samedi 13 mars 2010

Souper-bénéfice conjoint, le 20 mars à 17 h

L'Association de la communauté copte orthodoxe du grand Montréal tient un souper-bénéfice, le samedi 20 mars prochain.

La totalité des fonds recueillis sera partagée, à parts égales, entre la CLÉ et les Coptes orthodoxes, victimes des attaques du 6 janvier dernier, en Égypte (7 tués, une quinzaine de blessés et des maisons incendiées).

Lieu

Église St Georges & St Joseph,
17400, boul. Pierrefonds à Pierrefonds
(à l'ouest du boul. St Charles).

Menu, service et prix du billet

  • Souper végétarien (carême oblige) avec beaucoup de variétés orientales, délicieuses ;

  • Dessert, boissons chaudes et froides sont compris ;

  • Service à 17h ;

  • Les enfants en bas de 12 ans ne sont pas admis ;

  • Les billets sont en vente à 20,00 $.

Réservations par courriel : avamalek<arrobe>videotron.ca


Le programme

  • Mot du président de ACCOM 

  • Revue rapide et dernières nouvelles concernant le cours ÉCR 

  • Courte vidéo montrant Sa Sainteté le pape Chénouda III rendant visite, à l'hôpital,aux blessés de la dernière tuerie du 6 janvier, contre les Coptes orthodoxes, en Égypte 

  • Mot sur les tristes évènements (6 jeunes assassinés à cause de leur foi chrétienne) survenus le 6 janvier dernier, veille de Noël 

  • Mot du très révérend archiprêtre Arsanios Aziz, curé de l'église St Georges & St Joseph 

  • Prière de clôture. (19 h 10).


Comment s'y rendre 

En venant de Montréal, on peut prendre l'autoroute 20 Ouest ou la Transcanadienne Ouest.

Sortie boul. St Charles (direction Nord)
Continuer sur St Charles, jusqu'au boul. Pierrefonds
Tourner à gauche sur Pierrefonds

L'église est à votre gauche, après le 1er stop. Grand bâtiment blanc.


Agrandir le plan

Le Cardinal Ouellet denonce l'abolition des congés scolaires communs

Le cardinal Ouellet s'est également opposé à l'abolition des congés scolaires communs dans un billet publié dans Le Soleil le 21 février.

Or, le Ministère de l’Éducation vient de décider unilatéralement d’abroger l’article 19 du Régime pédagogique, qui contient la liste des congés obligatoires, dont les samedis et les dimanches, le jour de Noël et le Vendredi saint. L’école sera désormais possible sept jours sur sept. Cette nouveauté prétend accommoder le rattrapage scolaire pour les communautés juives et pour d’autres fins, semble-t-il, que la ministre ne réussit pas à justifier face à la grande majorité.

Je fais remarquer que cette énième réforme en éducation ajoute un obstacle supplémentaire au respect du dimanche, un symbole identitaire québécois plus important que le crucifix à l’Assemblée nationale. C’est pourquoi je proteste au nom de l'Église catholique et je demande à l’État de révoquer cette décision qui va à l’encontre des valeurs de la société civile.

Le rôle de l’État n’est pas d’imposer des valeurs, mais plutôt de respecter les valeurs de la société civile pluraliste en lui offrant un encadrement souple et respectueux.

Quant au gâchis qui résulte des multiples réformes de l’éducation pour en écarter la religion, je constate tristement qu’un certain refus global de notre identité catholique conduit de plus en plus à un fouillis global en éducation. Les sous-produits sont bien connus : couples fragiles, familles éclatées, avortements massifs, bientôt l’euthanasie, suicides à un taux effarant, décrochage scolaire évidemment, travail sept jours sur sept, etc., etc.






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Fédération des syndicats d'enseignement — mieux vaut attendre que les élèves soient mûrs avant d'enseigner ECR

La Fédération des syndicats d'enseignement (FSE-CSQ) recommande à la ministre de l'éducation de surseoir à son projet qui consisterait à permettre le transfert d'une partie du cours d'éthique et culture religieuse qui se donne actuellement en secondaire IV vers la classe de secondaire III. Pour l'instant, il n'y a pas de cours d'ECR en secondaire III.

Dans un document intitulé Conseil Fédéral, on peut lire :
« À première vue, il est difficile de croire que le programme Éthique et culture religieuse, qui semble demander une certaine maturité aux élèves, puisse être apprécié de ces derniers en 3e secondaire. De plus, on ignore les impacts sur les cours à options actuellement offerts en 3e secondaire. Nous aurions eu besoin de plus de temps pour analyser cette avenue offerte sans obligation. »
La Fédération recommande donc :
« soit maintenu le statu quo sur la grille-matières du 2e cycle, n’ayant pas assez d’informations pour se prononcer sur ce sujet. De plus, l’enseignement du programme Éthique et culture religieuse apparaît plus pertinente en 5e secondaire, compte tenu de la maturité des élèves. »
Via le site Éthique et culture religieuse.






