Lu dans le Point du 6 mars 2014 une critique exaltée du documentaire « La Tour de Babel ». Dans celui-ci, l’on montre de jeunes immigrés qui viennent d’arriver en France. Ils sont Irlandais, Serbes, Brésiliens, Tunisiens, Chinois ou Sénégalais... Pendant un an, Julie Bertuccelli a filmé les échanges, les conflits et les joies de ce groupe de collégiens âgés de 11 à 15 ans, réunis dans une même classe d’accueil pour apprendre le français.
Dans ce petit théâtre du monde s’expriment l’innocence, l’énergie et les contradictions de ces adolescents qui, animés par le même désir de changer de vie, remettraient en cause beaucoup d’idées reçues sur la jeunesse et l’intégration. Ce documentaire qui joue sur les sentiments se veut résolument optimiste.
Selon le Nouvel Obs, la militante réalisatrice Julie Bertuccelli voulait aussi montrer que « cette différence est une grande richesse, surtout aujourd’hui avec tous les discours nauséabonds qu’on entend ».
Dans ce creuset miniature, on suit de jeunes gens désireux de « faire un futur en France ». Xin, petite Chinoise mutique en septembre, se montre de plus en plus souriante et épanouie au fil de l’année. Les frictions et les sujets délicats comme la religion ne sont pourtant pas éludés. Les élèves débattent et s’écharpent autour des religions, du big bang et même des extraterrestres.
Mais, selon Le Point, « le doute cartésien finit par l’emporter sur les croyances, et Djenabou peut conclure par un « On ne sait même pas si Dieu il existe ! », preuve que l’école de Jules Ferry a encore un sens. »
En quoi cette école est-elle alors neutre sur le plan des croyances des enfants, si le scepticisme religieux ou l’agnosticisme s’y impose et que par là elle montre que l’école de Jules Ferry a encore un sens ?
Dans ce petit théâtre du monde s’expriment l’innocence, l’énergie et les contradictions de ces adolescents qui, animés par le même désir de changer de vie, remettraient en cause beaucoup d’idées reçues sur la jeunesse et l’intégration. Ce documentaire qui joue sur les sentiments se veut résolument optimiste.
Selon le Nouvel Obs, la militante réalisatrice Julie Bertuccelli voulait aussi montrer que « cette différence est une grande richesse, surtout aujourd’hui avec tous les discours nauséabonds qu’on entend ».
« Dieu n'est pas dans la classe », de dire la prof comme dernière remarque...
Dans ce creuset miniature, on suit de jeunes gens désireux de « faire un futur en France ». Xin, petite Chinoise mutique en septembre, se montre de plus en plus souriante et épanouie au fil de l’année. Les frictions et les sujets délicats comme la religion ne sont pourtant pas éludés. Les élèves débattent et s’écharpent autour des religions, du big bang et même des extraterrestres.
Mais, selon Le Point, « le doute cartésien finit par l’emporter sur les croyances, et Djenabou peut conclure par un « On ne sait même pas si Dieu il existe ! », preuve que l’école de Jules Ferry a encore un sens. »
En quoi cette école est-elle alors neutre sur le plan des croyances des enfants, si le scepticisme religieux ou l’agnosticisme s’y impose et que par là elle montre que l’école de Jules Ferry a encore un sens ?
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