Une académie des sciences offre un prix pour la meilleure étude sur les chameaux.
L'érudit français se rend au Jardin des Plantes, s'assoit sur un banc à côté des chameaux, observe les animaux pendant un après-midi et, ce soir-là, écrit un essai de réflexion intitulé « Le Chameau et moi ».
Une scientifique anglaise passe six mois à voyager à travers l'Arabie, où elle recueille d'abondantes
données et publications, dans Nature, "The Camel in Numbers" (« Le Chameau en chiffres »).
Pour sa part, un savant allemand a consacré deux années entouré d'une bibliothèque pour présenter l'étude de 400 pages « Der Begriff des Kamels » (« Le concept du chameau »).
L'érudit français se rend au Jardin des Plantes, s'assoit sur un banc à côté des chameaux, observe les animaux pendant un après-midi et, ce soir-là, écrit un essai de réflexion intitulé « Le Chameau et moi ».
Une scientifique anglaise passe six mois à voyager à travers l'Arabie, où elle recueille d'abondantes
données et publications, dans Nature, "The Camel in Numbers" (« Le Chameau en chiffres »).
Pour sa part, un savant allemand a consacré deux années entouré d'une bibliothèque pour présenter l'étude de 400 pages « Der Begriff des Kamels » (« Le concept du chameau »).
Un universitaire américain, qui n'a jamais vu un vrai chameau de sa vie et qui n'a utilisé que des études de seconde main exclusivement écrites en anglais au cours des deux dernières décennies, a présenté un essai intitulé "Re-thinking and negociating the camel identity" (Repenser et négocier l'identité du chameau), expliquant que seuls les chameaux sont légitimes pour disserter sur le fait d'être un chameau.
Le gagnant devrait être annoncé le 1er avril l'année prochaine.
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