dimanche 1 août 2021

Élèves de 10 ans ne doivent pas révèler à leurs parents les questions posées en matière d'identification de genre

Une classe de quatrième année (9/10 ans) du Minnesota a été soumise à une question sur « l’équité » en matière de race et de genre. Une institutrice aurait dit aux enfants de ne pas parler à leurs parents des questions qui leur étaient posées même s’ils ne les comprenaient pas.

L’enquête a été menée à l’école intermédiaire Riverview du district scolaire de Sartell-St. Stephen au Minnesota par l’Equity Alliance of Minnesota.

L’élève Hayley Yasgar s’est adressée à un conseil scolaire le 19 juillet et leur a dit qu’elle se sentait « très nerveuse et mal à l’aise » lorsque son institutrice lui a demandé de ne pas parler du questionnaire à sa mère.

Dans une vidéo de la réunion publiée par Alpha News, elle a également déclaré qu’elle était obligée de répondre à toutes les questions même si elle ne les comprenait pas.

Une des questions du questionnaire demandait : « Vous identifiez-vous actuellement comme une femme, homme, transgenre (les personnes transgenres ont une identité de genre ou une expression de genre qui diffère du sexe qui leur a été assigné. Par exemple, elles sont nées de sexe masculin, mais s’identifient maintenant comme femme) ou autre chose ? Voir une copie de cette question ci-dessous :

 
Un jeune garçon de la classe de Hayley a demandé à son institutrice si sa mère pouvait lui expliquer la question.

L’enseignante a refusé la demande de l’élève en lui disant qu’il ne pouvait pas demander à sa mère et que la classe ne devait pas répéter les questions à leurs parents.

Hayley a relaté lors du conseil scolaire “à quel point cela la rendait mal à l’aise et nerveuse” alors qu’elle expliquait que “sa mère lui dit toujours qu’elle peut tout lui dire, mais lui dit également qu’elle pouvait également faire confiance à [ses] enseignants”.

Hayley Yasgar et sa mère Kelsey Yasgar

Elle a déclaré “qu’on lui ait dit de cacher cela à [sa] mère la mettait très mal à l’aise, comme si [elle] faisait quelque chose de mal”.



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