dimanche 14 décembre 2014

Angleterre — Plus du tiers des enfants de 10 à 13 ans ne savent pas ce que Noël fête

Les vacances approchent mais les autorités de certaines villes de Grande-Bretagne redoutent de souhaiter un « Joyeux Noël ! » à leur citoyens. Elles vont même jusqu’à éviter les cartes de vœux avec l'image de Jésus-Christ pour ne pas offenser les représentants d’autres confessions lesquels ne s'offusquent pas de ces expressions et images...

Une étude publiée par Christmas starts with Christ indique que plus de 30 % des enfants britanniques de 10 à 13 ans ne savent pas que Noël célèbre la naissance de Jésus-Christ.

De plus en plus d'écoles abandonnent également les représentations liés à la nativité du Christ, plus de saynète déguisé en Marie, Joseph ou les mages.





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« Les enfants soldats de la CSDM »


Ne décolérant pas contre le projet de redécoupage des commissions scolaires qui lui ferait perdre des dizaines de milliers de jeunes, la Commission scolaire de Montréal (CSDM) organise des manifestations d’élèves.

Mathieu Bock-Côté revient sur cette mobilisation d’élèves captifs :

« La nouvelle n’est pas passée inaperçue mais n’a pas reçu l’attention qu’elle méritait : la Commission scolaire de Montréal (CSDM), récemment, a abusé grossièrement de l’autorité qu’elle exerce sur les élèves en les transformant en enfants soldats au service de ses objectifs politiques. Pour protester contre la réforme des commissions scolaires, elle a poussé les élèves à manifester contre le gouvernement.

La CSDM a même le culot de dire que les élèves l’ont fait de leur propre initiative, qu’ils n’y étaient pas poussés. Elle nous prend pour des idiots. Comme si les élèves avaient la moindre compréhension de la complexité de ces dossiers. Non pas qu’ils ne soient pas intelligents, mais ils sont en formation. Et ils sont facilement impressionnables. Et l’institution qui devrait les éduquer décide plutôt de les manipuler idéologiquement.

Des élèves ont formé une chaîne humaine autour d’une école. Sur la photo, Menelik Philip, président de l’association des élèves de Montréal.


Autrement dit, l’école fait de l’endoctrinement. Et il ne s’agit pas d’une erreur isolée.

Les idéologues

De bien des manières, l’école québécoise cède à cette tentation, souvent maquillée derrière de grands discours. C’est souvent au nom de l’écologisme. On fait défiler les enfants dans leur quartier en scandant des slogans ­écolos. On les invite à surveiller les comportements écologiques de leurs parents. On leur apprend souvent à ­détester un capitalisme accusé de ­violer la planète.

Le ministère de l’Éducation se prête lui-même à de tels exercices, par exemple, avec son cours Éthique et culture religieuse. Il prétend instruire les jeunes sur la diversité religieuse contemporaine. Dans les faits, il entend surtout les convertir à la logique des accommodements raisonnables. Les idéologues du multiculturalisme ont expliqué pourquoi : puisqu’ils peinaient à convaincre les adultes de ses vertus, ils décidèrent de l’inculquer aux enfants.

Ceux qui félicitent l’école d’initier ainsi les élèves à la citoyenneté devraient réfléchir un peu plus. Peut-être se félicitent-ils de voir le gouvernement libéral contesté ? Mais que diraient-ils si, dans une école du West Island, les professeurs envoyaient les enfants manifester contre la loi 101 ? Qu’auraient-ils dit si, au moment du débat sur la Charte des valeurs, certaines écoles montréalaises avaient fait défiler les gamins en scandant des slogans anti-péquistes ?

Enfants amenés par leur école pour défiler lors de la Journée de la Terre à Granby

Mission trahie

En faisant de la propagande, l’école trahit sa mission. En un mot, elle ne doit être ni souverainiste, ni fédéraliste, ni de gauche, ni de droite. Une chose est certaine : le temps pris à manifester ou à réciter un chapelet écologiste n’est pas consacré à l’apprentissage de la langue, à la lecture d’un grand roman, ou encore à l’apprentissage de l’histoire. Et avons-nous la certitude que nos jeunes sont à ce point cultivés qu’ils puissent ainsi militer alors qu’ils devraient étudier ?

