mercredi 18 janvier 2012

Le Parti conservateur du Québec pour la liberté scolaire et contre l'imposition du cours ECR

Luc Harvey en 2008
Le nouveau chef du tout nouveau Parti conservateur du Québec est fier d'annoncer le lancement de l'organisation du parti à travers tout le Québec.

« Pendant que le gouvernement persiste à cacher la vérité aux Québécois, que l'opposition péquiste est devenue une véritable tragédie grecque et que le parti de François Legault ressemble de plus en plus au PQ Version 2.0, les Conservateurs du Québec s'organisent pour la prochaine campagne électorale », de dire M. Harvey

Qu'il s'agisse d'appuyer le projet de loi C-10 pour sévir contre la criminalité, ou de favoriser la relance économique et l'entreprenariat, notamment par une véritable politique de simplification de la bureaucratie tel que demandé par la FCEI en cette semaine de la sensibilisation à la paperasserie. Nos sommes les seuls à proposer un taux unique d'imposition, les Québécois méritent plus que tous ces partis de la "gogauche" économique qui pelletent leur incompétence sur les épaules de nos jeunes, « Soyez rassurés, « Le nom du parti, c'est votre garantie ! » ajoute Jean-François Plante, le président du PCQ.

Plus de liberté, d'autonomie et moins d'un État qui intervient trop dans nos vies et manquent de respect envers ceux qui les ont élus. « Au Parti conservateur du Québec, nous allons rappeler que le gouvernement est au service des citoyens et non l'inverse et qu'il est plus que temps de conserver ce qui est bon et de nettoyer ce qui est corrompu ! » d'ajouter Luc Harvey.

Renommer le ministère de l'Éducation le ministère de l'Instruction publique

Le PCQ est par ailleurs contre l'imposition obligatoire du cours d'Éthique et culture religieuse - ÉCR qui intervient violemment contre la liberté des parents, sentiment partagé par plus de 75 % des Québécois et dont la décision prochaine de la Cour suprême relancera le débat.

Élus, les conservateurs renommeront le ministère de l'Éducation « ministère de l'Instruction publique ». « Ce n'est pas la responsabilité de l'État d'éduquer », a lancé Jeff Plante.





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« Les Nouveaux Chiens de garde » de l'idéologie dominante

Présentation du film Les Nouveaux Chiens par les producteurs :


Les médias se proclament « contre-pouvoir ». Pourtant, la grande majorité des journaux, des radios et des chaînes de télévision appartiennent à des groupes industriels ou financiers intimement liés au pouvoir. Au sein d’un périmètre idéologique minuscule se multiplient les informations pré mâchées, les intervenants permanents, les notoriétés indues, les affrontements factices et les renvois d’ascenseur.

En 1932, Paul Nizan publiait Les Chiens de garde pour dénoncer les philosophes et les écrivains de son époque qui, sous couvert de neutralité intellectuelle, s’imposaient en gardiens de l’ordre établi.
 Aujourd’hui, les chiens de garde, ce sont ces journalistes, éditorialistes et experts médiatiques devenus évangélistes du marché et gardiens de l’ordre social. Sur le mode sardonique, Les Nouveaux chiens de garde dressent l’état des lieux d’une presse volontiers oublieuse des valeurs de pluralisme, d’indépendance et d’objectivité qu’elle prétend incarner. Avec force et précision, le film pointe la menace croissante d’une information pervertie en marchandise.


Résumé critique :




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France — L'immigration au cœur du désastre scolaire ?

« À ceux qui persistent à penser, à gauche, que l'intégration fonctionne et que l'immigration extra-européenne ne pose pas de problèmes, sinon à la marge, je conseille le rapport du Haut Conseil à l'intégration sur Les défis de l'intégration à l'école, dont la version définitive vient d'être publiée. Si l'on admet que l'école est le révélateur de la société, le « malaise global » qui est décrit dans ce document, prudent, en dit beaucoup sur la faillite du vivre ensemble et sur les perspectives qu'ouvre cette réalité. Le plus affligeant est de constater, une fois de plus, le refus des évidences chez ceux qui défendent mordicus une constante ouverture sur l'immigration « qui enrichit la France » alors que cette donnée est au cœur du désastre scolaire. Le gourou des belles âmes, Stéphane Hessel, qui invite les jeunes à s'indigner du « traitement fait aux immigrés, aux sans-papiers, aux Roms », devrait se révolter contre cette École abandonnée. Mais il est vrai qu'il en est un des irresponsables responsables.

