mercredi 18 mai 2022

Google : la Loi sur les nouvelles en ligne donnerait au gouvernement fédéral une « influence sans précédent »

La vice-présidente et directrice générale de Google Canada, Sabrina Geremia, a averti lundi dans un long article que le projet de loi C-18 — également connu sous le nom de Loi sur les nouvelles en ligne — donnerait au gouvernement fédéral « de nouveaux pouvoirs étendus » pour réglementer le contenu des nouvelles. Extrait du communiqué de Google sur la Loi sur les nouvelles.

La loi sur les nouvelles en ligne donnerait aux régulateurs une influence sans précédent sur les nouvelles.

Le projet de loi donne au Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) de nouveaux pouvoirs sans précédent pour réglementer tous les aspects de l’industrie canadienne de l’information. Le CRTC serait chargé de déterminer qui est un journaliste, ce qu’est une entreprise de presse éligible et combien d’argent sera versé à chaque entité — des décisions bien au-delà de son expertise en tant qu’organisme de réglementation de la radiodiffusion. Il superviserait et régirait toutes les négociations entre les éditeurs de nouvelles et les entreprises technologiques, y compris la fixation de conditions obligatoires, tout en résolvant tout litige en résultant et en ayant le pouvoir d’imposer des sanctions. Le projet de loi donnerait également au CRTC un pouvoir pratiquement illimité d’exiger des informations des plateformes et des entreprises de presse.

En fin de compte, le CRTC aurait un pouvoir énorme lorsqu’il réglementerait les nouvelles sur lesquelles les Canadiens comptent, avec peu ou pas de freins et contrepoids.

Google n’est pas la seule entreprise à avoir publiquement dénoncé l’intention du gouvernement Trudeau de réglementer les nouvelles en ligne. Meta (anciennement connu sous le nom de Facebook) et Twitter ont également qualifié la législation de « défectueuse ».

Le projet de loi C-18 obligerait, par exemple, les agrégateurs internet à payer pour les liens vers des nouvelles. Le CRTC appliquerait la négociation obligatoire, surveillerait la conduite des parties impliquées et pénaliserait celles qui ne se conforment pas à ses règles.

Meta a récemment menacé de bloquer l’accès aux nouvelles au Canada sur Facebook si le gouvernement mettait ses plans à exécution.

« Pour faire bref, notre réponse est que nous continuons d’évaluer cette loi », a déclaré Rachel Curran, responsable des politiques publiques de Meta pour le Canada, aux parlementaires en avril. « Nous n’en connaissions pas la portée jusqu’à ce qu’il soit déposé très récemment. Je dirais que nous avons des préoccupations assez sérieuses.

En réponse à des lois similaires introduites par l’Australie l’année dernière, Meta avait mis fin à l’accès au contenu d’actualités sur Facebook. Cette décision a contraint le gouvernement australien à renégocier certaines parties de son régime de réglementation de l’internet. Le Canada a cité la législation australienne comme base sur laquelle ses propres lois proposées ont été fondées.

Source : Google

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«La religion chrétienne est de loin la plus attaquée en France»

Dans son premier ouvrage, le journaliste Marc Eynaud relate les actes de profanation et les agressions à l'encontre des catholiques. Il explique au Figaro comment la France, fille aînée de l'Église, en est arrivée à ce calvaire contemporain. Marc Eynaud est journaliste et auteur de Qui en veut aux catholiques ? aux éditions Artège.

Le Figaro. — Votre ouvrage s'intitule « Qui en veut aux catholiques ? » Ne craignez-vous pas de tomber dans un des travers de notre époque : la victimisation ? Quel est son objet ?

Marc EYNAUD. — La victimisation c'est « l'action de victimiser » si on en croit le Larousse. L'objectif de ce livre est justement l'inverse. Les profanations, incendies, attaques et autres apparaissent peu dans l'actualité sinon totalement décorrélées et traitées comme des faits divers banals. Pardonnez-moi de citer cette phrase d'Albert Camus qui a été trop employée mais « Mal nommer les choses c'est ajouter au malheur du monde ». On ne provoque pas de peur en nommant les choses, en les mettant en lumière mais surtout en les expliquant. Bien au contraire, on rejette le fantasme pour en appeler au palpable, on bannit le sentiment pour faire apparaître la réalité. L'objectif c'est de regarder la réalité en face, de l'appréhender et surtout de comprendre pourquoi nous en sommes arrivés là. « Qui en veut aux catholiques » ne veut pas dire « Les catholiques sont des victimes ». On pourrait d'ailleurs pousser le raisonnement en citant le Christ lui-même sous la plume de l'évangéliste Matthieu : « Vous serez haïs de tous à cause de Mon Nom ». Ce n'est ni un avertissement, ni une phrase destinée à faire peur mais un constat qui sonne comme une évidence tranquille.

