samedi 27 mars 2010

Mathieu Bock-Coté sur la bureaucratisation de l'accommodement



Émission de Mario Dumont du mardi 16 mars 2010 sur V télé






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Mario Dumont : Mme Courchesne a « dit le contraire de la vérité » sur l'affaire du calendrier scolaire


Extrait d'une des lettres envoyées par les directions des écoles juives
Nous avions été parmi les premiers à attirer l'attention des internautes au tout début de février, extrait du Bulletin officiel à l'appui, sur les modifications que Mme Courchesne voulait apporter au calendrier scolaire.

Mme Courchesne avait d'abord présenté ces changements sous le couvert de la persévérance scolaire et de l'aide à la formation professionnelle. Pressée de questions, la ministre avait ensuite avoué le véritable but du changement de calendrier scolaire : rendre légales des écoles juives jusque-là illégales. Comme Guy Durand l'a expliqué, il y avait d'autres moyens : la dérogation. Mais peut-être que Mme Courchesne craignait que cela soit trop visible, trop explicite, elle a donc préféré faire dans le subtil : remplacer les articles 16 à 19 du Régime pédagogique par des articles 16 à 18 modifiés, abrogeant de la sorte implicitement l'article 19 où se trouvent énumérés les congés scolaires. Tout cela sans consultation préalables avec les parents et les autres acteurs sociaux comme les écoles, les Églises, etc.

Rappelons aussi la souplesse à géométrie extrêmement variable de la ministre de l'Éducation quand il s'agit d'accommoder des parents : changer les règlements pour des écoles juives, signaler à tous qu'il n'y aura pas d'exemption au cours ECR même si la loi permet de le faire (article 222 de la Loi sur l'instruction publique). Nous avec ces parents-là, Monsieur, « On ne négocie pas un virage aussi important sans écraser d'orteils » (Le Soleil, 19 avril 2008).



Pour Mario Dumont, Mme Courchesne n'a pas hésité à dire le contraire de la vérité (vidéo du 24 mars 2010)


Obtenues par La Presse canadienne en vertu de la Loi d'accès à l'information, deux lettres datées du 28 juillet et du 29 septembre 2009 font état de rencontres ayant réuni les deux parties au cours de l'été. Signées par les directions de sept écoles juives orthodoxes, elles sont adressées à la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne.

Les documents suggèrent que la réforme a été taillée sur mesure pour répondre à leurs revendications. Les comptes rendus des entretiens font largement état des « exigences » religieuses des écoles juives, reliées au calendrier scolaire. « Compte tenu des exigences imposées par la religion des personnes fréquentant nos établissements », les matières obligatoires seront enseignées le dimanche ou au cours de l'été « tel que discuté » lors de notre rencontre, d'écrire les directeurs d'écoles.

Lorsque le calendrier scolaire sera modifié en tenant compte du fait que « les fêtes juives ne correspondent pas aux fêtes séculières », il ne constituera plus un obstacle au respect du régime pédagogique, poursuivent-ils.






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Italie — l'hiver démographique

Un rapport rendu public mardi par le Centre international d'études familiales basé à Milan constate que 53,4 % des familles italiennes n'ont pas d'enfants. 21,9 % des familles ont un seul enfant, et 19 % en ont deux. Ce qui ne laisse que 5,7 % de foyers avec 3 enfants et plus... Avec de tels chiffres, on ne s'étonnera pas du taux de fertilité italien qui atteint seulement 1,31 enfant par femme – pour un taux de renouvellement des générations, dans les pays développés, de 2,1.

Cela signifie qu'à chaque nouvelle génération, l'Italie perd un tiers de sa population : trois personnes sont remplacées par deux. En termes de population totale, les effets de cette décroissance se manifestent de manière moins évidente en raison de l'allongement de la durée de la vie. Dans la réalité, c'est un lent suicide collectif.

Les raisons avancées par les familles pour leur hésitation à donner la vie sont avant tout économiques, précise l'étude. Si 16,4 % des familles sont effectivement en dessous du seuil de pauvreté, 37,2 % assurent avoir des difficultés de fins de mois et 22 % supplémentaires avouent des problèmes financiers occasionnels. Les autres raisons « externes » invoquées sont l'exigüité du logement, la précarité du travail et l'absence de solutions de garde pour les enfants. Mais pour la majorité, soit 57,8 % des foyers sans enfants, cette situation résulte d'un «  choix personnel » que les foyers expliquent par la peur de l'avenir et les difficultés liées à l'éducation des enfants. De fait, le revenu moyen des Italiens a augmenté depuis l'arrivée de l'euro, mais la dépense moyenne pour un enfant représente environ 35,3 % des dépenses familiales totales.

