mercredi 7 février 2024

Critères de discrimination négative du groupe Disney, Elon Musk promet d'aider les victimes

Mise à jour du 7 février

Disney envisagerait de confier à Ayo Edebiri le rôle principal de "Pirates 6", un film qui mettrait en scène des pirates plus jeunes à la recherche d'un trésor caché. Ayo Edebiri est une actrice hollywoodienne relativement peu remarquée.

Johnny Depp à gauche, Ayo Edebiri à droite

Le personnage pour lequel elle est pressentie s'appelle Anne et il est possible que ce personnage soit basé sur la pirate Anne Bonny, qui était une Irlandaise (une blanche donc...)

Ayo Edebiri est née à Boston dans l'état du Massachusetts en 1995. Elle grandit dans une famille pratiquant le pentecôtisme avec une mère originaire de la Barbade et un père du Nigeria.



Billet du 6 février

Le milliardaire Elon Musk s’est insurgé contre les normes de discrimination négative du groupe Disney (c’est-à-dire Disney même, la chaîne généraliste ABC, National Géographique, Marvel, FX et d’autres filiales) : « C’est du racisme et du sexisme obligatoires et institutionnalisés ! ». Nous reproduisons ces « normes » traduites ci-dessous.

Elon Musk a promis d’aider les victimes de cette discrimination.


NORMES D’INCLUSION
NORME A

REPRÉSENTATION À L’ÉCRAN

Au moins TROIS des CINQ domaines suivants doivent être remplis pour satisfaire à la norme A :
 
  • A1 Personnages : 50 % ou plus des personnages écrits réguliers et récurrents sont issus de groupes sous-représentés.
  • A2 Acteurs : 50 % ou plus des acteurs réguliers et récurrents sont issus de groupes sous-représentés.
  • A3 Personnages secondaires : Inclusion significative des groupes sous-représentés en tant que personnages secondaires ou moins importants à l’écran, y compris les acteurs de second plan.
  • A4 Prémisses de la série : intégration significative des groupes sous-représentés dans les thèmes et récits généraux.
  • A5 Récit épisodique : Intégration significative et continue des groupes sous-représentés dans les thèmes et récits épisodiques.
NORME B

ENCADREMENT CRÉATIF

Au moins TROIS des SIX domaines suivants doivent être remplis pour satisfaire à la norme B :
 
  • B1 50 % ou plus des producteurs et des membres de l’équipe de scénaristes et 50 % ou plus des coproducteurs et des membres de l’équipe de scénaristes sont issus de groupes sous-représentés. Groupes sous-représentés
  • B2 Au moins 50 % des réalisateurs d’épisodes sont issus de groupes sous-représentés.
  • B3 Le directeur de la distribution des rôles est issu d’un groupe sous-représenté ou n’a jamais travaillé dans une émission de la DGE à ce titre. [Disney Disney General Entertainment, la télé Disney : ABC, Canal Disney, National Geographic, FX, etc.]
  • B4 Représentation significative des groupes sous-représentés au sein de la direction de la création.
  • B5 Promotion d’un membre d’un groupe sous-représenté dans un rôle qui constitue une progression de carrière pour au moins un membre de l’équipe de rédaction.
  • B6 Augmentation substantielle, d’une année sur l’autre, du nombre de membres des groupes sous-représentés parmi les directeurs et les rédacteurs.
NORME C

HORS MÉDIAS

Au moins DEUX des CINQ domaines suivants doivent être remplis pour satisfaire à la norme C :
 