—  Les catholiques sont-ils particulièrement touchés par les agressions et les profanations ?

—  Indubitablement oui. Les quelques chiffres que lâchent du bout des lèvres les services du ministère de l'Intérieur le prouvent : 1052 faits recensés, qui se décomposent en 996 actions et 56 menaces. La religion chrétienne est de loin la plus attaquée. Je demande au lecteur de faire l'expérience de taper les mots-clefs « Profanation église » ou « effraction église » dans un moteur de recherche pour s'en rendre compte. Objectivement c'est assez effrayant. Bien entendu, on peut expliquer ce sinistre record en partie par le fait que les églises et calvaires sont les édifices religieux les plus nombreux sur le territoire, certains d'entre eux abritent des trésors qui excitent l'attrait des voleurs, ferrailleurs et trafiquants d'art. En revanche, les actes purement malveillants sans objectif de vol se multiplient en parallèle. En outre, il ne faut pas l'oublier mais les chrétiens sont les cibles privilégiées des attentats islamistes. L'assassinat du Père Hamel est le plus symbolique mais on peut rajouter les attentats manqués de Villejuif et de Notre-Dame de Paris. Celui, réussi hélas, de la basilique de Nîmes et je révèle dans ce livre qu'un attentat au couteau a été déjoué in extremis à Montmartre.

L'Église a démontré en plus de deux mille ans d'existence qu'elle résistait bien mieux aux coups portés de l'extérieur qu'à ses propres turpitudes.

—  Comment expliquez-vous l'effondrement de la pratique catholique en France, fille aînée de l'Église ?

— Je laisse aux historiens le soin du détail mais on peut parler d'une déchristianisation en plusieurs étapes : les Lumières, la Révolution française, le rationalisme, la séparation de l'Église et de l'État et enfin la sortie de la Seconde guerre mondiale.

Pendant la Révolution française on parlait même de « déprêtrisation ». Cela a entraîné une hémorragie sans précédents dans l'Église de France, une hémorragie aggravée par la perte de son pouvoir temporel, traduite par l'éparpillement de ses biens devenus nationaux. Si cette période n'a pas été fatale à l'Église, elle a cependant provoqué de tels dégâts que les effets s'en font encore sentir aujourd'hui. La séparation de l'Église et de l'État a quant à elle largement sorti l'Église catholique de la place publique, perdant ainsi le monopole de l'Éducation, et plus largement du tissu social. Il faudra attendre la tragédie de 14/18 pour que la République prenne conscience de l'importance du religieux chez les hommes qui mourraient en masse pour elle. Ils auront quand même été 32.000 à servir dans les tranchées. L'Église affronta aussi la modernité, l'essor du marxisme et la confusion entre universalisme et mondialisation… Pour finalement finir dans une société postmoderne dont les valeurs et les envies sont aux antipodes de sa doctrine. On est en train d'assister à une véritable sortie de route.

— La pédocriminalité au sein de l'Église a-t-elle participé de cet effondrement ?

— Une chose est certaine, l'Église a démontré en plus de deux mille ans d'existence qu'elle résistait bien mieux aux coups portés de l'extérieur qu'à ses propres turpitudes. Le Père Abbé du Barroux, Dom Louis-Marie, m'avait confié ceci : « C'est une tristesse, mais aussi une réalité, de dire que les premiers coupables de profanation sont bien des hommes d'Église. Les révélations sur les crimes de mœurs en ont montré l'horreur. Des prêtres habitués à des turpitudes des plus abjectes ont célébré la messe. Le pape François a même comparé leur crime à des messes noires ». Indubitablement, ces crimes commis et trop souvent cachés ont fait plus de mal que les pires persécutions antichrétiennes. Elles actent tout de même une défaillance collective chez de trop nombreux évêques. « Pardonne-nous d'avoir pris ta miséricorde pour une tolérance devant le mal », s'était exclamé Mgr de Moulin-Beaufort devant la Grotte de Lourdes, le 6 novembre dernier. L'abjection de ces crimes commis c'est encore le Christ qui en parle le mieux : « Quiconque scandalise un de ces petits qui croient en moi, il lui vaudrait mieux qu'on lui pendît une meule d'âne au cou, et qu'on le jetât au fond de la mer. » Oui, la pédocriminalité a porté un rude coup à l'institution, mais surtout à la confiance des fidèles abusés et de leurs familles et à tous ceux qui voyaient en l'Église une institution bienveillante.

