Médiaspaul vient de publier un nouvel ouvrage collectif intitulé La Religion sans confession qui rassemble des opinions diverses sur le controversé programme d'éthique et de culture religieuse (ECR).
Selon Médiaspaul, « En septembre 2008, les écoles québécoises ont pris le virage d’un enseignement culturel et neutre des différentes religions. » Cette neutralité est contestée par les opposants au cours ECR, pas par Médiaspaul apparemment.
On retrouve dans ce livre six témoignages, six regards différents sur le programme ECR.
Sylvain Fournier, président de l’Association en éthique et culture religieuse (AQECR) enseigne le cours ECR et milite pour son imposition.
En juin 2010, un juge de la Cour supérieure du Québec créait la surprise chez les partisans de l'imposition du programme ECR en donnant raison à l’école secondaire jésuite Loyola, qui réclamait le droit de le donner dans un esprit catholique. Paul Donovan, directeur de cette école, explique les raisons qui l'ont poussé à s'opposer à ce nouveau programme qu'on lui demandait d'enseigner de « manière neutre et laïque ».
Alain Gignac offre le triple point de vue d’un père, d’un théologien et d’un conseiller à l’élaboration de manuels scolaires d’éthique et culture religieuse.
Convaincus que le choix de l’éducation religieuse revient d’abord aux parents et non à l'État et ses fonctionnaires, Suzanne Lavallée et son mari ont poursuivi en Cour supérieure une commission scolaire de la région de Drummondville pour obtenir le droit de faire exempter leurs enfants du cours ECR.
Élisabeth Garant explique pourquoi le Centre Justice et Foi, souvent catalogué comme de gauche et « progressiste », dont elle est directrice, appuie la mise en place du cours ECR.
Louis O’Neill, ancien ministre des Affaires culturelles du Québec, professeur émérite de théologie de l’Université Laval et auteur de plusieurs essais traitant de politique et de religion, pose un regard très critique sur le cours.
Selon Médiaspaul, « En septembre 2008, les écoles québécoises ont pris le virage d’un enseignement culturel et neutre des différentes religions. » Cette neutralité est contestée par les opposants au cours ECR, pas par Médiaspaul apparemment.
On retrouve dans ce livre six témoignages, six regards différents sur le programme ECR.
Sylvain Fournier, président de l’Association en éthique et culture religieuse (AQECR) enseigne le cours ECR et milite pour son imposition.
En juin 2010, un juge de la Cour supérieure du Québec créait la surprise chez les partisans de l'imposition du programme ECR en donnant raison à l’école secondaire jésuite Loyola, qui réclamait le droit de le donner dans un esprit catholique. Paul Donovan, directeur de cette école, explique les raisons qui l'ont poussé à s'opposer à ce nouveau programme qu'on lui demandait d'enseigner de « manière neutre et laïque ».
Alain Gignac offre le triple point de vue d’un père, d’un théologien et d’un conseiller à l’élaboration de manuels scolaires d’éthique et culture religieuse.
Convaincus que le choix de l’éducation religieuse revient d’abord aux parents et non à l'État et ses fonctionnaires, Suzanne Lavallée et son mari ont poursuivi en Cour supérieure une commission scolaire de la région de Drummondville pour obtenir le droit de faire exempter leurs enfants du cours ECR.
Élisabeth Garant explique pourquoi le Centre Justice et Foi, souvent catalogué comme de gauche et « progressiste », dont elle est directrice, appuie la mise en place du cours ECR.
Louis O’Neill, ancien ministre des Affaires culturelles du Québec, professeur émérite de théologie de l’Université Laval et auteur de plusieurs essais traitant de politique et de religion, pose un regard très critique sur le cours.
La Religion sans confession
Regards sur le cours d'éthique et culture religieuse
Médiaspaul, Montréal, 2011
176 pages
ISBN : 9782894208427
Prix : 22,95 $
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