lundi 22 novembre 2021

Dernières nouvelles sur la Covid-19

  • Alberta : « La pandémie de COVID-19 a retardé le diagnostic de nombreuses [tumeurs] pédiatriques, parfois avec des résultats dévastateurs... On a laissé les tumeurs se développer beaucoup plus longtemps en raison de retards de diagnostic. » Il faudrait plutôt dire : la gestion de la pandémie et notamment les confinements ont retardé le diagnostic des tumeurs pédiatriques.

  • Le risque de développer le syndrome coronarien aigu (SCA) a considérablement augmenté chez les patients après avoir reçu les vaccins COVID-19 à ARNm, selon un rapport présenté aux sessions scientifiques 2021 de l’American Heart Association (AHA). « l’ARNm [vaccins] augmente considérablement l’inflammation de l’endothélium et l’infiltration de lymphocytes T du muscle cardiaque et peut expliquer les observations d’une thrombose accrue, de cardiomyopathie et d’autres événements vasculaires après la vaccination ».

  • Fabrique du consentement au sujet de la vaccination des enfants ?

  • Le variant delta semble avoir disparu au Japon. À la mi-août, le Japon a connu un pic d’infections au Covid-19, enregistrant plus de 23 000 nouveaux cas par jour. L’archipel nippon a une population de 126 millions d’habitants. Ces jours-ci, le nombre de cas n’est que d’environ 170, les décès attribués à la maladie restant le plus souvent sous la dizaine ce mois-ci. Certains mentionnent le haut taux de vaccination au Japon [77%] (environ celui du Canada [76%] ou de la Corée [79 %]), mais la Corée, elle, connaît une recrudescence du nombre de cas infectés. Ituro Inoue, généticien à l’Institut national de génétique, estime que le Japon a eu la chance de voir la souche Delta éliminer principalement d’autres variantes du virus SARS-CoV-2 avant de disparaître elle-même. Selon ses explications parues dans le Japan Times, le virus aurait tellement muté qu’il aurait accumulé les mutations délétères pour sa survie. Il sera donc ainsi éteint. Pour d’autres, l’autorisation d’utiliser l’ivermectine à partir du 13 août 2021 aurait joué un rôle important dans cette chute rapide des infections.

  • Selon le statisticien Mathew Crawford sur la foi des données officielles britanniques, les chiffres sur l’excès de mortalité ne montrent aucun avantage lié à la vaccination Covid-19. Résumé de son article détaillé. Crawford a pris les données officielles. Dont voici un graphique,

    Cependant, il est bien connu que la cohorte vaccinée a un profil d'âge plus élevé que la cohorte non vaccinée. Autrement dit, les jeunes sont moins vaccinés que les personnes très âgées. Et quand les jeunes ont été vaccinés, il l'ont été plus tard. Aussi faut-il s'attendre à voir une plus grande mortalité toutes causes confondues dans le groupe le plus vieux. Les données brutes donnent une illusion due à l'agrégation de données souvent appelée paradoxe de Simpson.

    Pour éviter ce piège, Crawford a considéré l’âge des personnes vaccinées et non vaccinés pour déterminer la mortalité escomptée pour ces deux cohortes étant donnée la distribution de leurs âges respectifs. Le statisticien a ensuite tracé les données réelles de mortalité toutes causes confondues de 2021 par rapport aux données de mortalité toutes causes attendues. Comme on peut le voir, la cohorte vaccinée, en raison d’un âge généralement plus avancé, devrait connaître une mortalité toutes causes plus élevée. (Les teintes plus claires sont les données projetées, des teintes plus foncées les données observées. Le rouge est pour les vaccinés, le bleu pour les non-vaccinés. Le trait bleu foncé représente donc les décès hebdomadaires observés pour les non-vaccinés.) 


