du peuple francophone québécois. Tous pensent que l’immigration comblera le manque de naissances. Les difficultés d’intégration économique (le chômage est plus important parmi les minorités ethniques), linguistique, culturelle et religieuse dans la société québécoise ne semblent pas préoccuper les politiciens outre mesure. Certains partis semblent même surtout voir dans cette immigration nombreuse de futurs consommateurs et électeurs fédéralistes.
Les chiffres prévisionnels des naissances pour les quatre premiers mois de 2017 sont sortis et ils ne sont pas bons. Il n’y a jamais eu aussi peu de naissances au Québec depuis 2007 alors que la population y a cru d’un peu moins de 10 % (très majoritairement à cause de l’immigration).
Les décès sont également en hausse depuis 10 ans (+ 15 %) bien que l’augmentation de ceux-ci soit plus irrégulière.
Les mauvais chiffres se confirment. Le nombre de naissances des neuf premiers mois de 2017 est le plus bas depuis dix ans (2007) alors que l’immigration a été la principale cause d’une augmentation de 9 % de la population pendant cette période passant de 7 692 736 âmes en 2007 à 8 394 034 en 2017. Si le dernier trimestre est à l’aune des neuf premiers mois, la natalité et la fécondité québécoises en 2017 risquent donc d’être plus basses qu’en 2016. L’indice synthétique de fécondité devrait être proche de 1,55 enfant/femme, malgré les sommes énormes investies dans les garderies syndicalisées (CPE).
Mise à jour du 7 septembre 2017
Les mauvais chiffres se confirment. Le nombre de naissances des six premiers mois de 2017 est le plus bas depuis dix ans (2007) alors que l’immigration a été la principale cause d’une augmentation de 10 % de la population pendant cette période. Le nombre de décès est également en forte hausse par rapport à 2008.
Mise à jour de 2 août 2017
Les chiffres provisoires des cinq premiers mois sont désormais disponibles. Ils ne sont pas bons du tout. Il n’y a jamais eu aussi peu de naissances au Québec depuis 2007 pendant les cinq premiers mois de l’année alors que la population y a crû d’un peu moins de 10 % (très majoritairement à cause de l’immigration) !
Billet originel du 10 juillet 2017
Nous l’avons déjà vu, l’indice de fécondité des Québécois est en baisse depuis 7 ans. Il est passé de 1,73 enfant/femme en 2009 à 1,59 enfant/femme en 2016. On estime qu’il faut 2,1 enfants/femme pour remplacer les générations. Taux que le Québec n’a plus atteint depuis 1970.
Le taux de fécondité du Japon que l’on cite souvent comme catastrophique est actuellement de 1,46 enfant/femme. Le taux de fécondité du Canada est dans l’ensemble le même que celui du Québec, en dépit de l’absence de politique très dispendieuse d’aide aux frais de garde des jeunes enfants au Canada. [Voir Démographie : même taux de natalité au Canada qu’au Québec, sans « politique familiale »]
Aucun parti politique ne semble se préoccuper de ce taux de fécondité anémique qui augure mal pour la survie du peuple francophone québécois. Tous pensent que l’immigration comblera le manque de naissances. Les difficultés d’intégration économique (le chômage est plus important parmi les minorités ethniques), linguistique, culturelle et religieuse dans la société québécoise ne semblent pas préoccuper les politiciens outre mesure. Certains partis semblent même surtout voir dans cette immigration nombreuse de futurs consommateurs et électeurs fédéralistes.
Les chiffres prévisionnels des naissances pour les quatre premiers mois de 2017 sont sortis et ils ne sont pas bons. Il n’y a jamais eu aussi peu de naissances au Québec depuis 2007 alors que la population y a cru d’un peu moins de 10 % (très majoritairement à cause de l’immigration).
Voir aussi
Encore moins de bébés au Québec en 2016
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Canada — un pays non blanc vers le milieu de ce siècle ?
Les principaux dirigeants européens n’ont pas d’enfants
France — Hollande n’a pas réussi à inverser les mauvais indicateurs économiques, mais bien la natalité
1 commentaire:
Et évidemment tant de ceux qui déploreront cet état de fait seront des francophones sans enfant (ou avec un ou deux enfants ce qui est insuffisant) et prôneront des valeurs « progressistes » antinomiques avec un taux de natalité plus haut (l'important c'est la carrière des femmes, l'avortement c'est super, l'hédonisme c'est le nec plus ultra, les vacances y a rien de mieux, etc.)
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