mercredi 25 novembre 2020

Obama Ier et ses remarques condescendantes envers les Latinos

Explications savantes de l’ancien américain président Obama, le messie métis, sur le succès de Donald Trump auprès des hispaniques :

« … Il y a beaucoup d’hispaniques évangéliques qui, du fait que Trump dit des propos racistes sur les Mexicains ou met des travailleurs sans papiers dans des cages, pensent que c’est moins important que le fait qu’il soutienne leurs opinions sur le mariage gay ou l’avortement. »
Obama semble oublier que les immigrants illégaux (ils ne sont pas des « travailleurs sans papiers ») étaient aussi parqués dans des cages à son époque (même le très démocrate Washington Post doit l'admettre, mais c'était selon lui parce que le nombre d'immigrants illégaux était tellement important qu'il a fallu pallier le manque de place, bref le résultat de la politique migratoire très laxiste d'Obama).

En outre, Trump n'a jamais fait campagne sur une remise en cause du mariage homosexuel, il ne s'est jamais exprimé contre celui-ci. Contrairement à Obama qui, en 2008, s'opposait publiquement au mariage pour les couples de même sexe. Selon David Axelrod, toujours dans le très progressiste Washington Post, Obama aurait menti à l'époque.
 
M. Obama a également déclaré que le parti républicain de M. Trump avait encouragé les hommes blancs à se considérer comme des victimes. “Vous avez vu se créer, dans la politique républicaine, ce sentiment que les hommes blancs sont des victimes”, a-t-il dit. “Ce sont eux qui sont comme attaqués. Ce qui ne concorde évidemment pas avec l’histoire, les données et l’économie.” Voir Espérance de vie baisse chez les hommes en Ontario, en Colombie-Britannique et chez les blancs aux États-Unis, Suicide : déclin mondial, mais augmentation chez les blancs américains et Sans discrimination positive, le poids des minorités [non blanches] diminue dans les universités américaines.
 
Pour a sa part M. Joe Biden semble nommer à son cabinet de nombreux anciens ministres et secrétaires d'État de l'époque d'Obama comme John Kerry, Janet Yellen (ex-Fed), Jake Sullivan  (qui a défendu le dossier Steele, dossier bidon), et Tony Blinken (un faucon dans le domaine de la politique étrangère). La « compétence est de nouveau dans le vent » selon le journaliste Dan Rather
 
Selon le Washington Examiner, Biden révèle les priorités de ses 100 premiers jours. En haut de la liste? Immigration. Citoyenneté pour ceux qui sont ici illégalement. Relance de DACA [amnistie de quelque 11 à 22 millions d’étrangers illégaux vivant aux États-Unis]. Gel de la déportation. Plus besoin d'attendre au Mexique. Ceux qui traversent illégalement restent aux États-Unis. Et «pas un autre pied» de mur en plus (mais garder la barrière existante).

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