    À la vue de ce graphique, il est difficile de déterminer quelle cohorte a subi le plus de surmortalité au cours des mois de la mi-2021 ! Aussi, Crawford a-t-il calculé la surmortalité de chaque cohorte pour chaque semaine (couleurs pâles), ainsi que de manière cumulative (couleurs foncées). Il obtient alors ce graphique : 

     

    Les tendances cumulatives s’entrecroisent, et il semble raisonnable de rejeter toute différence comme du bruit statistique. Mais lorsque l’on calcule le petit bénéfice global observé à la fin de la période de 28 semaines pour le groupe vacciné, cela ne représente que 5 décès par million de doses.

    Crawford ajoute qu'il continue de penser qu'il existe une surmortalité parmi le groupe vacciné mais qu'elle n'est pas visibles pour les données fournies (mi-2021), car ces décès se seraient produits « en masse » au début du programme de vaccination du Royaume-Uni (début 2021) chez les personnes âgées. Pour lui, « Il semble certain que ces vaccins tuent plus de personnes qu'ils n'en sauvent. » 

     


 

Semaine du 12 au 21 novembre

 

  • Le 12 novembre, le conseiller COVID de la Maison-Blanche Anthony Fauci, MD, a participé au balado du New York Times The Daily pour discuter de l’état actuel du coronavirus aux États-Unis. Selon Fauci, les responsables commencent maintenant à voir une immunité décroissante contre à la fois les infections et les hospitalisations plusieurs mois après la vaccination initiale. L’expert en maladies infectieuses a souligné les données provenant d’Israël, qui, selon lui, ont tendance à avoir environ un mois à un mois et demi d’avance sur les États-Unis en termes d’épidémie.

    « Ils constatent une diminution de l’immunité non seulement contre l’infection, mais contre l’hospitalisation et dans une certaine mesure la mort, qui commence maintenant à concerner tous les groupes d’âge. Ce ne sont pas seulement les personnes âgées », a déclaré Fauci. « Cela diminue au point que vous voyez de plus en plus de personnes infectées malgré la vaccination, et de plus en plus de personnes infectées malgré la vaccination qui se retrouvent à l’hôpital. » Une étude suédoise et une autre américaine allaient déjà dans le même sens (cf. infra).

  • Après les décisions de tribunaux, l’administration Biden recule sur la vaccination obligatoire et suspend elle-même la mesure. Cette obligation administrative portait atteinte aux droits fondamentaux qui sont garantis par la constitution américaine. La cour d’appel des États-Unis pour la cinquième circonscription statue : « L’intérêt public est également servi par le maintien de notre structure constitutionnelle et le maintien de la liberté des individus de prendre des décisions personnelles en fonction de leurs propres convictions, et ce, même — ou peut-être particulièrement — lorsque ces décisions frustrent les représentants du gouvernement. »

    En conséquence, l’Administration de la sécurité et de la santé au travail (OSHA) suspend l’application du mandat de vaccin COVID-19 de l’administration Biden pour les grandes entreprises privées après qu’une cour d’appel fédérale a confirmé une suspension la semaine dernière. 

     


Billet au 13 novembre


Billets jusqu’au 12 novembre

  • Chiffres de l’ATIH, « En 2020, seulement 2 % des hospitalisations étaient liées au #Covid […] 5 % en Réa. On a donné l’impression que les services étaient pleins à craquer de patients #covid et en fait ce n’était pas le cas. […] La peur a été disproportionnée. »

  • Tous les  « Tout le monde sait » sur la Covid-19 dont il ne faudrait pas être si certain, par le professeur Peter Doshi de l’université du Maryland et éditeur au British Medical Journal (BMJ) :