— Vous écrivez : « Les catholiques sont coincés entre leur aspiration à la charité et leur inquiétude de voir les mosquées pousser tandis que les églises se vident lorsqu'elles ne sont pas profanées ou incendiées. » Ce tiraillement semble s'être dessiné dans le vote des catholiques pratiquants lors du premier tour de l'élection présidentielle. Comment y répondre ?

— Les chiffres des sondeurs et les nombreuses enquêtes nous montrent une chose : la répartition des votes chez les catholiques, tout degré de pratique confondu, est sensiblement identique à la répartition nationale. Il n'y a pas d'électorat catholique ou plutôt il n'y a pas de candidat derrière lequel ils seraient susceptibles de se ranger majoritairement. Il y a indubitablement les mêmes fractures chez les catholiques que dans le reste du corps électoral. Scindés entre la génération des baby-boomeurs qui sera portée vers un vote centriste ou social et une jeunesse plus identitaire, plus conservatrice que ses ainés, cela s'est vu à de nombreuses reprises ces dernières années. Les dignitaires de l'Église doivent composer avec une jeunesse attendant davantage « Les cosaques et le Saint-Esprit » pour reprendre la formule de Léon Bloy qu'un « synode sur la synodalité ».

— Jean-Luc Mélenchon est le troisième homme de ce scrutin. Le candidat de la France insoumise a semble-t-il bénéficié d'un vote communautaire, en témoignent ses importants scores à Bobigny (60%), Creil (56%), Roubaix (52%), Dreux (45%), ou Grigny (56%), et les divers appels au vote dans la communauté musulmane les semaines précédant le scrutin. Le discours de la France insoumise sur la laïcité est-il ambigu ?

— Il est surtout incompréhensible sur le plan intellectuel et totalement cynique sur le plan politique. Les Insoumis savent qu'ils reposent sur une imposture : celui de faire croire qu'ils représentent la France des périphéries et des ouvriers alors qu'ils portent l'indigénisme et l'islamisme à bout de bras. Ce n'est pas un hasard si 69 % des musulmans de France ont voté Jean-Luc Mélenchon, ce n'est pas un hasard si les principaux leaders islamistes comme Hani Ramadan ont appelé à voter pour lui. Mélenchon est le candidat des musulmans. Sa famille politique dispute avec EELV la primauté de l'islamo-gauchisme. C'est à l'université d'été de la France Insoumise qu'Henri Pena-Ruiz a été chahuté pour avoir simplement combattu le concept d'islamophobie. C'est à cette occasion que l'élue écologiste Bénédicte Monville, chef de file de l'opposition écolo à Melun s'était exclamée : « Personnellement, je n'ai rien à voir et je combats ces tenants d'une “laïcité” qui exclut, stigmatise, humilie et nous divise ». Cette même élue qui livre un combat acharné contre la mairie de Melun coupable d'avoir voulu installer… une crèche de Noël ! Sans compter que tous ces élus ont évidemment manifesté main dans la main avec des islamistes à cette scandaleuse « Marche contre l'islamophobie ».

Source: Le Figaro


Qui en veut aux catholiques ?

Incendies. Profanations. Ces faits qu'on ne veut pas voir
par Marc Eynaud,
publié aux Éditions Artège,
le 6 avril 2022,
à Paris,
232 pp.,
ISBN-13 : 979-1033612377.





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Éthique et culture religieuse (toujours pas abrogé) — certains profs disent marcher sur des oeufs

Les enseignants ont parfois du fil à retordre avec des sujets abordés dans le cadre du cours d’éthique et culture religieuse (ECR). Face à des contenus jugés plus « délicats », notamment la religion, certains ont « l’impression de marcher sur des œufs », révèle un rapport produit par le ministère de l’Éducation dans la foulée de la refonte de ce cours.

À la rentrée 2023, le cours d’ECR sera remplacé par le cours Culture et citoyenneté québécoise. Dans le cadre de cette refonte, le ministère de l’Éducation a mené une consultation dans les écoles et en a tiré un rapport daté de mars 2021, mais rendu public récemment à la suite d’une demande d’accès à l’information.


Le document lève le voile sur certaines difficultés rencontrées par les enseignants qui ont à aborder en classe des « sujets complexes et sensibles », parfois « source de tension », lit-on dans ce rapport, qui cite une dizaine d’enseignants tout en préservant leur anonymat.