Il faut ajouter qu'il n'y a quasiment pas d'allocations familiales en Italie et qu'en outre le taux d'imposition est identique quel que soit le nombre d'enfants au foyer alors que les pensions versées ne prennent pas en compte le nombre d'enfants élevés par les retraités. Les gens ayant des enfants élevant ainsi à leurs dépends les futurs contribuables qui paieront les retraites et les frais médicaux de ceux qui ont décidés de ne pas en avoir. En termes économiques, les familles avec enfants sont les dindons de la farce.

Famille nombreuse égale donc, la plupart du temps : obligation de vivre avec un seul salaire, sans aide et en supportant des impôts sur le revenus disproportionnés. Aucun gouvernement italien n'a a ce jour changé cet état de choses – même si les campagnes électorales parlent beaucoup de la famille.

L'effondrement démographique a commencé dans les années 1970 avec la révolution sexuelle, l'accès facilité aux moyens contraceptifs puis la légalisation de l'avortement.

Que faire face à cette véritable catastrophe nationale ? Créer des allocations familiales, répond le rapport ; et encore avantager fiscalement les familles en fonction de leur nombre d'enfants.

Sans véritable surprise, on apprend que Gianfranco Fini, aujourd'hui président de la chambre italienne des députés et néofasciste converti, voit la solution dans la forte accélération de la procédure de naturalisation des enfants nés de parents immigrés. À l'heure qu'il est, ceux-ci – les immigrés de fraîche date – représentent déjà quelque 7,5 % de la population italienne selon les statistiques officielles. Et c'est leur arrivée qui a provoqué un modeste redressement du taux de natalité…

Aujourd'hui, l'âge médian des femmes italiennes est de 44,8 ans, un âge où la probabilité de concevoir se trouve déjà très réduite ce qui signifie que la moitié des Italiennes ont désormais peu ou pas de chances du tout d'avoir un autre enfant.






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La Devoir fait la chasse aux illégaux…

Rassurez-vous il ne s’agit ni des immigrés illégaux, ni des consommateurs de substances illicites ou autres malfaisants subornant quelque patron de la construction. Non, la cible est beaucoup plus facile à traquer et la débusquer ne représente aucun danger.

Comment la traquer ? c’est très simple ouvrir le rapport annuel de la Commission consultative de l'enseignement privé, repérer les cas qui posaient déjà problème, puis se présenter à l’école et « enquêter » pour y découvrir, horresco referens, que l’on n’y donne pas le cours d’éthique et culture religieuse ! Cette traque est d’ailleurs devenue un rite annuel ces dernières années dans la presse québécoise, car on y sait que respecter le monopole pédagogique québécois est un gage de réussite et d’excellence !

Extraits d’une enquête palpitante :

Cours d'éthique et de culture religieuse absent du cursus, enseignement du créationnisme, non-respect du régime pédagogique, bulletins non conformes, matériel didactique non approuvé par le ministère, professeurs sans autorisation légale pour enseigner... Les écoles privées cumulant les irrégularités abondent.

[…]

Après un survol de la situation des établissements d'enseignement privés, subventionnés ou non, dont le permis arrivait à terme en 2008 ou 209, Le Devoir a constaté que plusieurs d'entre eux se voyaient renouveler leur droit de cité [sic], et ce, malgré le fait qu'ils présentaient des lacunes et ne respectaient pas le Régime pédagogique, le Programme de formation de l'école québécoise (PFEQ) et, dans certains cas, la Charte de la langue française.

[…]

Pour l'année scolaire en cours, plusieurs écoles privées subventionnées dérogent à l'article 93 de la Loi en faisant payer aux parents un montant trop élevé pour les droits de scolarité visant les services éducatifs obligatoires. [On se demande bien de quoi se mêle l’État, pourquoi interdire que des parents paient plus s’ils le désirent ? Pour empêcher les écoles privées de se financer ?]

[…]

À Auteuil, l'Académie lavalloise, une école privée non subventionnée de niveaux primaire et préscolaire, ne respecte pas de nombreuses exigences de la Loi.

[…]

La Commission a constaté que plusieurs conditions au renouvellement du permis posées en 2008 n'étaient toujours pas respectées. Elle note, entre autres, qu'au moment où elle a fait ses observations, l'Académie lavalloise n'offrait pas le cours Éthique et culture religieuse. L'enseignement au préscolaire ne respectait pas non plus l'esprit du PFEQ puisque l'approche y est disciplinaire et qu'on y enseigne l'anglais comme une matière. Le calendrier scolaire ne prévoit pas de journées pédagogiques.

L'école n'est pas subventionnée mais contrevient à la Loi sur l'enseignement privé, car elle demande aux parents de verser 250 $ pour l'inscription, soit 50 $ au-dessus du montant autorisé. « On n'est pas subventionné, car on ne veut pas être les putes du gouvernement. On chargerait même plus si on pouvait », a dit M. Zakaïb.