  • C1 50 % ou plus des producteurs délégués et/ou des chefs de département de production (directeur photo, compositeur, costumier, monteur, concepteur de production, superviseur de la musique, etc., concepteur de production, superviseur musical…) sont issus de groupes sous-représentés.
  • C2 50 % ou plus des autres rôles clés (tous les postes techniques et d’équipe de niveau intermédiaire) sont issus de groupes sous-représentés.
  • C3 50 % ou plus de l’ensemble de l’équipe ou du personnel du projet sont issus des groupes sous-représentés.
  • C4 Promotion d’un membre du groupe sous-représenté dans un rôle qui constitue une progression de carrière pour au moins un membre de l’équipe.
  • C5 Embauche d’un producteur délégué et/ou d’un chef de département de production qui n’a pas été employé auparavant dans ce rôle pour une émission de DGE.
NORME D

ACCÈS À L’INDUSTRIE ET DÉVELOPPEMENT DE CARRIÈRE

Au moins TROIS des SIX domaines suivants doivent être remplis pour satisfaire à la norme D :
 
  • D1 Possibilités d’emploi rémunéré telles que des apprentissages, des stages, des conseillers experts pour faciliter l’éligibilité syndicale des membres des groupes sous-représentés (le programme CTDI PA remplit les conditions requises).
  • D2 Possibilités de formation et/ou de développement des compétences (artisanat, création et commerce), y compris des possibilités ponctuelles d’expérience professionnelle pour les étudiants issus de groupes sous-représentés (à coordonner par l’intermédiaire de Current Executive & Corporate Social Responsibility).
  • D3 « Premier emploi » pour un membre d’un groupe sous-représenté dans un rôle qui constitue une progression de carrière à partir d’une formation antérieure (le recrutement dans le cadre du programme d’écriture ou de réalisation du CTDI est admissible).
  • D4 Au moins 50 % des fournisseurs ou sous-traitants externes employés par la production offrent un accès à l’industrie ou des perspectives d’emploi aux membres des groupes sous-représentés tels que définis aux points D1 à D3.
  • D5 Participation du producteur ou du chef de département à l’initiative de développement des talents de la DGE, à une guilde ou à un autre programme de mentorat approuvé (la participation en tant que panéliste/présentateur à un événement de la CTDI est admissible ; le mentorat sera vérifié par le cadre actuel).
  • D6 Le producteur développe/exécute un programme de D&I spécifique à l’émission, sous réserve de l’approbation du réseau.

Le contexte est essentiel pour déterminer si un groupe est « sous-représenté ».

Il est interdit à toute personne impliquée dans les décisions d’embauche de poser des questions aux candidats et aux talents sur leur race, leur religion, leur couleur, leur sexe, leur orientation sexuelle, leur genre, leur identité sexuelle, leur statut de militaire ou d’ancien combattant, leur âge, leur handicap ou toute autre catégorie protégée par la loi, qu’ils soient réels ou perçus comme tels.


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Égalité en emploi à l’UQAM :  le recteur de l’UQAM répond à Joseph Facal dans un texte publié dans la section Faites la différence du Journal de Montréal. 

Analyse des échanges avec Joëlle Quérin, enseignante au département de sciences sociales du Cégep de Saint-Jérôme et titulaire d'un doctorat en sociologie.

Le débat autour des programmes de discrimination positive dans le système universitaire préoccupe davantage depuis les derniers mois. Un échange entre le chroniqueur Joseph Facal et une figure d'autorité de l'UQAM a suscité des opinions divergentes sur la question. Ces programmes sont-ils réellement discriminatoires? Mathieu Bock-Côté s’est entretenu avec Joëlle Quérin, enseignante au département de sciences sociales du Cégep de Saint-Jérôme afin d'approfondir la réflexion.


L' enseignante a partagé son point de vue, soulignant que l'écart de candidatures basé sur des critères non académiques constitue de facto de la discrimination.

Elle a mentionné des cas antérieurs liés aux programmes de recherche du Canada, où des quotas étaient imposés, créant des exclusions basées sur la race et d'autres caractéristiques.

Joëlle Quérin a également souligné une évolution inquiétante : l'inclusion de ces critères dans la convention collective des professeurs de l'UQAM, marquant un nouveau niveau de formalisation de ces pratiques. La discussion a abordé la question des postes réservés, où Joëlle Quérin a souligné les dangers de remplacer une discrimination par une autre, mettant en avant l'importance des compétences plutôt que de l'identité.