  • « Plus de 15 études ont démontré le pouvoir de l’immunité acquise par ceux qui ont contracté auparavant le virus. Il y a deux semaines, une étude menée en Israël auprès de 700 000 personnes a révélé que ceux qui avaient déjà été infectés étaient 27 fois moins susceptibles de contracter une deuxième infection Covid symptomatique que ceux qui avaient été vaccinés. Cela a confirmé une étude de la Cleveland Clinic de juin sur les travailleurs de la santé (qui sont souvent exposés au virus), dans laquelle aucun de ceux qui avaient déjà été testés positifs pour le coronavirus n’a été réinfecté. Les auteurs de l’étude ont conclu que “les personnes qui ont eu une infection par le SRAS-CoV-2 ne bénéficieront probablement pas de la vaccination contre le covid-19”. Et en mai, une étude de l’Université de Washington a révélé que même une infection légère à la Covid entraînait une immunité de longue durée. » (Washington Post) L’Institut Browstone a dressé une liste de 106 études qui démontrent le pouvoir de l’immunité acquise par la maladie.
  • Témoignage d’un père (Ernest Ramirez) qui aurait perdu son fils adolescent à la suite du vaccin Pfizer. Enregistré durant le panel organisé par le sénateur américain Ron Johnson. La vidéo est sous-titrée en français. [Communiqué de presse en anglais]


  • De l’importance de la vitamine D. La Covid-19 est causée par un nouveau coronavirus, mais les symptômes sévères de la Covid-19 ne sont pas du tout sans précédent. C’est le cas de maladies virales respiratoires passées : la grippe espagnole de 1918, le SRAS et le MERS sont assez similaires, et même la dengue a les mêmes antécédents de maladie. Dans chaque cas, la maladie virale initiale est bénigne ou asymptomatique pour la plupart des gens, certaines personnes présentent des symptômes qui ressemblent à la grippe. Cependant, alors qu’ils semblent se rétablir (et que leur charge virale diminue), la condition de quelques personnes se dégradent soudainement, car leur système immunitaire réagit de manière excessive. Cette réaction excessive du système immunitaire, et non le virus lui-même, provoque une hyper-inflammation potentiellement mortelle. Dans le cas du Covid-19, les macrophages, les cytokines et les fibroblastes remplissent les poumons, ce qui entraîne des difficultés respiratoires. Il est bien connu que la vitamine D aide à prévenir les réponses immunitaires chaotiques telles que celles caractéristiques du Covid-19 sévère (la « tempête » de cytokine ou de bradykinine). Par conséquent, il faut s’attendre à ce que de nombreuses personnes souffrant de Covid-19 aient de faibles niveaux de vitamine D. Déjà en mars 2020, des dizaines d’études publiées ont démontré que de faibles niveaux de vitamine D entraînent de mauvais résultats de Covid-19. En juin 2021, un lien entre de faibles niveaux de vitamine D et une mauvaise évolution de la Covid-19 a été affirmé dans ~ 3000 études publiées. Plus de détails en anglais.
  • Une étude américaine montre une baisse spectaculaire de l’efficacité des trois vaccins Covid-19 au fil du temps (Los Angeles Times). Les trois vaccins Covid-19 disponibles pour les Américains ont perdu une grande partie de leur pouvoir protecteur, l’efficacité des vaccins chez un grand groupe de vétérans chutant entre 35 % et 85 %, selon une nouvelle étude. Les chercheurs qui ont parcouru les dossiers de près de 800 000 anciens combattants américains ont trouvé que le vaccin Covid-19 de Moderna qui était efficace à 89 % en mars n’était plus efficace qu’à 58 % en fin septembre. L’efficacité des vaccins Pfizer/BioNTech est passée de 87 % à 45 % au cours de la même période. Plus grave, le pouvoir protecteur du vaccin à dose unique de Johnson & Johnson est passé de 86 % à seulement 13 % après ces six mois. Les résultats ont été publiés jeudi dans la revue Science. Parmi les anciens combattants de 65 ans et plus qui ont été vaccinés avec le vaccin Moderna, ceux qui ont infectés par la suite étaient 76 % moins susceptibles de mourir de la Covid-19 que les anciens combattants non vaccinés du même âge. Les anciens combattants plus âgés qui ont reçu le vaccin Pfizer-BioNTech et qui ont par la suite été infectés étaient 70 % moins susceptibles de mourir que leurs pairs non vaccinés. Et lorsque les anciens combattants plus âgés qui ont reçu l’unique injection du vaccin J&J ont été infectés, ils étaient 52 % moins susceptibles de mourir que leurs pairs qui n’ont reçu aucune injection.
  • Le virus Covid-19 n’infecte pas les cellules cérébrales humaines, suggère une nouvelle étude. Cette étude laisse espérer que les dommages liés à Covid au sens de l’odorat pourraient être plus superficiels qu’on ne le craignait auparavant (The Guardian). 

