Le Québec prétend avoir une seule langue officielle : le français. Sauf que tout est accessible à la communauté historique anglophone (de plus en plus composée d’immigrants allophones en réalité) : les écoles, les cégeps, les universités, l'administration publique ("Press 9 for English"), les soins de santé avec un mégahôpital universitaire anglophone, les tribunaux, la presse, les lois, les dépliants publicitaires, la radio, la télévision, le marché du travail qui impose souvent l'anglais, etc.
Voici une jolie photo où une équipe ministérielle présente même un texte de loi en anglais en premier avec le titre de la National Assembly of Québec bien visible.
On comprend dans ces circonstances que les immigrants ne se sentent en rien obligés d’apprendre le français... Ils pourront l’apprendre s’ils le veulent. L'espagnol aussi, mais là à leurs frais. On comprend aussi que certains se disent qu’il vaut mieux étudier en anglais (le nombre d’inscrits au cégep en anglais ne fait que croître...).
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Voici une jolie photo où une équipe ministérielle présente même un texte de loi en anglais en premier avec le titre de la National Assembly of Québec bien visible.
On comprend dans ces circonstances que les immigrants ne se sentent en rien obligés d’apprendre le français... Ils pourront l’apprendre s’ils le veulent. L'espagnol aussi, mais là à leurs frais. On comprend aussi que certains se disent qu’il vaut mieux étudier en anglais (le nombre d’inscrits au cégep en anglais ne fait que croître...).
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