En conclusion, l’enseignante a exprimé la nécessité d'une critique informée et courageuse de ces programmes, reconnaissant les défis posés par la défense des privilèges perçus.

La possibilité de remettre en question ces programmes semble dépendre d'une mobilisation concertée et d'une dénonciation systématique des situations problématiques.

N.B. Ce texte a été écrit à l'aide de l'intelligence artificielle à partir de l'entrevue audio de QUB.

L'Alberta annonce l'interdiction de la chirurgie de changement de sexe pour les mineurs (m à j, vidéos)

Mise à jour du 7 février.

Pierre Poilièvre, chef du Parti conservateur du Canada, soutient que les adultes devraient être libres de faire des choix concernant leur propre corps et s'oppose à la prescription de bloqueurs de puberté aux moins de 18 ans. Voir vidéo ci-dessous (en anglais uniquement, car aucune question sur ce sujet ne lui a été posée en français lors d'un point de presse au Parlement à Ottawa).


Mise à jour du 5 février

Le ministre fédéral et libéral de la Santé (compétence pourtant provinciale), Mark Holland, est « profondément troublé » par le fait que les mineurs de l’Alberta ne pourront plus se faire charcuter des parties saines de leurs corps.

Flanqué d’un collègue à la mine catastrophée, le ministre a utilisé, à mots à peine voilés, l’éculé prétexte que sans ces mutilations les enfants se suicideront davantage.

Argument pourtant largement réfuté : À la lumière de six études, Remafedi trouve que le suicide chez les jeunes homosexuels s’explique peu par l’homophobie, mais davantage par la prostitution, la famille désunie, l’agression sexuelle en bas âge, les peines d’amour et l’étiquetage prématuré de l’orientation sexuelle.

Voir aussi cette lettre de 21 cliniciens et chercheurs de 9 pays : Aucune étude fondée sur les preuves démontre le bénéfice d’affirmer la transition de genre d’un mineur sur l’argument du risque suicidaire.

L’Alberta annonce une nouvelle loi de protection des enfants afin d’empêcher leur stérilisation ou mutilation permanente tant qu’ils sont mineurs…

Pour la gauche locale, le NPD, cette politique est une « violence » perpétrée à l’encontre des « jeunes ayant une identité de genre autre, bispirituelles ou trans.... les jeunes autochtones ». « Le placard est apparu avec la colonisation » de prétendre Blake Desjarlais.

Pour le NPD, protéger les enfants est colonialiste et raciste.


Billet du 31 janvier

Dans une annonce très attendue, la Première ministre de l’Alberta, Danielle Smith, a dévoilé mercredi un ensemble complet de politiques relatives à l’idéologie du genre et aux droits parentaux. 

Dans une vidéo publiée sur son compte X, la Première ministre a souligné son engagement à préserver les droits des enfants à se développer et à prendre des décisions importantes pour leur vie. Toutefois, elle a également fait part de ses appréhensions concernant les décisions irréversibles liées au sexe biologique des jeunes et a souligné les risques.

La droite canadienne applaudit cette loi (illustration traduite de The Counter Signal)

L’un des points centraux du discours de la Première ministre Smith a été la décision concernant les traitements de changement de sexe pour les mineurs. En particulier, les opérations de changement d’apparence sexuelle par le haut (ablation des seins par exemple) et par le bas (organes génitaux) ne seront pas autorisées pour les enfants âgés de 15 ans et moins en Alberta.

« Je suis d’avis que les adultes peuvent décider de modifier ou non [l’apparence de] leur sexe biologique, de prendre des décisions permanentes et irréversibles concernant leur sexe biologique, alors qu’un jeune peut gravement limiter ses choix futurs, en encourageant ou en permettant prématurément aux enfants de modifier leur biologie même ou leur croissance naturelle », a déclaré M. Smith.

