dimanche 9 septembre 2018

Vos impôts à l'œuvre : marionnette trans pour « expliquer » aux jeunes écoliers

Selon Jasmin Roy, déjà tout petits, des enfants sentent que le sexe qu’on leur a assigné à la naissance n’est pas le bon. Des petites filles disent qu’elles sont des garçons et des garçons qu’elles sont de petites filles.

Que faire en tant que parents ou enseignants ? Comment accompagner les enfants et leurs petits camarades ?


Le militant homosexuel Jasmin Roy (ci-dessus à droite) président de la Fondation éponyme  a décidé de concevoir des capsules qu’il dit « éducatives » animées à l’aide d’une marionnette transsexuelle, en français et en anglais, que tous pourraient utiliser. Sophie Desmarais — fille cadette du milliardaire, feu Paul Desmarais père — est la marraine d’honneur de la Fondation Jasmin Roy.

Cette fondation militante publie également quatre fascicules « pédagogiques » les accompagnant. Selon Jasmin Roy, certains enfants manifestent très jeunes « leur questionnement ou leur mal-être avec leur identité de genre ».

« Quatre, cinq, six ans, parfois à partir de deux ou trois ans », affirme Jasmin Roy.

« On ne dit jamais à un enfant qu’il est trans. Par exemple dans la vidéo, Julien qui est Julia exprime un malaise. Il dit que dans son cœur, il se sent comme un petit garçon. J’aimerais mieux avoir les cheveux courts, m’habiller différemment. Tout ce que l’on veut, c’est accompagner le jeune dans ces demandes-là », prétend Jasmin Roy.

Ajoutons quelques éléments :



  • Pour le professeur de psychologie Jordan Peterson, « Nous n’aidons pas les jeunes à trouver une voie de l’avenir noble et difficile, où ils seront responsables et avanceront confiants vers l’âge adulte. Bien au contraire. [...] Et la course victimaire est lancée, la plus grande victime montera sur la plus haute marche. Et c’est vraiment mauvais, c’est particulièrement nuisible aux adolescents parce qu’ils passent par une crise identitaire, qu’ils sont mal dans leur peau. »




    • Les contribuables participent — souvent à leur insu et bien involontairement — à ces campagnes de « sensibilisation » LGBTQ dont bénéficient des fondations comme celle de Jasmin Roy. Grâce à une demande en vertu de l’accès à l’information, nous avons pu en apprendre plus sur les activités du MELS en matière de lutte à l’hétérosexisme (oser considérer que l’hétérosexualité est plus normale que l’homosexualité). Une des principales activités (voir ci-dessous) financées dans ce cadre a coûté 5,7 millions de dollars aux contribuables québécois pour l’année scolaire 2012-2013. 
     


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