Sandrine Mazetier, députée socialiste de Paris, a demandé au gouvernement de faire débaptiser l'école maternelle car d'après elle, cela renvoie à l'image sexiste de la seule mère.
En plein débat sur la réforme des rythmes scolaires, Sandrine Mazetier a souhaité émettre une demande pour le moins originale. La députée socialiste a, en effet, demandé au gouvernement afin de faire débaptiser l'école maternelle. La raison serait, d'après elle, que ce terme renvoie trop à l'image de la seule mère, d'après Europe 1. Cela « laisse entendre que l'univers de la petite enfance serait l'apanage des femmes «, a-t-elle critiqué. Ce qui est pourtant la vérité factuelle même au pays des droits de l'homme : l'enseignement des petites têtes blondes étaient massivement féminin.
Mme Mazetier a proposé de « remplacer ce nom genre par un nom neutre comme 'petite école' ou 'première école' ». « Ça rendrait justice au travail qui y est fait, au professionnalisme de ceux qui y interviennent et ça rappellerait aussi qu'aujourd'hui, la responsabilité de l'éducation des enfants est partagée entre les parents et n'est pas la spécificité des femmes », a expliqué l'élue de Paris.
Ce vendredi, Sandrine Mazetier a déclaré sur RTL que « c'est une école, pas un lieu de soin, de maternage, c’est un lieu d’apprentissage ».
En plein débat sur la réforme des rythmes scolaires, Sandrine Mazetier a souhaité émettre une demande pour le moins originale. La députée socialiste a, en effet, demandé au gouvernement afin de faire débaptiser l'école maternelle. La raison serait, d'après elle, que ce terme renvoie trop à l'image de la seule mère, d'après Europe 1. Cela « laisse entendre que l'univers de la petite enfance serait l'apanage des femmes «, a-t-elle critiqué. Ce qui est pourtant la vérité factuelle même au pays des droits de l'homme : l'enseignement des petites têtes blondes étaient massivement féminin.
Mme Mazetier a proposé de « remplacer ce nom genre par un nom neutre comme 'petite école' ou 'première école' ». « Ça rendrait justice au travail qui y est fait, au professionnalisme de ceux qui y interviennent et ça rappellerait aussi qu'aujourd'hui, la responsabilité de l'éducation des enfants est partagée entre les parents et n'est pas la spécificité des femmes », a expliqué l'élue de Paris.
Ce vendredi, Sandrine Mazetier a déclaré sur RTL que « c'est une école, pas un lieu de soin, de maternage, c’est un lieu d’apprentissage ».
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