mardi 28 septembre 2021

Échec du Parti conservateur du Canada pour la SRC : il n'est toujours pas assez centriste (m à j)

Léger a publié un sondage indiquant les partis considérés par les électeurs des principaux partis.

Il en ressort que 20 % des électeurs du Bloc québécois ont considéré voter pour le Parti libéral alors que 27 % ont pensé voter pour le Parti conservateur. Que 16 % des électeurs du Parti conservateur d’O’Toole ont considéré voter pour le Parti populaire de Maxime Bernier alors que 33 % des électeurs conservateurs au Québec ont pensé voter pour le Bloc québécois. Enfin, 53 % des électeurs du Parti populaire ont été tentés par le Parti conservateur du Canada et au Québec environ 30% pour le Bloc québécois. 

À noter que les répondants ont pu considérer plusieurs partis à la fois, on ne peut donc dire que 47 % des électeurs du Bloc québécois ont considéré voter pour des partis de gauche (parti libéral, néo-démocrate ou vert) puisqu’il se peut que ce soit les mêmes personnes qui ont considéré le Parti libéral et le Parti néo-démocrate comme une option.


Nous reproduisons également ci-dessous d'autres tableaux qui nous semblent intéressants (l'enjeu climatique est, par exemple, tout à fait secondaire contrairement à ce que pensait Hélène Buzzetti le soir des élections à la SRC) tout en regrettant que les sondeurs ne posent pas systématiquement des questions sur l'enjeu migratoire ou identitaire.
 








 


Billet du 23 septembre

Après la défaite d’Andrew Scheer aux élections fédérales de 2019, les médias et au premier chef Radio-Canada avaient attribué l’échec (relatif) du Parti conservateur du Canada (PCC) à ses convictions trop conservatrices. Il fallait que le PCC devînt plus « centriste » s’il voulait l’emporter à l’avenir.

Après la défaite du nouveau chef du PCC, Erin O’Toole, aux élections fédérales de 2021, les analystes de Radio-Canada attribuent l’échec (un peu plus important) du Parti conservateur du Canada à ses convictions toujours trop conservatrices malgré son recentrage. Il faudrait que le PCC devienne encore plus « centriste » s’il veut l’emporter à l’avenir.

Voir les extraits ci-dessous de la Soirée électorale organisée par le diffuseur gouvernemental le soir du 20 septembre.

 

Les analystes de Radio-Canada tous d’accord (quelle surprise !) : le PCC n’est toujours pas assez « centriste », comprendre progressiste, comme eux quoi.

Hélène Buzzetti a repris ces propos le lendemain dans les colonnes du groupe CN2i :

Le Parti conservateur devra reconnaître une bonne fois pour toutes que ce plafond de verre résulte de son refus de se recentrer pour la peine (et pas de manière cosmétique comme l’a tenté M. O’Toole). Son adhésion dogmatique aux valeurs pro-armes et pro-pétrole le rend peut-être populaire en Alberta et en Saskatchewan, mais l’empêche de croître ailleurs au pays où il y a pourtant un appétit pour une offre politique qui ne serait pas de gauche.

C’est devenu une rengaine. Une scie. Une idée reçue dans la classe médiatique subventionnée. L’ennui c’est que rien ne prouve la justesse de cette idée reçue, Ne s’agit-il pas simplement d’une projection : les journalistes comme Hélène Buzzetti voudraient que le PCC se recentre parce qu’ils n’aiment pas les valeurs conservatrices.

Hélène Buzzetti pense ainsi qu’Erin O’Toole n’en fait pas assez sur le « climat » (malgré la taxe carbone déguisée et le Pacte de Paris qu’O’Toole a imposés à sa base rétive) alors que ce serait, selon cette journaliste, « la question numéro 1 ». L’ennui c’est que ce n’est pas du tout la priorité numéro 1 pour les Canadiens sondés, ce sujet n’arrivait qu’en 7e place dans un sondage récent. Projection de la part de la journaliste, donc. 

O’Toole ne se prononce pas sur l’immigration alors que 40 % des Canadiens pensent que les cibles migratoires du gouvernement libéral sont trop hautes. Ce silence du chef du PCC n’intrigue pas Mme Buzzetti.

 

Erin O’Toole en fin de campagne : son parti « conservateur » serait inclusif, diversifié, progressiste, etc. Libéral, pour résumer ?

Qu’est-ce qui prouve que les réserves d’électeurs pour le PCC se retrouvent « au centre » (terme qu’il faudrait d’ailleurs définir) ?

Si c’était le cas, comment expliquer qu’Erin O’Toole a fait moins bien qu’Andrew Scheer comme les résultats le montrent.

