mardi 2 décembre 2014

Téléphone intelligent pour les jeunes ?


Selon un sondage commandé par Microsoft Canada, réalisé auprès de 1500 Canadiens entre le 21 et le 23 novembre dernier. La plupart des Canadiens pensent que les enfants de moins de 15 ans ne devraient pas posséder de téléphone intelligent, même si la plupart reconnaissent que les enfants de moins de 15 ans en veulent un. Les parents devront donc se pencher sur la question... particulièrement à l’approche du temps des Fêtes.

Voici les principaux points relevés :
  • La plupart des répondants (63 %) croient qu’un enfant devrait être âgé d’au moins 15 ans avant de posséder un téléphone intelligent.
  • Le trois quarts des répondants (76 %) pensent que l’utilisation en situation d’urgence est une bonne raison pour un enfant d’avoir un téléphone intelligent.
  • Beaucoup de ceux qui trouvent acceptable pour un enfant de posséder un téléphone intelligent pensent que la durée d’utilisation devrait être limitée à moins d’une heure par jour (45 %).
  • Seule une personne sur quatre (27 %) est en désaccord avec l’affirmation que savoir utiliser un téléphone intelligent est une compétence de vie nécessaire.
  • Les répondants vivant avec des enfants à la maison sont plus susceptibles (30 % contre 20 %) de dire qu’il est approprié pour des enfants de 14 ans ou moins de posséder leur propre téléphone intelligent.
  • La plupart des gens disent que les enfants passent trop de temps à jouer à des jeux et à échanger des messages textes avec des amis (respectivement, 76 % et 78 %). Mais une grande partie des répondants croient que les enfants vont également abuser des fonctionnalités suivantes : 68 % médias sociaux ; 59 % musique/vidéos ; 54 % navigation sur Internet ; et 49 % clavardage.
  • Presque tous les Canadiens (98 %) croient qu’il est important pour des parents de définir des lignes directrices régissant l’utilisation des téléphones intelligents de leurs enfants, de ce groupe, 88 % considèrent que c’est « très important ».
  • La plupart des répondants croient que les activités auxquelles les enfants ne devraient pas se prêter sont : la cyberintimidation (91 %) et le visionnement de matériel interdit ou inapproprié (89 %)




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