« Même si elle est bien intentionnée et sincère, cette pratique présente un risque pour l’avenir de l’enfant. En tant que Première ministre, je ne suis pas à l’aise avec l’idée d’autoriser cette pratique dans notre province.

En outre, l’utilisation de bloqueurs de puberté et de thérapies hormonales à des fins de réassignation ou d’affirmation de genre sera strictement interdite pour les mineurs âgés de 15 ans et moins, des exceptions étant accordées à ceux qui suivent déjà un traitement.

Pour les mineurs âgés de 16 et 17 ans, la Première ministre a présenté une approche plus timorée. Ils seront autorisés à commencer des thérapies hormonales pour changer d’apparence sexuelle, à condition d’obtenir l’approbation explicite de leurs parents, de leurs médecins et de leurs psychologues. La condition est que le mineur soit jugé suffisamment mûr pour prendre de telles décisions.

La déclaration de la Première ministre Smith a également porté sur le domaine de l’éducation. Les parents sont désormais tenus d’être informés et de donner leur accord pour toute formation formelle sur l’identité de genre, l’orientation sexuelle ou la sexualité humaine.


En outre, les ressources documentaires ou les présentations de tiers relatives à ces sujets dans les écoles de la maternelle à la 12e année doivent être approuvées au préalable par le ministère de l’Éducation pour s’assurer qu’elles sont adaptées à l’âge des élèves.

La Première ministre a également mis l’accent sur les mesures concernant la question épineuse des changements de noms et de pronoms dans les écoles. Les parents doivent obligatoirement être informés et donner leur accord pour tout changement concernant un enfant âgé de 15 ans ou moins, alors que seule la notification sera obligatoire pour les enfants âgés de 16 et 17 ans.

Dans le cadre d’une collaboration avec les organisations sportives, la Première ministre Smith a dévoilé son intention d’offrir aux femmes et aux jeunes filles le choix de concourir dans des divisions réservées aux femmes, distinctes de celles des athlètes qui se disent femmes et qui sont biologiquement plus forts. 

L’annonce de la Première ministre Danielle Smith s’inscrit dans une tendance plus large parmi les dirigeants provinciaux. Le Premier ministre de la Saskatchewan, Scott Moe, et le Premier ministre du Nouveau-Brunswick, Blaine Higgs, ont également pris des mesures importantes pour lutter contre l’idéologie du genre. Le Premier ministre Moe a notamment invoqué la clause dérogatoire pour faire adopter l’an dernier une politique en matière de droits parentaux.

Voir aussi

 
 
 

Surdiagnostics de dysphorie de genre chez des enfants : 35 psychologues démissionnent Fonctionnaires contre père : qui décide si un enfant mineur peut subir une thérapie de transition de genre ? 
 
Père : ma fille de 14 ans a été détruite par des hormones de transition imposées par un tribunal

Trans — Médecins inquiets que des enfants s’exposent à des ‘dégâts à long terme’ en raison de groupes de pression et de parents agressifs

Endocrinologues mettent en garde contre le traitement hormonal de la dysphorie sexuelle chez l’enfant 

Zemmour : Arrêter la puberté des enfants est criminel et le ministre de l’Éducation adoube cela ! (vidéos) 

La justice britannique recommande l’arrêt des transitions de genre avant 16 ans

L’opinion sur l’utilisation des bloqueurs de puberté aux États-Unis est en train de changer

Québec — Un homme qui se dit femme, pédophile récidiviste, à nouveau arrêté pour pornographie juvénile

Écosse : Vous ne croyez pas que votre fils est trans ? On vous enverra peut-être en prison

Montréal — Médecin radié trois mois pour avoir ‘mégenré’ une femme qui se dit homme

Colombie-Britannique : ancien président d’une association LGBT accusé de crimes sexuels sur des enfants

Le gouvernement du Québec annonce un plan de 23,7 millions de dollars pour promouvoir l’idéologie LGBT

 
 
 
Gynécologue : ‘Je ne suis pas transphobe ni homophobe’, ‘je n’ai aucune compétence pour m’occuper des hommes’ 

Près de la moitié des Canadiens soutiennent que leur province utilise la clause dérogatoire pour garantir que les écoles informent les parents si un enfant souhaite utiliser en classe un nom ou un pronom différent que celui qui lui est attribué, suggère un nouveau sondage Léger.
 