                          Résultats des élections fédérales canadiennes de 2019         
Partis Voix % +/- Sièges +/-
Parti conservateur 6 239 22 7 34,34 + 2,57 121 + 22
Parti libéral 6 018 728 33,12 - 6,35 157  - 27
Nouveau Parti démocratique 2 903 722 15,98- 3,75 24 - 20
Bloc québécois 1 387 030 7,63 + 2,96 32 + 22
Parti vert 1 189 607 6,55 + 3,12 3 + 2
Parti populaire 294 092 1,62  Nv 0 =
Suffrages exprimés 18 170 88 0 99,02
Votes blancs et invalides 179 479 0,98
Total 18 350 359 100 - 338 =
Abstentions 8 842 69 9 32,97

Résultats préliminaires élections fédérales de 2021 (99,96 % des résultats)
Partis Voix % +/- Sièges +/-
Parti conservateur 5 722 001 33,7 - 0,64 119 - 2
Parti libéral 5 529 272 32,6 - 0,52 159 + 2
Nouveau Parti démocratique3 017 909 17,8+ 1,82 25 + 1
Bloc québécois 1 300 285 7,7 + 0,37 33 + 1
Parti vert 394 174 2,3 - 4,25 2 - 1
Parti populaire 841 957 5,00 +3,38 0 =
Suffrages 16 961 685 100 - 338 =
Abstentions 10 404 612 38,02

On notera que :

  • le PCC rassemble plus de voix que le parti de Trudeau (aucun analyste de Radio-Canada ne trouve que c’est injuste, alors qu’on nous a rappelé à l’envi que Trump n’avait pas remporté le vote populaire face à Hilary Clinton);
  • M. Scheer (prétendument trop conservateur) avait réussi à augmenter le nombre de voix et de sièges pour son parti ;
  • M. O’Toole, son successeur, avec son recentrage a fait en sorte que son parti perde des voix et des sièges ;
  • l’abstentionnisme est en forte progression (de 32, 97 % à 38,02 %) ;
  • deux formations pancanadiennes parviennent à progresser en termes de voix : le NPD (+1,82 %) et le Parti populaire de Maxime Bernier (+3,38 %), deux formations aux antipodes du spectre politique et en rien « centristes ».

Les réserves de voix d’un Parti conservateur se retrouvent sans doute moins au « centre » (déjà servi par le PLQ) que parmi les électeurs du Parti populaire et les abstentionnistes qui sont très nombreux rappelons-le.  Combien de conservateurs sociaux ou identitaires se sont-ils abstenus ne se reconnaissant ni dans le Parti populaire (libertaire) ni dans le nouveau PCC perçu comme trop progressiste ?

Dans le même ordre d’idée, le PCC a également des réserves de voix parmi les électeurs du Bloc québécois. Les électorats du PCC et du BQ sont en grande partie des vases communicants. Le Bloc est un peu un parti de gauche (son programme, ses députés), mais avec un électorat de droite (plus masculin, plus âgé, plus rural et avec moins de diplômés universitaires). Sur bien des enjeux, on voit que les électorats Bloc et PCC se rejoignent (ne pas aimer Trudeau par exemple ou si l’on regarde pour qui leurs électeurs sont prêts à voter comme 2e choix). Son électorat est le plus à droite (et davantage susceptible de voter PCC) que les électorats du PLC ou NPD. Ceci n’empêchera pas le chef du BQ considérer que les intérêts du Québec sont ceux de la gauche urbaine francophone du Québec.  Comme le signale Mathieu Bock-Côté : « Le Bloc était aussi très discret sur les questions identitaires. Il a fallu que le débat anglais les ramène au cœur de notre vie politique pour que le Bloc s’en empare. Les souverainistes comprendront-ils un jour que le moteur de leur cause est l’identité et non le progressisme ? » 

L’ancien ministre des Finances Joe Oliver a écrit vendredi dans le Financial Post que la stratégie de campagne de la chef du Parti conservateur Erin O’Toole pour séduire les électeurs libéraux et progressistes avait échoué tout en aliénant sa base conservatrice.

Le chef conservateur Erin O’Toole, entouré de sa conjointe Rebecca et de leurs enfants Mollie et Jack.

Stratégie

S’il fallait trouver un point positif à la campagne d’O’Toole, ce fut de dire clairement qu’il voulait donner davantage de pouvoir et d’autonomie au Québec. Mais un O’Toole élu aurait-il fait autant que François Legault aurait voulu après la campagne ?

Par contre, O’Toole a repoussé les libertaires du parti en soutenant les politiques autoritaires comme les confinements et les passeports vaccinaux (dont l’efficacité est douteuse), il a écarté les conservateurs sociaux — préférant ignorer les problèmes moraux pour faire évoluer le parti vers des valeurs progressistes. La dernière semaine de la campagne, il semblait s’excuser à répétition d’avoir encore des conservateurs dans son parti.

