Le saviez-vous ? Un fonctionnaire français sur deux travaille pour l’Éducation nationale. La France dépense deux fois plus d’argent dans ce secteur qu’il y a 30 ans, alors que le nombre d’élève est resté le même.
Dans le même temps, le niveau des élèves, notamment en français, s’est considérablement dégradé. Entre 2000 et 2004, le nombre de ceux qui ne maîtrisent pas l’orthographe a presque doublé. [Note du carnet : plusieurs facteurs expliquent cette dégradation en français, notamment par nettement moins d'heures de français à l'école, une forte proportion d'élèves dont le français n'est pas la langue de la famille] Chaque année, 40 000 jeunes illettrés sortent du système scolaire et les jeunes de 15 ans issus de l’immigration ont, en moyenne, un retard scolaire d’un an et demi.
Durant des années, cette réalité a, soigneusement, été dissimulée par les syndicats et les spécialistes des sciences de l’éducation. Pour eux, il n’y avait, qu’une seule chose qui comptait : « toujours plus de création de postes, toujours plus de moyens ».
C’est, pour rétablir la vérité et rompre avec le discours politiquement et pédagogiquement correct que nous avons décidé de publier un livre : « L’école malade de l’égalitarisme » consultable ci-dessous.
Nous avons souhaité rappeler qu’au fil des années, l’école s’est éloignée de sa mission essentielle, la transmission des savoirs pour se laisser enrégimenter au service de l’égalité. L’égalité est, ainsi, devenue le mètre étalon à partir duquel on construit et on évalue toutes nos politiques.
Pour atteindre cet objectif, le savoir a été sciemment discrédité, car, depuis Bourdieu, il est soupçonné d’être l’outil de domination de la bourgeoisie. Des générations d’enseignants ont, ainsi, été conditionnées à ne pas ennuyer les élèves avec des connaissances ou des règles rétrogrades, comme celles de la grammaire. Quant aux notes, jugées cruelles, il est conseillé, bien entendu, de rapidement les supprimer. L’égalité et « l’épanouissement des élèves » sont à ce prix.Pendant trop longtemps, la droite s’était contentée de gérer les affaires à la petite semaine, sans remettre en cause cet égalitarisme imposé par la gauche. Depuis quelques années, elle s’efforce de mettre en œuvre des réformes mieux orientées. Certaines commencent à produire leurs premiers résultats positifs. Mais il convient, désormais, de s’attaquer à la racine du problème, à cette maladie qui ronge l’éducation en France : l’égalitarisme.
Dans le même temps, le niveau des élèves, notamment en français, s’est considérablement dégradé. Entre 2000 et 2004, le nombre de ceux qui ne maîtrisent pas l’orthographe a presque doublé. [Note du carnet : plusieurs facteurs expliquent cette dégradation en français, notamment par nettement moins d'heures de français à l'école, une forte proportion d'élèves dont le français n'est pas la langue de la famille] Chaque année, 40 000 jeunes illettrés sortent du système scolaire et les jeunes de 15 ans issus de l’immigration ont, en moyenne, un retard scolaire d’un an et demi.
Durant des années, cette réalité a, soigneusement, été dissimulée par les syndicats et les spécialistes des sciences de l’éducation. Pour eux, il n’y avait, qu’une seule chose qui comptait : « toujours plus de création de postes, toujours plus de moyens ».
C’est, pour rétablir la vérité et rompre avec le discours politiquement et pédagogiquement correct que nous avons décidé de publier un livre : « L’école malade de l’égalitarisme » consultable ci-dessous.
Nous avons souhaité rappeler qu’au fil des années, l’école s’est éloignée de sa mission essentielle, la transmission des savoirs pour se laisser enrégimenter au service de l’égalité. L’égalité est, ainsi, devenue le mètre étalon à partir duquel on construit et on évalue toutes nos politiques.
Pour atteindre cet objectif, le savoir a été sciemment discrédité, car, depuis Bourdieu, il est soupçonné d’être l’outil de domination de la bourgeoisie. Des générations d’enseignants ont, ainsi, été conditionnées à ne pas ennuyer les élèves avec des connaissances ou des règles rétrogrades, comme celles de la grammaire. Quant aux notes, jugées cruelles, il est conseillé, bien entendu, de rapidement les supprimer. L’égalité et « l’épanouissement des élèves » sont à ce prix.Pendant trop longtemps, la droite s’était contentée de gérer les affaires à la petite semaine, sans remettre en cause cet égalitarisme imposé par la gauche. Depuis quelques années, elle s’efforce de mettre en œuvre des réformes mieux orientées. Certaines commencent à produire leurs premiers résultats positifs. Mais il convient, désormais, de s’attaquer à la racine du problème, à cette maladie qui ronge l’éducation en France : l’égalitarisme.
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