  • Irrégularités cachées durant les essais sur le vaccin Pfizer. Durant la phase III des essais cliniques sur le vaccin contre le Covid de Pfizer et BioNTech, un sous-traitant de l’entreprise pharmaceutique américaine aurait fait preuve de négligence et falsifié des données liées aux patients, selon une enquête du British Medical Journal (BMJ) publiée le 2 novembre. Ce sous-traitant de Pfizer aurait été responsable de trois des 153 sites où étaient conduits les essais cliniques du vaccin anti-Covid. Brook Jackson a expliqué au BMJ avoir constaté — durant la phase 3 des essais — des données falsifiées, des entorses aux méthodes d’étude randomisée en double aveugle, le recours à des employés insuffisamment formés et des retards de déclaration d’effets indésirables. La revue médicale précise que la lanceuse d’alerte a fourni au BMJ « des dizaines de documents internes à l’entreprise, photos, enregistrements audio et courriels ». Le même sous-traitant participe aux essais cliniques de ModernaDavantage de détails ici.


Billet du 31 octobre 2021

  • Étude suédoise dans le Lancet. Dissipation des effets des vaccins. Une nouvelle étude montre que l’efficacité du vaccin contre les infections chute à zéro et qu’elle diminue également contre les maladies graves. Citation : « L’efficacité du vaccin contre l’infection symptomatique à Covid-19 diminue progressivement au fil du temps dans tous les sous-groupes, mais à un rythme différent selon le type de vaccin, et plus rapidement pour les hommes et les personnes fragiles plus âgées. L’efficacité contre les maladies graves semble rester élevée jusqu’à 9 mois, mais pas pour les hommes, les personnes âgées fragiles et les personnes présentant des comorbidités. Cela renforce la justification fondée sur des preuves pour l’administration d’une troisième dose de rappel. » Bref, les vaccins marcheraient bien pendant 9 mois sauf pour les gens qui en ont le plus besoin (les personnes âgées fragiles ou avec des comorbidités). Notons dans les graphiques ci-dessous l’énorme zone grisée (intervalle de confiance).

Efficacité des vaccins contre l’infection symptomatique. Selon l’étude, elle deviendrait nulle après 9 mois. L’efficacité pourrait même être négative (sous le trait discontinu) à terme.
Efficacité des vaccins contre une infection grave, après 9 mois l’efficacité approche les 20 %

 

  • Étude. La vaccination ne réduit pas le risque de transmission. Elle réduit un peu le risque d’infection, mais l’effet diminue vite après 3 mois. (Recherche publiée dans le Lancet reprise par le Guardian, bien à gauche). Citation : « Les personnes infectées bien qu’elles aient été complètement vaccinées ont une charge virale maximale similaire à celle des non-vaccinés [qui sont infectés] et peuvent transmettre efficacement l’infection dans leurs foyers, y compris à des contacts entièrement vaccinés. » Bref, le Passeport vaccinal est inutile pour réduire la transmission, il peut même susciter un faux sentiment de sécurité.

