De prime abord, il semble que dans les feuilletons télévisés américaine l’avortement soit généralement banni ou mal vu.
Normal, puisque les pro-vie deviennent majoritaires aux États-Unis, surtout chez les jeunes qui regardent ces séries. Mais cela ne pourrait qu'être une impression de téléspectateur non assidu (c'est une litote) de ces feuilletons. Or, cette impression semble être confirmé par une étude d’une « chroniqueuse télé » du magazine de gauche Le Nouvel Obs, qui est profondément choquée que les feuilletons américains véhiculent en la matière des « messages aussi moralisateurs que culpabilisants ».
Il est significatif que lorsqu’elle évoque les « heureuses » exceptions, c’est-à-dire les séries où l’on avorte l'enfant à naître sans scrupule, elle dit que là, « la question est abordée frontalement et honnêtement », et l’on voit la jeune fille se tourner vers la directrice de son école pour « l’aider à faire son choix », sans l'influencer, bien sûr… Le Nouvel Obs poursuit : « Toutes deux seront confrontées à l'hostilité d'une ville ultra-conservatrice, mais le lynchage médiatique ne pourra rien contre la décision de Becky, qui finira bel et bien par avorter. Une position ferme que l'on devine être, au-delà de Tami, celle de Peter Berg lui-même, le créateur de la série. »
Pour le Nouvel Obs même dans la série très féministe Sex & the City : « les scénaristes font peser sur les épaules de Miranda la culpabilité de ne pas désirer cet enfant, alors que son amie est prête à tout pour donner la vie. Mais tout est bien qui finit bien, et Miranda décide finalement de devenir maman... »
Son article s’appelle « Séries télé américaines : l’IVG, c’est péché !»
Normal, puisque les pro-vie deviennent majoritaires aux États-Unis, surtout chez les jeunes qui regardent ces séries. Mais cela ne pourrait qu'être une impression de téléspectateur non assidu (c'est une litote) de ces feuilletons. Or, cette impression semble être confirmé par une étude d’une « chroniqueuse télé » du magazine de gauche Le Nouvel Obs, qui est profondément choquée que les feuilletons américains véhiculent en la matière des « messages aussi moralisateurs que culpabilisants ».
Scène touchante de l'accueil de la vie que le Nouvel Obs décrit ainsi : « L'adolescente, en proie au doute (car il est impensable que la décision d'avorter lui apparaisse clairement et sans hésitation), finit généralement par se résigner à garder le bébé »...
Il est significatif que lorsqu’elle évoque les « heureuses » exceptions, c’est-à-dire les séries où l’on avorte l'enfant à naître sans scrupule, elle dit que là, « la question est abordée frontalement et honnêtement », et l’on voit la jeune fille se tourner vers la directrice de son école pour « l’aider à faire son choix », sans l'influencer, bien sûr… Le Nouvel Obs poursuit : « Toutes deux seront confrontées à l'hostilité d'une ville ultra-conservatrice, mais le lynchage médiatique ne pourra rien contre la décision de Becky, qui finira bel et bien par avorter. Une position ferme que l'on devine être, au-delà de Tami, celle de Peter Berg lui-même, le créateur de la série. »
Pour le Nouvel Obs même dans la série très féministe Sex & the City : « les scénaristes font peser sur les épaules de Miranda la culpabilité de ne pas désirer cet enfant, alors que son amie est prête à tout pour donner la vie. Mais tout est bien qui finit bien, et Miranda décide finalement de devenir maman... »
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