mardi 27 juin 2023

Coûts de l'immigration : collèges seront ouverts de 8h à 18h dans les banlieues immigrées

Dans l’objectif de lutter « contre l’inégalité scolaire », Emmanuel Macron (ci-dessous) a annoncé l’instauration progressive du collège de 8 h à 18 h dans les zones d’éducation prioritaire, à Marseille pour commencer. Zone d’éducation prioritaire est souvent un euphémisme désignant les banlieues immigrées. 
 
En visite à Marseille pour trois jours, le président de la République française a indiqué sa volonté de lutter contre « l’inégalité scolaire ». C’est pour cette raison qu’il a annoncé, lors d’un échange avec plusieurs centaines de Marseillais, l’instauration progressive du « collège de 8 h à 18 h ». « L’inégalité scolaire se crée dans ces temps où l’enfant a été renvoyé chez lui », a estimé le chef de l’État relayé par BFMTV lundi 26 juin.

La cité phocéenne sera aux « avant-postes », en étant la première à tester ces horaires. L’initiative devrait ensuite être généralisée dans toute la France. L’Élysée a précisé que les plages horaires seront de 9 h à 18 h « minimum » et que l’ensemble des collèges en Réseaux d’éducation prioritaires (Rep) et Rep+ sera concerné. Le but de cette démarche est de « ne pas laisser décrocher les jeunes en sixième », a expliqué Emmanuel Macron.

L’école maternelle sera également accessible dès l’âge de 2 ans : « Dans les quartiers sensibles, on va développer l’accueil en milieu scolaire dès deux ans pour ceux qui le souhaitent. » D’ici 2027, la mesure devrait être étendue aux 300 quartiers les plus sensibles de l’Hexagone. Le Président a aussi parlé d’avoir « moins d’élèves par classe en moyenne section en maternelle » dans ces zones, relaie BFMTV.
Des aménagements prévus dans les lycées

Emmanuel Macron a évoqué le lycée, assurant que des mesures seraient prises dès la rentrée prochaine afin d’éviter « que l’année scolaire se finisse si tôt sur certaines épreuves ». Il a poursuivi : « J’ai demandé des aménagements pour qu’à partir de la rentrée prochaine le nouveau bac corresponde plus à nos besoins. » 
 
Au sujet de Parcoursup, le chef de l’État a enfin indiqué que des améliorations étaient à prévoir pour que les « parents d’élèves et jeunes aient beaucoup plus de retours sur leurs dossiers ».

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