lundi 15 février 2010

Le monopole de l'Éducation du Québec poursuit deux écoles juives

La ministre de l'Éducation du Québec, Michelle Courchesne, a décidé de poursuivre en justice le cas de deux écoles juives qui refusent de se conformer au régime pédagogique du Québec.

La Yechiva Torath Moiché, dans le Mile-End à Montréal, a déjà fait appel à un avocat, et n'a pas voulu répondre aux questions des médias. La direction de l'école Toch, à Boisbriand, a également décliné l'invitation à expliquer sa décision de ne pas se plier à la demande de Québec.

Ces deux institutions se retrouvent isolées, car sept autres écoles juives ont cédé face aux menaces du Monopole de l'Éducation et ont conclu une entente avec celui-ci après des négociations qui ont duré deux ans.

En refusant de se soumettre au régime pédagogique québécois, ces deux écoles voient leurs subventions de Québec entièrement coupées.






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Phil Jones à la BBC : pas de réchauffement depuis 1995

Phil JonesLe CRU, un des centres les plus éminents en recherche climatique, et son directeur Phil Jones étaient déjà au centre du scandale « Climategate », cette fuite de courriels et de données avait révélé plusieurs comportements douteux de la part de ces scientifiques au centre du GIEC :
  1. D'abord, un petit groupe de scientifiques tentent réellement de détourner le processus d'évaluation par des pairs et de réprimer toute voix dissidente.

  2. Secundo, une apparente volonté de manipuler les données pour correspondre à un point de vue politique. Ceci, si la chose est avérée, devrait conduire à de sévères sanctions à l'égard de ces scientifiques, et sans doute à la perte de leurs postes.

  3. Tertio, ce qui ressemble à s'y méprendre à une conspiration pour empêcher que des données ne soient rendues publiques contrairement aux lois d'accès à l'information aux États-Unis et en Grande-Bretagne. Ces agissements vont certainement à l'encontre de l'esprit scientifique selon Karl Popper qui impose que des expériences soient vérifiables et réfutables.
Voici que, dans entrevue donnée à la BBC, le professeur Phil Jones a, à nouveau, apporté de l'eau au moulin des « sceptiques ».

Un optimum climatique médiéval potentiellement comparable au nôtre

Phil Jones reconnaît dans cet entretien qu'il est possible que le monde ait connu au Moyen-âge un réchauffement aussi important qu'aujourd'hui. Rappelons que, dans les premiers graphiques « en crosse de hockey », l'optimum médiéval disparaissait tout simplement. Dans un courriel envoyé à Phil Jones, l'auteur de ce graphique, Michael Mann, pensait avoir trouvé un moyen « pour contenir le prétendu "OM" [Optimum médiéval] ».

Comme le note le Daily Mail, Phil Jones est le premier scientifique réchauffiste de renom travaillant pour le GIEC à avoir admis la possibilité que l'Optimum médiéval avait constitué un précédent planétaire au réchauffement actuel.



Pas de réchauffement depuis 1995

Le professeur Jones admet également qu'il n'y a eu aucun réchauffement enregistré de 1995 à nos jours. Il y aurait même eu un léger refroidissement depuis 2002 mais dans une mesure qui, pour lui, n'est pas « statistiquement significative ». Aveu qui, jusqu'il y a peu, assurait un aller simple dans le camp des « négationnistes» du réchauffement climatique.

Selon John Christy, les données historiques de température ne sont pas fiables

John Christy, professeur de sciences atmosphériques à l'Université de l'Alabama à Huntsville et ancien auteur principal du rapport du GIEC, a déclaré que « les données historiques de température ne sont pas des indicateurs fiables du réchauffement planétaire ».

Cette station météo à ShenZhen (Chen-tchen) se situait en zone rurale il y a plus de 30 ans, elle se trouvait également à quelques kilomètres de sa position actuelle.

Le Times de Londres rapporte que les doutes de Christy, ainsi que d'autres scientifiques, concernent la fiabilité de milliers de stations météorologiques de par le monde qui ont été utilisées depuis 150 ans pour mesurer la température.

Selon ces savants, leur fiabilité a été fortement affectée par des facteurs tels que l'urbanisation, le changement d'affectation des terres (par exemple, la transformation d'un champ cultivé en prairie) et, dans de nombreux cas, le déplacement de la station d'un endroit à un autre.

Christy a publié plusieurs articles scientifiques qui se penchent sur ces effets dans trois régions différentes : l'Afrique orientale, la Californie et l'Alabama.

« C'est à chaque fois la même histoire, dit-il, les jeux de données les plus utilisés indiquent un fort réchauffement, mais la hausse apparente de température est due à des facteurs locaux qui affectent les données des stations météo, comme l'évolution de l'utilisation des sols. »

Station météo à l'aéroport Ciampino à Rome en Italie


Longue série de révélations embarrassantes sur le rapport du GIEC continue

Le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC) a admis hier avoir hâtivement estimé que 55 % du territoire des Pays-Bas se trouvait sous le niveau de la mer, précisant qu'il s'agit en fait des terres « risquant d'être inondées », y compris par des rivières de l'intérieur du pays. Le gouvernement néerlandais avait annoncé le 5 février qu'il allait demander des « éclaircissements » au GIEC après que ce chiffre, inexact selon La Haye, avait été révélé dans la presse. Il figurait dans une phrase du quatrième rapport du groupe d'experts, publié en 2007, qui avait déjà été critiqué pour avoir prévu que les glaciers de l'Himalaya auraient fondu « d'ici 2035, voire avant » et inclus dans son rapport des conclusions fondées sur des rapports partisans et non scientifiques sur les glaciers des Alpes, des Andes, les conséquences du changement climatique sur les récoltes du Maghreb (voir aussi ici).


Activité cyclonique de l'hémisphère Nord, l'année 2009 est à l'extrême droite, une des années les plus basses

Le dernier scandale (le « gate du jour » comme disent les médias anglo-saxons) concerne le prétendu impact du réchauffement climatique récent sur les ouragans et les cyclones. Il est fort possible que le GIEC doive revenir sur ses déclarations publiées dans son quatrième rapport (le dernier) à l'effet que le récent réchauffement climatique expliquerait une augmentation de l'activité cyclonique. Les Hatton, docteur en météorologie, professeur à l'Université Kingston en Grande-Bretagne, s'est penché sur les données brutes pour en effectuer une analyse statistique. Cette analyse révèle que l'affirmation selon laquelle l'activité cyclonique a augmenté n'est pas fondée. »


(L'étude de Les Hatton : 1999-2009: Has the intensity and frequency of hurricanes increased ?, 16 pages en PDF)






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15 % des élèves diplômés pas prêts pour le cégep

La Fédération des cégeps lance un cri d’alarme : de plus en plus d’élèves du secondaire ne répondent plus aux critères minimums d’admission dans un cégep. Pour faire face à ce phénomène, les cégeps ont dû mettre en place des classes spéciales d'intégration.

Selon le président de la Fédération des cégeps, Gaétan Boucher, 15 % des étudiants qui arrivent du secondaire ne sont pas prêts à faire face aux exigences académiques des collèges. Des classes spéciales ont donc été créées pour ramener ces jeunes à un niveau scolaire acceptable. En 1996, 1,6 % des cégépiens s'y retrouvaient. Aujourd'hui, c'est presque dix fois ce nombre.

Source






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