jeudi 24 mai 2012

La hantise des parents éducateurs...le manque de socialisation de leurs enfants

Le manque de socialisation est un prétexte souvent donné par les fonctionnaires (et au moins un juge voir ci-dessous) pour s'opposer aux droits des parents et les empêcher d'instruire leurs enfants à la maison. Pourtant, ce n'est pas un souci réel pour la grande majorité des parents qui savent bien que leurs enfants sont en général aussi bien « socialisés », sinon mieux, que les enfants de l'école publique qu'ils trouvent souvent mal élevés ou élevés dans une permissivité inopportune pour des raisons idéologiques.




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Ruée des étudiants vers les collèges privés

Les collèges privés, épargnés par le boycott étudiant, ont vu leurs demandes d'admissions pour 2012-2013 augmenter par rapport aux années précédentes.

C'est le cas, notamment, du collège Grasset, dans le nord de Montréal. La directrice de l'établissement, Lyne Boileau, indique que le collège a admis 34 étudiants de plus que l'an dernier. En outre, 130 autres étudiants ont été inscrits sur une liste d'attente, comparativement à 6 ou 7 étudiants en temps normal.

Il était impossible d'admettre les étudiants fréquentant déjà le réseau collégial public, précise-t-elle, mais le nombre de finissants du secondaire a bondi.

La situation est semblable dans les autres collèges privés, qui ont tenté d'accepter le plus d'étudiants possible, prêts à payer 4 000 $ pour une année d'enseignement.

Malheureusement, leur capacité d'accueil est limitée, souligne le directeur général de l'Association des collèges privés du Québec, Pierre l'Heureux. Les collèges ne pourraient pas, dit-il, recevoir des milliers de demandes l'an prochain, particulièrement dans la région de Montréal.

Les cours dispensés par les collèges privés pour la session d'automne s'amorceront, comme à chaque année, en août.




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