Le gouvernement de l’Ontario, dirigé par Kathleen Wynne (qui se revendique ouvertement comme lesbienne), a présenté son nouveau programme d’éducation sexuelle. Il introduit les enfants à la théorie du genre dès la 3e année du primaire (9 ans).
Face à la pression de groupes conservateurs, les libéraux ontariens avaient annulé, en 2010, la mise à jour du programme d’éducation sexuelle de la province. Cela signifie que le curriculum n’a pas évolué depuis 1998, soit bien avant l’arrivée des médias sociaux, des téléphones intelligents et de pratiques telles que le sextage. C’est là le prétexte de la mise à jour. Bien évidemment personne n’est contre le fait que l’on dise aux enfants de ne pas envoyer de photos compromettantes sur Internet par exemple. Mais cette révision du programme s’accompagne également d’une introduction à une théorie (présentée ici comme un fait) : la théorie du genre selon laquelle l’identité sexuelle est une construction sociale sans rapport avec la biologie et que les élèves peuvent la construire à leur gré et en changer. Évidemment, le programme présente également toutes les « orientations sexuelles » comme dignes d’un même respect. Que se passera-t-il en classe si un jeune enfant réprouve l’homosexualité ? Il faut comprendre qu’on le corrigera, même si cette réprobation est ancrée dans les préceptes de la religion de ses parents.
Mais laissons le nouveau programme définir cette « identité de genre » :
Ces différentes questions d’identité de genre, d’orientation sexuelle seront à plusieurs reprises au primaire.
En 3e année du primaire :
En 5e :
En 6e :
Voir aussi
Ontario — Ministre de l’éducation : les écoles catholiques devront enseigner le nouveau programme d’éducation sexuelle
Ontario — L’Archevêque d'Ottawa critique le projet d'éducation sexuelle : une « confiscation de l'autorité parentale »
Ex-sous-ministre responsable pour l’élaboration du programme d’éducation sexuelle au primaire accusé de pornographie juvénile (il a depuis lors déclaré qu'il plaidera coupable le 3 mars).
Un enseignement de la sexualité dès la maternelle
Théorie du genre, le nouveau puritanisme
La théorie du genre : la réduction de l'altérité et la rééducation des enfants
Le paradoxe de l'égalité entre les sexes c. la théorie du genre
L'affaire Bruce/Brenda/David Reimer c. la théorie du genre
La théorie du genre imposée à tous en Europe par l'État : « s'appuyer sur la jeunesse pour changer les mentalités »
Face à la pression de groupes conservateurs, les libéraux ontariens avaient annulé, en 2010, la mise à jour du programme d’éducation sexuelle de la province. Cela signifie que le curriculum n’a pas évolué depuis 1998, soit bien avant l’arrivée des médias sociaux, des téléphones intelligents et de pratiques telles que le sextage. C’est là le prétexte de la mise à jour. Bien évidemment personne n’est contre le fait que l’on dise aux enfants de ne pas envoyer de photos compromettantes sur Internet par exemple. Mais cette révision du programme s’accompagne également d’une introduction à une théorie (présentée ici comme un fait) : la théorie du genre selon laquelle l’identité sexuelle est une construction sociale sans rapport avec la biologie et que les élèves peuvent la construire à leur gré et en changer. Évidemment, le programme présente également toutes les « orientations sexuelles » comme dignes d’un même respect. Que se passera-t-il en classe si un jeune enfant réprouve l’homosexualité ? Il faut comprendre qu’on le corrigera, même si cette réprobation est ancrée dans les préceptes de la religion de ses parents.
Mais laissons le nouveau programme définir cette « identité de genre » :
« L’identité de genre fait référence au sentiment d’appartenance d’une personne à l’un ou l’autre des deux sexes, homme ou femme, et peut différer du sexe biologique. L’identité de genre et l’orientation sexuelle sont deux choses distinctes, et la première ne détermine en rien la deuxième. L’orientation sexuelle fait référence à l’attirance sexuelle ou romantique qu’une personne éprouve envers les personnes du même sexe, du sexe opposé ou des deux sexes. L’expression sexuelle fait référence à la façon dont une personne affirme son identité de genre (selon la répartition traditionnelle des rôles entre les sexes), que ce soit par ses agissements, ses vêtements ou ses comportements. L’identité de genre, l’expression sexuelle et l’orientation sexuelle sont liées à la façon dont une personne se perçoit et à ses interactions avec les autres. Comprendre et accepter notre identité de genre et notre orientation sexuelle peut avoir de grandes répercussions – positives ou négatives – sur notre image de soi. »
Ces différentes questions d’identité de genre, d’orientation sexuelle seront à plusieurs reprises au primaire.
En 3e année du primaire :
En 5e :
En 6e :
Un point de vue catholique sur l'idéologie du genre avec Tony Anatrella :
Voir aussi
Ontario — Ministre de l’éducation : les écoles catholiques devront enseigner le nouveau programme d’éducation sexuelle
Ontario — L’Archevêque d'Ottawa critique le projet d'éducation sexuelle : une « confiscation de l'autorité parentale »
Ex-sous-ministre responsable pour l’élaboration du programme d’éducation sexuelle au primaire accusé de pornographie juvénile (il a depuis lors déclaré qu'il plaidera coupable le 3 mars).
Un enseignement de la sexualité dès la maternelle
Théorie du genre, le nouveau puritanisme
La théorie du genre : la réduction de l'altérité et la rééducation des enfants
Le paradoxe de l'égalité entre les sexes c. la théorie du genre
L'affaire Bruce/Brenda/David Reimer c. la théorie du genre
La théorie du genre imposée à tous en Europe par l'État : « s'appuyer sur la jeunesse pour changer les mentalités »
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