Cette stratégie a échoué.

Les « conservateurs » n’ont réussi à faire aucune percée parmi les électeurs libéraux et progressistes, la cible d’O’Toole. Ils ont été exclus des banlieues de Toronto (le 905), décimés dans les Basses-terres continentales de Colombie-Britannique, n’ont pas réussi à ajouter un seul siège au Québec et ont perdu des points dans les circonscriptions à forte immigration chinoise.

Nombreux comtés perdus par la division du vote 

Trevor Tombe, professeur d’économie de l’Université de Calgary, a dressé une liste de 25 circonscriptions où les votes du Parti conservateur et du Parti populaire réunis auraient été suffisants pour assurer une victoire. Edmonton-Centre faisait partie de cette liste, tout comme Aurora-Oak Ridges-Richmond Hill.

Dans cette circonscription de la grande région de Toronto, la candidate libérale Leah Taylor Roy a vaincu son adversaire conservatrice Leona Alleslev par environ 1000 votes. Le représentant du Parti populaire, Anthony Siskos, y a obtenu plus de 1600 votes.

M. Tombe a estimé qu’un petit déplacement du vote du Parti populaire vers le Parti conservateur aurait pu mener à de meilleurs résultats pour le parti d’Erin O’Toole. Il a toutefois nuancé que même en l’absence du Parti populaire, toutes les luttes serrées ne se seraient pas nécessairement soldées par une victoire conservatrice. Voir ci-dessous la liste de 14 circonscriptions qui auraient été remportées par le PCC si 70 % des électeurs de Maxime Bernier avaient voté pour le PCC.

Erin O’Toole a probablement perdu le Yukon aux libéraux quand il a mis à la porte son candidat en début de campagne (car celui-ci, Jonas Jacot Smith, est contre le passeport vaccinal). Comme indépendant, Smith a récolté 13,5 %, celle qui l’a remplacé pour le PCC a fait 26,2 %. Les libéraux ont gagné avec 33,2 %. En 2019, les libéraux avaient fait 33,5 %.

La moitié des votes du Parti populaire dans ma circonscription était mes anciens électeurs, évalue une organisatrice conservatrice du sud-ouest de l’Ontario. J’ai vu plusieurs de mes anciens partisans mettre une affiche du PPC sur leur pelouse.

Résultat : dans cette circonscription, les conservateurs sont arrivés deuxièmes, derrière les libéraux.

Certains candidats conservateurs, qui sentaient un besoin de renfort parce qu’ils se faisaient siphonner des votes à droite, n’ont pas été pris au sérieux par le quartier général de la campagne, confie un autre stratège dont le candidat est arrivé deuxième.

Selon Christian Noël, dans 14 circonscriptions perdues de justesse par les conservateurs, l’équipe d’Erin O’Toole aurait pu l’emporter en ajoutant le vote du Parti populaire à son total. C’est le cas dans huit circonscriptions en Ontario, quatre en Colombie-Britannique et une en Alberta.

C’est évidemment un calcul purement mathématique et non politique. Ce qui motive le choix d’un électeur varie d’un scrutin à l’autre. Des conservateurs estiment que la moitié du vote du Parti populaire venait de leurs rangs, le quart, des rangs du Parti vert et le reste, d’indécis sans véritable maison politique.

Thèmes conservateurs délaissés

Erin O’Toole et ses conservateurs ont évité de parler de thèmes importants (en revenant parfois sur ce que M. O’Toole avait affirmé lors de la course à la chefferie) :

  • Que pensent les conservateurs de la censure et des lois anti-haine ?
  • Que pensent-ils des églises qui sont incendiées, vandalisées ?
  • Comment feront-ils la promotion de la natalité locale, de la famille traditionnelle ?
  • Que pensent les conservateurs de l’orientation idéologique de Radio-Canada ? (Rappelons sur ce sujet que M. O’Toole a d’abord voulu revoir le financement du diffuseur étatique, de privatiser CBC/TV, pour finir par simplement parler de revoir son mandat)
  • Ont-ils quelque chose à dire sur l’immigration massive, son impact culturel, économique, sur le prix des logements, des salaires ?
  • Quid des délires du wokisme ? 
  • Croient-ils que le Canada est un territoire non cédé ? 
  • Que pensent-ils du pouvoir des juges ?

