mercredi 7 décembre 2011

Mgr Tony Anatrella face à la « théorie du genre »





Soutenons les familles dans leurs combats juridiques (reçu fiscal pour tout don supérieur à 50 $)

Mère de quatre enfants et plus : bon pour le cœur

Selon une étude publiée dans Fertility and Sterility, les mamans à la tête d'une grande famille auraient moins de problèmes cardiaques que les autres.

Avoir une grande famille, ça met de l'ambiance et de la vie à la maison. C'est parfois fatigant aussi. Mais cela a aussi un impact sur la santé de la maman.

D'après cette étude de l'université de Californie à San Diego, une mère de quatre enfants ou plus a moins de chance d'être, un jour, confrontée à un problème cardiaque, contrairement à celles qui n'ont jamais été enceinte.

Menée auprès de 1.300 femmes ménopausées, l'étude américaine a démontré que les mères de famille nombreuse avaient deux fois moins de risque de mourir d'une crise cardiaque.

D'après les scientifiques, la santé du coeur est liée au nombre de grossesses. Ils affirment que le taux élevé d'hormones de grossesse exerce un rôle durable sur les vaisseaux sanguins.

Pour le chercheur principal, Marni Jacobs, « ce lien n'est pas encore très clair. » Mais cela pourrait aussi être dû à d'autres facteurs tels que le fait que « les mères qui vieillissent ont la chance d'être épaulées dans leurs tâches par leurs nombreux enfants. »




Soutenons les familles dans leurs combats juridiques (reçu fiscal pour tout don supérieur à 50 $)

Faut-il interdire les ordinateurs en salle de cours ?

Faut-il interdire les ordinateurs dans les écoles de gestion ? Telle est la première question que je me pose dès la première minute de mon premier cours. C’est, en effet, une impression bizarre de parler, d’enseigner à des jeunes gens qui passent le cours les yeux braqués sur les écrans de leurs machines. Une impression totalement déstabilisante.

Dès mon premier cours, je les ai vu s’installer et aussitôt ouvrir leurs Macbook, leurs Assus et autres PC de poche. Et je me suis demandé : « Mais que font-ils pendant que je leur transmets mon savoir ? » Jouent-ils en ligne ? Consultent-ils leurs courriels ? Communiquent-ils avec leurs amis par Facebook ou messageries instantanées ? Dorment-ils, cachés derrière leurs appareils ?

La réponse est vite tombée. Encore plus déstabilisante. Je développe un point de mon cours. Un étudiant lève le doigt, très poliment, et explique, très calmement, que, cinq ans auparavant, dans un article, j’écrivais le contraire de ce que je dis maintenant.

Quelques quarts d’heures plus tard, je développe une autre idée. Un deuxième étudiant demande la parole. Il apporte des informations inédites pour renforcer le point de cours que j’étais en train de développer. Pendant que je parlais, les étudiants, non seulement prennent des notes sur leurs machines et, dans le même temps, vérifient mes dires via une recherche en ligne. Je suis évidemment totalement déstabilisé.

Est-ce bien ? Est-ce mal ? La question se pose. J’ai échangé avec quelques collègues. Certains acceptent cette situation, qui finalement enrichit la discussion qui doit se dérouler durant le cours entre un enseignant et des étudiants. D’autres exigent que les ordinateurs soient fermés. Pour éviter les tentations ludiques, certes. Mais aussi parce que leur cours a été conçu après des recherches approfondies, renforcées parfois par leurs expériences professionnelles. Ils jugent qu’ils n’ont pas à se battre contre des plus ou moins vérités formatées diffusées par Internet. Le débat n’est pas clos.

Source

Voir aussi

Les élèves apprendraient mieux sans ordinateur





Soutenons les familles dans leurs combats juridiques (reçu fiscal pour tout don supérieur à 50 $)