Vedette transgenre de TikTok, Rachel Queen Burton, a plaidé coupable de délits sexuels sur des enfants.

La vedette transgenre de TikTok, Rachel Queen Burton (ci-contre), a plaidé coupable de délits sexuels sur des enfants. Avant de se dire femme, il a agressé sexuellement deux enfants.

Une vedette de TikTok a amassé des milliers d’abonnés en prétendant être une « fière femme trans » - mais il était en réalité un pédophile qui utilisait sa nouvelle identité comme un « masque », ont déclaré ses victimes à un tribunal.

Rachel Queen Burton, 44 ans, a agressé sexuellement deux enfants à plusieurs reprises avant de harceler leur famille et de les conduire à la rue, a appris le tribunal de district d’Adélaïde (Australie).

Burton a ensuite « revêtu un masque », selon ses victimes, et s’est transformée en femme.

Burton a plaidé coupable des chefs d’accusation aggravés de production et de possession de matériel d’exploitation d’enfants, de grossière indécence et d’attentat à la pudeur.

Les déclarations poignantes des deux victimes de Burton, un garçon et une fille, de leur frère ou sœur aîné et de la mère des enfants ont été entendues au tribunal mardi.

Burton, qui a rejoint le tribunal par liaison vidéo depuis une prison pour hommes, a sangloté tandis que la mère des enfants a détaillé les conséquences permanentes de l’abus, a rapporté The Advertiser.
La vedette transgenre de TikTok Rachel Queen Burton, 44 ans, a été arrêtée et inculpée de sévices et d’exploitation d’enfants en octobre 2022.

La vedette transgenre de TikTok Rachel Queen Burton, 44 ans, a été arrêtée et inculpée d’abus et d’exploitation d’enfants en octobre 2022.

« Vous êtes une personne grossière, fausse et complaisante qui a trompé mes enfants et leur a pris tout ce qu’ils avaient sans s’en préoccuper », a déclaré la mère.

« Dans vos délires en ligne, vous n’avez montré aucun remords pour votre mauvais comportement, tout en sachant ce que vous aviez fait… obtenir un public pour votre fausse vie était bien plus important. »

« Vous pouvez porter le masque que vous voulez, mais la vérité est connue et tout le monde sait qui vous êtes vraiment, enfin ».

L’infraction s’est produite dans divers lieux d’Australie-Méridionale en 2019, avant que Burton ne devienne une vedette TikTok en herbe.

Avant son arrestation en 2022, Burton se targuait d’avoir 34 000 admirateurs sur la plateforme de médias sociaux.

Sa bio sur TikTok la décrivait comme « une fière femme transgenre qui vit sa plus belle vie sans aucun regret ».

La mère de la victime a déclaré au tribunal que malgré le fait que la famille ait déménagé après avoir découvert les sévices subis, Burton a continué à les harceler.

Elle a déclaré qu’ils avaient séjourné dans un refuge de la police jusqu’à ce que Burton « se pointe à la fenêtre, jetant un coup d’œil à l’intérieur », ce qui les a obligés à déménager à nouveau.

Elle a décrit Burton comme un « monstre » qui lui donnait « des haut-le-cœur ».

« Être sans-abri était extrêmement épuisant, les inquiétudes étaient incessantes, mais, vous, vous étiez en ligne en train de vivre le meilleur moment de votre vie », a-t-elle lancé.

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