« Le bien commun est en danger », constate (page 91) le Haut conseil qui estime : « L'Éducation nationale est dans une situation d'urgence ». Il note : « Ces dernières années sont marquées par une affirmation de l'appartenance religieuse dans les comportements des élèves [...] Depuis plusieurs années, dans un nombre croissant d'établissements, les cours d'histoire sont le lieu de contestations et d'affrontements, de mise en concurrence de mémoires particulières qui témoignent du refus de partager une histoire commune ». Parmi les observations, celle-ci (page 94)  : « L'antisémitisme est souvent exprimé anonymement [...] Les tensions viennent souvent d'élèves qui s'affirment musulmans. L'antiaméricanisme est souvent lié à l'antisémitisme. La vision du monde qui semble s'opérer est binaire  : d'un côté les opprimés, victimes de l'impérialisme des Occidentaux [...] et de l'autre, les oppresseurs, les Européens et Américains blancs, pilleurs des pays du Tiers-monde ».

Pour l'essentiel, ces descriptions ne sont pas des révélations. Cependant, rien n'a visiblement été fait pour tenter de stopper ce massacre en règle du système scolaire, qui ne sait plus quoi transmettre. Le Haut Conseil a le mérite de sonner une fois de plus l'alarme et de proposer certaines pistes reposant notamment sur le respect de la laïcité, l'aide personnalisée aux élèves, l'apprentissage du français dès la maternelle, le refus de compromis sur le contenu des programmes, etc. Certaines de ses propositions semblent plus saugrenues, comme l'instauration de services d'interprétariat agrées, ou cette bonne initiative (page 29) visant à supprimer les enseignements des langues et cultures d'origines au nom d'une priorité à l'intégration, immédiatement contredite par l'appel à développer ces mêmes enseignements dans un cursus de langue vivante... Reste que ces rustines ne sont pas à la hauteur du naufrage. Faut-il attendre de toucher le fond ? »


Source : Le Figaro




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La collaboration à l'école comme dans les entreprises tue la créativité

Cerveau/Nevit via Wikimedia CommonsDans les entreprises, les écoles ou les centres de recherches, la solitude n’est plus tendance. Elle a progressivement été délaissée au profit du travail en équipe, des plateaux de collaborateurs séparés par des cloisons à hauteur d'homme et des projets communs. Mais le problème de ce mode d’organisation est qu’il amputerait la créativité : « Sans grande solitude, aucun travail sérieux n'est possible », disait déjà Picasso.

Jouir de liberté et d’un lieu privé décuplerait la créativité. D’autant plus que les personnes les plus créatives sont souvent introverties et que dans les travaux en groupe, on observe une certaine tendance à prendre du recul et laisser les autres faire le travail, explique Susan Cain, auteur d'un livre à paraître sur le sujet, dans les colonnes du New York Times.

Cependant, dans certaines entreprises, le travail d'équipe est un moyen stimulant et utile pour échanger des idées. Or, cela fonctionne seulement quand chaque membre travaille de façon autonome sur « sa pièce du casse-tête », et non lorsqu’il est astreint à des réunions interminables ou à des conférences téléphoniques bruyantes. Cela rejoint des études qui montrent que les plateaux (open spaces) peuvent rendre les travailleurs hostiles et distraits.

Une des solutions avancées serait le remue-méninges électronique via internet. La protection de l'écran atténue de nombreux problèmes du travail collectif. C'est un endroit où l’on peut être seul et ensemble en même temps.





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France — Cours le matin, sports l’après-midi : des résultats contrastés

Des élèves qui se sentent « mieux dans leur corps », qui sont plus « autonomes » mais qui n’améliorent pas de façon sensible leurs résultats scolaires. Ce sont les premières conséquences étudiées de l’expérience « cours le matin, sport l’après-midi » menée en France depuis 2010 par 120 collèges et lycées volontaires. Ces derniers expérimentent une organisation du temps différente.

Le principe est de dégager d’importantes plages de pratique sportive pendant la journée, la pratique régulière du sport étant censée « contribuer à la réussite des élèves ainsi qu’à l’amélioration de leur bien-être et de leur santé », selon le ministère de l’Éducation nationale, qui a souhaité encourager cette organisation dans le cadre du débat national sur les rythmes scolaires.

Le bien-être et la santé de leur enfant sont des apports de l'expérimentation qui satisfait neuf parents sur dix, selon l'enquête menée auprès d'un échantillon d'enfants et de parents. Les élèves eux-mêmes sont 43 % à se dire « mieux dans leur corps depuis la rentrée ». Les parents observent par ailleurs que leurs enfants ont une meilleure hygiène de vie. Ils mangent plus, boivent davantage d'eau et la moitié se couche désormais avant 22 heures. Ils sont en revanche un peu plus nombreux à se dire fatigués le matin (35 %).

L'enquête ne relève en revanche « pas de différence significative entre les élèves inscrits dans le programme et ceux qui suivent un cursus normal » en matière de concentration, d'attention, de mémorisation et d'effort. De même, les résultats scolaires ne varient pas. Pour 50 % des parents, les résultats de leur enfant sont « identiques » à ceux de l'année précédente, un pourcentage similaire à celui d'enfants inscrits dans un cursus normal. La Direction des statistiques du ministère de l'Éducation ne relève par ailleurs pas de « différence significative » en matière d'absentéisme.


Source Le Figaro




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