  • Étude de Pfizer : son vaccin serait efficace à 90 % chez les enfants de 5 à 11 ans. Étude portant sur environ 2 250 enfants de 5 à 11 ans. Parmi eux, plus de 1500 ont reçu le vaccin et 750 un placebo. « Il n’y a eu aucun cas grave de la maladie » dans aucun des deux groupes (ni les chez les vaccinés ni chez les non-vaccinés). Ces résultats sont publiés dans les médias subventionnés sans aucune distance critique. Or le taux de létalité de la Covid depuis le début de l’épidémie chez les enfants est d’environ 1/1 million. De 0 à 19 ans, deux personnes sont mortes de la Covid-19 en 18 mois au Québec sur un total de 1,8 million de personnes de cet âge. La taille de l’échantillon de l’étude est donc ridicule. Pour repérer des effets secondaires comme la myocardite (environ 1/10 000) il faut au minimum observer 50 000 vaccinés avec un groupe placebo inerte, analyser pour chaque groupe, les cas d’hospitalisation toutes causes confondues pendant au moins 6 mois. 
  • Le Dr Gérald Kierzek, médecin urgentiste à l’hôpital Hôtel Dieu, pourtant pro-vaccins, très sceptique par rapport à la vaccination des enfants contre la Covid-19.
  • Extraits (en anglais) de Dark Horse Podcast par les docteurs en biologie Brett Weinstein et Heather Heying. Sujets traités :
    1. Réaction à l’étude selon laquelle la vaccination ne réduit pas le risque de transmission, mais elle réduit un peu le risque d’infection, pendant quelques mois.
    2. La définition de complètement vacciné et impact sur les statistiques,
    3. peut-on même parler de vaccin (ARN) contre la Covid,
    4. le péché originel antigénique induit par les vaccins,
    5. le climat de diabolisation anti-scientifique actuel [la lutte contre la désinformation dirait sans doute Radio-Canada],
    6. la vaccination des enfants : les enfants devront-ils subir des rappels de vaccinations ? Pendant combien de temps, tous les combien ? Quid du péché originel antigénique induit par des vaccins peu efficaces et ciblant de vieux variants ? La vaccination des enfants comme sacrifice à un système de croyances ?


 

Voir aussi 

 

Pfizer : laissez-nous vacciner vos enfants pour évaluer efficacité et danger

Pr Peyromaure : je suis scandalisé par le débat sur la vaccination des plus jeunes… c’est une folie…   

Annonces du Premier ministre Legault de ce jour (vaccination des 5 à 11 ans !)

L’Ontario, la Suède et le Danemark suspendent le vaccin anti-Covid de Moderna pour certains jeunes (m à j : Finlande et Islande aussi)  

Canada — Université menace ses étudiants en ligne de suspension s’ils ne sont pas vaccinés, mis en demeure par des avocats, elle recule   

Grande-Bretagne — les avantages de la vaccination de tous les enfants et jeunes de moins de 18 ans ne l’emportent pas sur les risques

Étude — Plus de risques d’événement cardiaque indésirable après 2e dose du vaccin chez les garçons que d’infection à la Covid sur 120 jours  

Vaccins : le doute est-il encore permis ?  

Une étude révèle que l’immunité naturelle serait supérieure à la vaccination  

Trudeau : les non-vaccinés assis à côté de vaccinés mettent ces derniers en danger 

Stéphan Bureau blâmé par l’ombudsman de la radio gouvernementale pour son entrevue avec Didier Raoult 

Le vaccin d’AstraZeneca suspendu pour les moins de 55 ans [Le Soleil 29 mars 2021 : « Après avoir clamé sur tous les fronts que le vaccin d’AstraZeneca est efficace et sécuritaire, les autorités fédérales et provinciales en suspendent maintenant l’utilisation pour les personnes de moins de 55 ans. »] 

« Un nombre important de cas d’échec du vaccin Janssen a été rapporté, avec notamment des formes graves (décès, réanimation) ainsi qu’une surreprésentation des patients vaccinés par Janssen en réanimation dans deux CHU » (Centres Hospitaliers Universitaires), à Marseille (sud) et Tours (ouest), note l’ANSM dans son rapport périodique de surveillance des vaccins.

 

 

 

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