Parmi ces sujets délicats figure « le thème de la tolérance, où la problématique du racisme est abordée avec la tension que le mot en N peut engendrer… », observe un enseignant.

Un autre estime que parler de tolérance « relève de la prouesse ». « […] Plusieurs élèves et leurs parents sont carrément racistes ou xénophobes et cela transparaît dans les réponses de plusieurs élèves… D’autre part, aborder l’intimidation est difficile quand dans les classes mêmes se retrouvent les agresseurs et les victimes », témoigne-t-il dans le document.

Un certain « malaise »

Si le programme ECR est obligatoire de la 1re année du primaire à la 5e année du secondaire, le rapport gouvernemental montre que la perception de la culture religieuse est fort différente selon le niveau auquel on l’enseigne.

Au primaire, des instituteurs jugent que la culture religieuse est « trop abstraite » pour les élèves et une majorité estime qu’elle ne « contribue pas au rôle de l’école ».

La majorité des élèves n’ayant pas d’appartenance religieuse, ou ne sachant même pas qu’ils en ont une, ne sont pas prêts à recevoir ces connaissances. [Rien d’étonnant : on leur enseigne une myriade de petits faits religieux alors qu’ils ne connaissent même pas leur tradition religieuse, ils ont 6 ans en 1re année..]

Une conseillère pédagogique estime pour sa part que le « malaise » de certains enseignants par rapport à l’enseignement de la culture religieuse est « comparable à celui suscité par l’éducation à la sexualité ».  [Un autre sujet « moderne » de l’État qui ne se limite plus à enseigner les matières de bases, mais veut façonner la morale des enfants. Entretemps, le français et la culture générale des enfants sont lacunaires.]

Certains ont « très peu de culture religieuse et ne se sentent pas compétents pour le faire ; d’autres se font une fausse idée de ce volet ; d’autres encore le comprennent mal. Certains ont eu un vécu personnel négatif en lien avec une religion. Certains craignent les religions et même les haïssent », a confié cette conseillère.

Des enseignants craignent de « heurter certaines sensibilités », note-t-on aussi dans le rapport de Québec.

« En ce sens, le contexte social et familial est pour certains un obstacle : soit on craint que le discours de l’école sur le phénomène religieux confronte la vie religieuse familiale ; soit l’absence de dimension religieuse dans la vie familiale rend le sujet caduc », y lit-on. [Mais qui a eu l’idée d’imposer une seule formation identique pour tous dans ce domaine ?]

Un cours peu valorisé

Parmi les autres difficultés rencontrées dans l’enseignement de ce cours, des professeurs du secondaire citent un trop grand nombre d’élèves, la lourdeur de la tâche et le manque de temps pour bien enseigner.

Un enseignant de Montréal note que certains de ses collègues du secondaire ont jusqu’à 14 groupes à suivre. « Comment mettre de l’avant, mettre en application un programme, quand tu as plus de 450 élèves avec qui faire des suivis ? C’est impossible », a confié l’enseignant.

Un autre considère que le manque de temps consacré à ce cours fait que la matière est « garrochée ».

La moitié des enseignants du secondaire qui ont répondu au questionnaire du ministère de l’Éducation ont indiqué ne pas avoir de formation initiale en éthique et culture religieuse.

Le cours d’éthique et culture religieuse est dévalorisé, notent les auteurs du rapport, qui font état de « frustration » à cet égard chez les enseignants. Un enseignant mentionne un « mépris » par rapport au cours, tandis que d’autres déplorent que ce soit perçu comme une « matière douce », une « matière fourre-tout dans laquelle on envoie tous les intervenants [des associations politiquement correctes] de l’école faire leur petit numéro ».

Le nouveau cours de culture et citoyenneté québécoise sera consacré à la culture et à la citoyenneté québécoises, comme son nom l’indique, ainsi qu’au dialogue et à la pensée critique. Le ministère de l’Éducation entend y inclure des notions d’éducation aux médias et d’éducation à la sexualité. L’élève sera aussi amené « à aborder des dilemmes moraux ainsi qu’à examiner des repères culturels, moraux, religieux, scientifiques et sociaux ». [Fin du volet religieux, donc moins d’informations factuelles, mais toujours autant de « dialogue » et d’éthique… les volets que condamnaient le Collège Loyola.]

Le ministère de l’Éducation indique qu’« un ensemble d’éléments et considérations ont été pris en compte dans le processus de révision du programme d’Éthique et culture religieuse ».

Source : La Presse

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