[…]

Comme la Commission agit à titre consultatif, il arrive que le ministère décide d'octroyer un permis à des écoles qui, selon la Commission, n'en méritaient pas. À Saint-Lazare, la Petite École Montessori inc. s'est vue attribuer un permis pour le primaire jusqu'en 2012 alors que la Commission n'en recommandait pas la délivrance. La démonstration n'avait pas été faite que l'établissement disposerait des ressources humaines et matérielles adéquates, comme l'exige l'article 12 de la Loi. « Est-ce qu'il y aura des enseignants dans certaines spécialités et, le cas échéant, lesquelles ? Les arts, l'éducation physique, l'anglais ? » se demandait-on.

Le Devoir a appris que depuis son ouverture à l'automne dernier, deux enseignantes sont responsables des 20 élèves de cette nouvelle école qui ne compte qu'une seule classe combinant la 1re, la 2e et la 3e année. L'une d'elles se charge notamment de la danse et de la musique tandis que l'autre, qui occupe aussi les fonctions de directrice de l'école, supervise d'autres apprentissages en plus de « faire bouger les enfants en faisant des jeux », faute d'avoir un professeur d'éducation physique qui cadre avec l'approche Montessori.

[C’est très grave.]

ECR contre créationnisme
[titre étrange du Devoir puisque dans le cours ECR au primaire on passe en revue de nombreuses créations du monde religieuses, au point que certains parents athées s’en offusquent…


Grand Lièvre, créateur du monde, dans le matériel didactique de Modulo et CEC
Cliquez sur une vignette pour voir le détail
Activité 2e primaireCasse-tête Grand Lièvre CECGuide CEC de l'animatriceManuel enfant, 3 e primaire Modulo

]
Dans d'autres écoles, le créationnisme est encore au cœur de l'enseignement. Sise au-dessus d'un Dollarama à Notre-Dame-de-Grâce, l'Académie chrétienne Logos, une école faisant partie de l'Association des églises-écoles évangélistes du Québec (AEEEQ), existe depuis quatre ans et est titulaire d'un permis pour le primaire depuis 2007 et pour le secondaire depuis 2008, après avoir essuyé plusieurs refus. Cette école privée non subventionnée a demandé le renouvellement de son permis pour les deux niveaux en 2009 et a été exaucée jusqu'en 2011.

Avant de rendre son avis, la Commission avait pourtant constaté que plusieurs membres du personnel enseignant n'étaient pas qualifiés au sens de la Loi.
[Il y a quelques années le Devoir rapportait l’histoire d’un excellent prof de latin qui lui aussi n’était pas qualifié au sens de la Loi. Il avait dû renoncer à son poste et enseigner le latin à son successeur qui ne le connaissait pas ou peu. La chose avait même ému Josée Boileau dans le Devoir qui dénonçait « un incroyable salmigondis administratif, goutte d'eau qui s'ajoute à un parcours fait d'obstacles syndicaux et bureaucratiques qui ne peuvent faire rire que dans les films de Denys Arcand ou un épisode des Bougon. »

Au primaire, car nous parlons de cela ici, nous avons côtoyé des instituteurs non qualifiés au sens de la Loi (ils travaillaient hors Québec) qui n’avaient pas fait les innombrables heures de psychopédagogie auxquelles on condamnent les candidats professeurs au Québec et qui, pourtant, étaient meilleurs, plus dynamiques, plus pédagogues, plus patients, plus originaux que des instituteurs dûment conformes au sens de la Loi québécoise et surtout aux conventions collectives chères aux syndicats.]
Pour l'enseignement de la langue seconde, des arts plastiques et de la science et technologie, les élèves utilisaient le matériel de l'Accelerated Christian Education (ACE), un programme d'études élaboré au Texas. [Bouhouhou ! Texas, c'est pas l'État de George Bush ça ?]

Pour les cours Éthique et culture religieuse, Éducation à la citoyenneté et Éducation physique et à la santé, l'établissement n'utilisait que le Web.

La journaliste du Devoir s'y est rendue incognito [la tension monte !] sous le prétexte d'y inscrire des enfants et a constaté que la situation n'avait guère changé. Pomela Thompson, la femme du révérend qui tient l'établissement, a avoué être en négociation constante avec le ministère. Si elle cède sur certains points, pas question d'enseigner le cours Éthique et culture religieuse en y faisant la promotion d'autre chose que la foi chrétienne. « Nous, on croit en la création de Dieu. L'évolution, ce n'est qu'une théorie et on ne l'enseigne pas au primaire ici », a-t-elle dit en anglais [petite touche assassine : ces gens ne sont pas vraiment comme nous ?]

[…]

Jusqu'où tolérer ?

