lundi 15 novembre 2010

Nouvelle phase de la campagne de financement de la CLÉ

La Coalition pour la liberté en éducation (CLÉ) entame une nouvelle phase de sa campagne de financement. Extrait de son site Internet :
Campagne de financement pour notre fonds juridique

Les décisions des tribunaux québécois dans le dossier de l'imposition du programme ECR ne constitue qu'une première étape dans un long processus juri­dique. La CLÉ organise actuellement une collecte de fonds pour les parents de Drummondville dont la cause sera entendue en Cour suprême du Canada.


La CLÉ se bat pour que les parents soient à nouveau reconnus comme les premiers éducateurs de leurs enfants. Ce combat est inéqui­table, le gouver­nement s’abreuvant à même nos taxes et impôts ! Si le combat des libertés scolaires vous tient à cœur, aidez la CLÉ à défendre celles-ci !

Cette cause citoyenne, chère aux parents du Québec, fera ulti­mement juris­prudence.

Aidez-nous à financer la défense du droit des parents de choisir la formation philosophique ou religieuse que leurs enfants reçoivent à l'école.

Faites un don déductible d'impôts ici (instructions ici).



Le thermomètre ci-dessus sera mis à jour toutes les deux semaines pendant notre campagne pour indiquer le montant de vos dons collectés pendant cette campagne. Notre objectif à ce stade est de récolter 100 000 $.






Soutenons les familles dans leurs combats juridiques (reçu fiscal pour tout don supérieur à 50 $)

Vers des cégeps bilingues...?

Le gouvernement Charest doit donner le feu vert à un projet pilote dans les cégeps dans le cadre duquels les cours seraient dispensés en anglais et en français « pour les élèves qui souhaitent une formation bilingue ».


La proposition des libéraux de Montréal et de la Commission des communautés culturelles du PLQ a été adoptée dimanche sans échanges passionnés par les militants réunis à Lévis. La ministre responsable de la Charte de la langue française, Christine St-Pierre, n'a pas voulu se prononcer au moment du vote, mais par la suite, elle s'est dite « tout à fait à l'aise avec la proposition ». « Il ne faut pas dramatiser, les cégépiens disent qu'ils sont mal outillés en anglais, qu'il faut faire quelque chose», a-t-elle soutenu, en soulignant qu'il s'agissait d'un « projet pilote » uniquement. On aura donc bien compris qu'il ne s'agit pas de rendre les anglophones parfaitement à l'aise en français, langue qui à une époque devait devenir la langue d'usage commune au Québec.

Madame Saint-Pierre n'a pu s'empêcher de ressortir un cliché également présenté dans la proposition de bilinguisme précoce chez les libéraux sans les scandales de M. Allaire les adéquistes de ce dimanche : « Il n'y a pas d'aspect négatif à avoir une nouvelle langue, c'est comme ajouter une nouvelle fenêtre à notre maison. »




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