On en arrive à l’essentiel : il faut éviter à tout prix la politisation de l’école. En classe, les professeurs devraient se placer au-delà de leurs convictions personnelles. C’est pourquoi, d’ailleurs, ils ne devraient porter devant leurs élèves ni foulard islamique, ni carré rouge, ni macaron indépendantiste, ni symbole écologiste. Le professeur doit transmettre des savoirs et non pas ses propres convictions. »


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« Nos ancêtres, les Amérindiens »

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Les Québécois veulent des bons d’étude et que le cours ECR soit optionnel ou aboli

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Compte rendu de l'audience Loyola c. MELS à la Cour suprême (dossier ECR)

Faites attention à quelles bandes dessinées vos enfants lisent (Bichon, Titeuf, Mauvais Genre) [rediff avant Noël]

Mise à jour du 21/XII/2013


Le Devoir a récemment recommandé dans ses colonnes l'album de bandes dessinées  « Mauvais genre ». Il a été récemment couronné du prix Landerneau et du Grand Prix de l'Association des critiques et journalistes en bande dessinée (ACBD) pour « des moyens inusités pour caractériser la virilité, la féminité et poser la question du genre »,


Dans cet album, pour échapper à la condamnation qui le menace après avoir été jugé déserteur lors de la Grande Guerre, Paul Grappe, marié à Louise Landy, se travestit en femme et devient Suzanne Landgard. Pendant dix ans, il pousse la dissimulation et le changement d'identité « au-delà des genres, prenant plaisir à la bisexualité, l'échangisme ou au proxénétisme occasionnel ».

Pour les critiques favorables
 : « Chloé Cruchaudet, dont le talent de dessinatrice est déjà reconnu signe ici une magistrale transposition d’un fait divers méconnu qui pose bien des questions. Qui sommes-nous vraiment ? Qu’est-ce que le genre, l’identité sexuelle ? Comment les grands événements de l’histoire du monde influent sur les destins individuels ? L’absence de cases, la subtile économie des couleurs ( rouges, noirs et gris), le trait épuré de Cruchaudet donnent à l’ouvrage une atmosphère glauque et troublante, douce et violente. Au final, on ne sort pas indemne de cette lecture. »

Radio Canada n'insiste pas sur les aspects plus controversés et glauques dans son billet consacré à l'ouvrage.



Billet du 13/XII/2013




Les éditions Glénat viennent de publier le premier tome des aventures d’un nouveau personnage appelé Bichon. Bichon n’est autre qu’un petit garçon de 8 ans « à la sensibilité si girly » ! Comme on dit dans les milieux branchés parisiens pour dire « de filles » ou « féminine ».

David Gilson, le créateur de cette BD, décrit ainsi son personnage : « Il n’a que 8 ans. Il n’est pas encore éveillé à la sexualité. Mais il possède certains traits qui peuvent laisser penser que plus tard il sera homo. » David Gilson est d'ailleurs un abonné aux dessins homo-érotiques où apparaissent des apollons velus dans des poses suggestives pour ce genre de public.

France : Livre guide pour l'école à la maison





Le livre, guide qui conduit vers l’école à la maison, par Rémy et Cécile, les célèbres parents auteurs d’un carnet populaire sur l’école à la maison. Pourquoi, quand, comment faire l’école à la maison avec des centaines de trucs et d’astuces, de conseils, d’éléments pratiques. Disponible sur http://l-ecole-a-la-maison.com/




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Une belle ou grande histoire chaque soir pour vos enfants


Des histoires chaque soir pour votre enfant. Pour son plaisir, sa culture, son éveil, son imaginaire, son équilibre, et sa soif d'apprendre.

C'est le pari de lhistoiredusoir.com.

La longueur moyenne des histoires est de 10 minutes.



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70 % des Français favorables à la présence de crèches de Noël dans l'espace public


À 71 %, les Français sont plutôt favorables à la présence de crèches de Noël dans les administrations et bâtiments publics. Les crèches de Noël sont bien aujourd’hui d’abord et avant tout perçues comme un élément de tradition culturelle selon un sondage IFOP pour Dimanche Ouest France.

À l’inverse, 18 % des sondés y sont « plutôt opposés car il s’agit d’un symbole religieux incompatible avec les principes de neutralité et de laïcité du service public ».

Source : BFMTV

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« On ne dira bientôt plus Noël » en public





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