Ce manque de clarté et de franchise sur des questions importantes, l'absence de programme clivant et tranchant avec le discours habituel du progressisme ambiant pourrait-il expliquer une certaine démobilisation des électeurs et expliquerait-il la hausse de l'abstention passée de 32, 97 % à 38,02 % lors de ces élections ? Le PCC n'a-t-il pas tout intérêt à viser ces abstentionnistes et à mobiliser sa base conservatrice en plus grand nombre plutôt que d’espérer séduire les centristes et les progressistes déçus par le parti libéral  ?

Faiblesses personnelles d’Erin O’Toole

Tout n’est pas cependant question de positionnement politique et de plateforme électorale. La personnalité d’Erin O’Toole est également en question. Elle n’a pas aidé le chef du PCC : O’Toole manque visiblement de charisme, de spontanéité et de courage. Il semble incapable de répondre directement et franchement à la moindre question un peu délicate. Il ne peut que ressortir machinalement une réponse qui semble apprise par cœur. 

Et quand, il est pressé par les médias sur un sujet qu’il considère comme sensible, il cède ou tergiverse. Ce fut notamment le cas sur les armes à feu, adoptant souvent le point de vue libéral que les armes à feu légales seraient en quelque sorte la cause de la criminalité violente. Il céda encore en matière de valeurs morales en acceptant qu’il fallait — revenant sur ses promesses antérieures pour adopter le prêt-à-penser progressiste — imposer au personnel soignant objecteur de conscience de recommander aux femmes qui voulaient se faire avorter des médecins qui seraient prêts à accomplir cet acte qui révulse ces objecteurs de conscience. En outre, il a été incapable de condamner la censure des ouvrages en Ontario dans l’affaire des autodafés, il ne put se résoudre qu’à condamner le fait qu’on les avaient brûlés, comme un bon libéral mou et centriste.

Avenir d’O’Toole

Erin O’Toole s’en est sans doute assez bien sorti pour qu’il survive en tant que chef. Les médias prétendent déjà que Harper a d’abord échoué aux élections fédérales avant de l’emporter, que le parti ne peut se permettre de changer de chef alors qu’un nouveau scrutin pourrait être déclenché d’ici un an ou dix-huit mois, qu’aucun autre chef pour le remplacer ne se dessine. 
 
Maintenant que les élections sont terminées, les médias traditionnels exhortent donc les conservateurs à garder Erin O’Toole à leur tête. On peut se demander pourquoi. Serait-ce parce que O’Toole a précisément perdu, qu’il a tiré le parti vers la gauche et qu’il a promis de continuer ce mouvement sénestrogyre ?

Comme ailleurs en Occident, le PCC continuera d’incarner un conservatisme craintif à la traîne de la gauche, cédant pas à pas sur tous les sujets : l’identité, l’immigration, les valeurs morales, les « territoires autochtones non cédés », les lois pour lutter contre le « discours haineux », le dénigrement de la civilisation occidentale, les politiques écologistes, etc.

De retour en Trudeaupie

Trudeau parle d’avancer « ensemble » alors qu’il a cherché depuis des semaines à cliver la population, à opposer les vaccinés aux non-vaccinés, à menacer ceux qui ne veulent pas se faire vacciner, à brandir des lois contre ceux qui ne partagent pas ses opinions les accusant de discours « haineux ».

Entretemps, le wokistan canadien avance. (♪ Woke Canada ! Pays post-national ! ♪)
 
C’est ainsi que l’ONF nous apprend la nomination d’une militante noire au poste de directrice de la Diversité (non blanche), de l’équité (de la discrimination) et de l’inclusion (sélective et obligatoire)… Mme Rachel Décoste a brigué en 2007 l’investiture du Parti libéral du Canada dans la circonscription d’Ottawa-Orléans. Elle a de nouveau essayé en 2019. À nouveau, elle a échoué.

Parmi les écrits passés de Mme Décoste :


Liens connexes

Liste de 14 circonscriptions qui auraient été remportées par le PCC si 70 % des électeurs de Maxime Bernier avaient voté pour le PCC


Brève analyse lexicale du programme électoral du PLC 

« Prix moyen d’une maison a bondi de 300 k$ depuis 2015 »  : « la brusque hausse de la population due à l’immigration » 

Priorités des électeurs (selon sondage) par rapport aux thèmes du dernier débat des chefs 

Trudeau défendra toujours les enfants LGDP... LGT... LBT, ....LGBTQ2+ 

 Soixante-huit églises incendiées ou vandalisées, timide réaction du PM Trudeau qui organise un sommet sur l’islamophobie (m à j)

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Sondage envers la diversité ethnique : les diversitaires voient plus de racisme que les minorités ethniques 

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Derek Sloan s’insurge contre projets de loi qui criminalisent l’affirmation positive de son corps  (Le projet de loi C-8 est devenu C-6 après sa réintroduction dans la nouvelle session parlementaire.)

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