L'Académie Greaves de Saint-Georges de Beauce, chapeautée par la Greaves Adventist Academy de Montréal, privilégie une approche similaire pour le cours d'éducation religieuse, mais avec un peu plus d'ouverture. Dans cette école comptant à peine 11 enfants, installée dans le sous-sol de l'église Adventiste du 7e jour, le cours Éthique et culture religieuse est un «cours de bible» pour les tout-petits, tandis que les plus grands sont amenés à faire une recherche sur une autre religion. Une fois de plus, la Commission avait recommandé à la ministre de ne pas autoriser non plus l'ouverture de ce campus [campus pour 12 élèves dont certains au primaire ! Aucun sens des proportions.] à Saint-Georges de Beauce, car elle n'était pas «convaincue que le local de classe à la disposition des élèves est adéquat dans le contexte où il est prévu qu'on y trouve jusqu'à 12 enfants [...] dans un espace relativement limité». La responsable de ce campus, Louise Brisebois, assure que le programme du ministère est respecté.






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Le carême écologiste : rite d'une nouvelle religion

Jacques Brassard, ancien ministre du Parti québécois, revient sur quelques rites de la nouvelle religion écologiste. « Religion » est exagéré nous direz-vous ? Ce n'est pas nous qui le disons, mais un tribunal anglais. Notons également au passage que, selon l'American Chemical Society, manger moins de viande ne « sauvera » pas la planète. Les études qui avancent que manger moins de viande permettrait de réduire le réchauffement climatique ne tiennent pas la route, affirme Frank Mitloehner, un spécialiste américain de la qualité de l'air. Selon ce chercheur, « produire moins de viande et de lait ne va faire qu'augmenter la famine dans les pays pauvres. »

Lundi prochain, Lundi sans Viande, je vous avise que je vais me goinfrer de cochonnaille. Il suffit que l’ONU, les Congrégations verdoyantes et les bobos alter-mondialistes locavores proclament que tel jour, telle date, c’est une journée internationalement consacrée à promouvoir tel comportement où à nous faire adopter telle habitude de vie pour que je me fasse un devoir de faire exactement le contraire. La Journée sans Lumière, j’allume toutes le lampes; la Journée sans Auto, j’en profite pour rouler avec mon gros 4x4; la Journée sans Achat, je magazine allégrement.

Je m’en confesse, j’en ai ras le bol des prêcheurs de tous acabits qui nous prennent pour des tarés qu’il faut absolument guider, encadrer, superviser et lessiver avant qu’ils jugent, le moment venu, de nous contraindre et de nous assujettir à leur évangile et à leur code rigoriste.

Avez-vous remarqué que tout ce beau monde a longtemps dénigré l’Église, l’accusant de corseter la société dans un carcan dogmatique et moral. Et voilà maintenant que tous ces nouveaux puritains sont devenus une foutue bande de sermonneurs aussi achalants, sinon plus, que les curés d’autrefois.

Donc, lundi, je mange de la cochonnaille. Par esprit de contradiction? Peut-être! Pour faire un bras d’honneur aux prétentieux et méprisants donneurs de leçons de la troupe écolo-gauchiste? Sans aucun doute!

Ceci étant dit, je vous informe que je ne mange pas de viande tous les jours. Je mange du poisson au moins deux fois par semaine. Mais je n’ai nul besoin de ces détracteurs fanatiques de la viande pour déguster régulièrement une poêlonnée d’éperlans où un filet de morue. D’autant plus que leur détestation de la viande se fonde désormais sur la prétendue nécessité de réduire les émissions de gaz à effet de serre résultant de l’élevage des cheptels.

Pire encore, les Gourous de l’apocalypse claironnent leur exécration de la viande parce que sa consommation va nous conduire à la disparition de la Vie sur Terre …dans 50 ans!!! Tel était du moins le sens de l’homélie biscornue de Jacques Languirand, doyen des Gourous québécois. Notez que cette ânerie monumentale est de même nature que l’idée fixe d’un autre Gourou vénéré, Hubert Reeves, qui ne cesse de prédire le déclenchement prochain de la sixième extinction massive de la Vie sur Terre !!! Et je vous épargne les propos absolument délirants de George Laraque.

Que diriez-vous de faire proclamer par l’ONU, formidable réceptacle d’idioties en tous genres, la Journée de la Niaiserie. Ce serait l’occasion de se rappeler de toutes les inepties éructées par les nouveaux curés de la nouvelle religion écolo-bio-grano-gauchiste lors du Lundi sans Viande, de la Journée sans Voiture, de la Journée sans Achat, de la Journée de Danse pour le Climat, du Jour de la remise du prix Nobel de la Paix, de la Journée sans Lumière et, si ça existe, de la Journée de l’Ours Blanc (et si ça n’existe pas, c’est vraiment un oubli impardonnable).






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