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L'initiateur du Manifeste pluraliste contre la liberté de choix ?

Les multiculturalistes (qui se prétendent pluralistes et désirent imposer un programme unique scolaire, joli contradiction !) commencent à s'inquiéter comme le rapporte le journal Au Fil des événements de l'Université Laval :

« On assiste depuis quelques mois à une alliance qui semblait plutôt improbable entre des groupes qui veulent refouler le religieux hors de la sphère publique et des nationalistes conservateurs qui voient le Québec d’aujourd'hui comme ayant trop concédé à la diversité culturelle », constate Jocelyn Maclure, qui est spécialiste en éthique et en philosophie politique.

Selon lui, les coalitions en faveur d’une charte de la laïcité et les groupes qui militent pour la liberté en éducation et qui refusent le nouveau programme d’éthique et de culture religieuse prennent de plus en plus d’espace. D’autant plus, souligne Jocelyn Maclure, que des chroniqueurs très influents comme Richard Martineau, Joseph Facal ou Jean-François Lisée relaient le discours nationaliste conservateur.






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Le philosophe Nestor Turcotte critique la superficialité du cours ECR

Le philosophe, théologien et politicien Nestor Turcotte critique la superficialité du cours ECR dans un récent article :

Le déplacement de l’accent mis sur ce qui est secondaire ou accidentel aux dépens de ce qui est essentiel dans le christianisme se retrouve particulièrement dans le domaine de la morale ou de l’éthique. Celle-ci, dépouillée de plus en plus de son élément de transcendance, se retrouve réduite à de bons rapports avec les hommes, à un code de convenance, à un mieux vivre-ensemble, comme on l’enseigne présentement à nos jeunes adolescents dans le nouveau cours Éthique et culture religieuse. Les règles universelles tombent. Chacun écrit ses propres règles. Ce que chacun fait est nécessairement bon puisque l’acte posé fait référence à des critères subjectifs. Et parce que l’unique commandement qui a remplacé tous les autres est celui de la tolérance, on est venu, lentement, à tolérer l’intolérable au nom de la tolérance.

Suite de l'article.






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Belgique — Enseignante musulmane peut porter son voile en classe

La Cour d’appel de Mons en Belgique a donné raison à l’enseignante musulmane de mathématique qui porte le voile en donnant ses cours. L’école publique l’avait interdit en septembre dernier alors que la jeune femme avait entamé sa carrière en 2007, sans que le voile ne pose problème.

Cette jeune femme musulmane enseignait les mathématiques et la physique dans une école communale de Charleroi (Belgique) depuis deux ans et demi, tout en portant le voile. Personne ne lui avait fait la remarque jusqu’à ce début d’année scolaire, où la direction de l’établissement la somme de retirer son voile, ce qu’elle refuse.

En référé (injonction), le tribunal avait donné raison à la Ville de Charleroi dont dépend l'école communale, au nom de la neutralité que doivent respecter les enseignants, et en se basant sur le décret neutralité de la Communauté française. Pourtant, en appel, le jugement est complètement démonté : la Cour d’appel estime en effet que ce décret ne s’applique qu’aux établissements publics de la communauté francophone de Belgique.

Or, ici, on est dans l’enseignement officiel subventionné, et le pouvoir organisateur, en l’occurrence la Ville de Charleroi, n’a pas précisé ce cas de figure dans sa réglementation. La jeune femme a donc le droit de porter le voile puisqu’il n’est pas formellement interdit. Mais les attendus de l’arrêt vont plus loin : ils précisent que le voile, au même titre que la kippa ou la croix, peut être visible mais la manière de le porter doit être empreinte de discrétion.


Extraits de journaux télévisés belges sur la chaîne publique du 11 et 12 mars 2010








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Le Cardinal Marc Ouellet critique à nouveau l'imposition du cours d'éthique et de culture religieuse

Lors de la Montée Ados 2010, un jeune a questionné le Cardinal Ouellet à propos du nouveau cours d'éthique et de culture religieuse. À la question « Que penser du cours d’éthique et culture religieuse ? » le Cardinal a répondu aux jeunes sur place que ce cours « devrait être libre, laisser la possibilité de choisir un autre cours. ».

Le cardinal s'inquiète de la qualité du cours d'éthique et de culture religieuse. Il explique qu'il est difficile pour un enseignant qui connait peu sa religion d'en savoir beaucoup sur toutes les religions. Il s'explique mal aussi comment on peut mettre de coté les convictions personnelles en prodiguant un tel cours.

Il rappelle aux jeunes qu'ils ont servi et servent encore de cobayes, et qu'on pourra éventuellement voir les résultats de cette « expérimentation » qu'il a depuis le début dénoncée. Il invite les jeunes à avoir un véritable enseignement catholique en paroisse les soirs ou la fin de semaine, puisque les écoles publiques québécoises ne forment plus complètement les élèves du Québec conformément aux vœux de leurs parents.







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