Denise Bombardier s'en prend à l'UQAM et à certains de ses professeurs :
C’est un chargé de cours à l’UQAM. Marc-André Cyr enseigne en sciences politiques. Il se veut anarchiste et milite dans tout ce qui perturbe socialement.
Cyr se déploie autant sur Facebook que dans sa salle de cours et il lance des fatwas de son cru en se croyant doué pour l’écriture. Or, c’est un hargneux qui appartient à la cohorte des habitués de la pollution intellectuelle.
Il attaque ceux qu’il vomit. Mon confrère Richard Martineau lui sert de défouloir dans la haine qu’il porte à tous ceux qui ne pensent pas comme lui.
Dans la revue bon chic bon genre d’extrême gauche, Ricochet, le chargé de cours a choisi un dessin de chiens qui pissent sur la stèle mortuaire de Richard Martineau. Et il décrit sa mort où Dieu jette son cadavre à la poubelle.
La table ronde de la FPJQ
Ce soir, il participe à une table ronde sur la liberté de la presse et organisée par la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ). Au même titre que Lise Ravary et Michel Lacombe entre autres.
Voilà pour la contextualisation, comme on dit à l’université.
Mais qu’enseigne à ses étudiants Marc André Cyr, l’intimidateur? Quelle distance établit-il avec ses opinions, ses combats et ses haines compulsives, dont celle à l’endroit de Richard Martineau dépasse l’entendement?
Cyr est le prototype des universitaires qui depuis des années éclaboussent la réputation de l’UQAM. Ses écrits de pyromane permettent de comprendre que les étudiants délinquants qu’on retrouve dans cette université sont des disciples de Marc André Cyr et d’autres enseignants qui dévalorisent par leur fanatisme la noble profession de transmettre le haut savoir, ce qui est la nature même des études supérieures.
L’UQAM a mauvaise réputation à cause de ces enseignants qui n’ont aucune éthique. Cependant le cas de Marc André Cyr relève du grand-guignol.
L'épouse de Richard Martineau, Sophie Durocher, s'est également exprimée :
Un certain Marc-André Cyr a écrit, en février, sur le site Ricochet, une chronique nécrologique de mon mari, imaginant qu’il soit mort en 2016 et que sa dépouille était laissée au coin de la rue pour être picorée par les oiseaux.
Son texte était illustré d’un dessin de la tombe de mon amoureux, avec deux chiens qui pissent dessus.
Sur un autre dessin, on voit Dieu, découvrant Richard Martineau qui vient d’arriver au ciel, et jetant sa dépouille aux poubelles.
[...]
Je n’en ai pas parlé jusqu’ici, parce que je ne voulais pas lui faire de la publicité.
Mais quand j’ai appris que la FPJQ avait invité Marc-André Cyr à un «cabaret» sur la liberté de presse, j’ai été estomaquée.
Pourquoi la FPJQ, Fédération professionnelle des journalistes du Québec, lui donne-t-elle une tribune? Si un troll anonyme avait pondu un texte aussi haineux et des dessins aussi violents, jamais la FPJQ ne l’aurait invité.
Mais Môsieur est prof à l’UQAM, alors ça lui donne le droit à s’asseoir à la table?
Môsieur écrit dans Ricochet, magazine branchouillard, ouh la la, vous comprenez, ma chère!
Le pire, c’est que Bell Média est un des commanditaires de la FPJQ.
Quelle ironie!
Bell Médias congédie un animateur qui a écrit un tweet débile, mais s’associe à un événement où un troll de première classe va pouvoir faire rigoler la salle en leur racontant la fois où il a imaginé la mort de mon mari?
[...]
Et pourtant à la FPJQ on trouve ce gars, Monsieur Cyr, tellement pertinent qu’on l’invite à un petit «cabaret» animé par Pat Lagacé où Yves Desautels va jouer de la zizique.
Ils devraient renommer leur cabaret: J’irai cracher sur vos tombes.
Et combien on parie qu’à son prochain congrès la FPJQ va dénoncer les radios poubelles?
Mais les médias poubelles de gauche où un prof de l’UQAM imagine la mort du père de mon enfant, ça, la FPJQ ne les dénonce pas?
C’est un chargé de cours à l’UQAM. Marc-André Cyr enseigne en sciences politiques. Il se veut anarchiste et milite dans tout ce qui perturbe socialement.
Cyr se déploie autant sur Facebook que dans sa salle de cours et il lance des fatwas de son cru en se croyant doué pour l’écriture. Or, c’est un hargneux qui appartient à la cohorte des habitués de la pollution intellectuelle.
Il attaque ceux qu’il vomit. Mon confrère Richard Martineau lui sert de défouloir dans la haine qu’il porte à tous ceux qui ne pensent pas comme lui.
Dans la revue bon chic bon genre d’extrême gauche, Ricochet, le chargé de cours a choisi un dessin de chiens qui pissent sur la stèle mortuaire de Richard Martineau. Et il décrit sa mort où Dieu jette son cadavre à la poubelle.
La table ronde de la FPJQ
Ce soir, il participe à une table ronde sur la liberté de la presse et organisée par la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ). Au même titre que Lise Ravary et Michel Lacombe entre autres.
Voilà pour la contextualisation, comme on dit à l’université.
Mais qu’enseigne à ses étudiants Marc André Cyr, l’intimidateur? Quelle distance établit-il avec ses opinions, ses combats et ses haines compulsives, dont celle à l’endroit de Richard Martineau dépasse l’entendement?
Cyr est le prototype des universitaires qui depuis des années éclaboussent la réputation de l’UQAM. Ses écrits de pyromane permettent de comprendre que les étudiants délinquants qu’on retrouve dans cette université sont des disciples de Marc André Cyr et d’autres enseignants qui dévalorisent par leur fanatisme la noble profession de transmettre le haut savoir, ce qui est la nature même des études supérieures.
L’UQAM a mauvaise réputation à cause de ces enseignants qui n’ont aucune éthique. Cependant le cas de Marc André Cyr relève du grand-guignol.
L'épouse de Richard Martineau, Sophie Durocher, s'est également exprimée :
Un certain Marc-André Cyr a écrit, en février, sur le site Ricochet, une chronique nécrologique de mon mari, imaginant qu’il soit mort en 2016 et que sa dépouille était laissée au coin de la rue pour être picorée par les oiseaux.
Son texte était illustré d’un dessin de la tombe de mon amoureux, avec deux chiens qui pissent dessus.
Sur un autre dessin, on voit Dieu, découvrant Richard Martineau qui vient d’arriver au ciel, et jetant sa dépouille aux poubelles.
[...]
Je n’en ai pas parlé jusqu’ici, parce que je ne voulais pas lui faire de la publicité.
Mais quand j’ai appris que la FPJQ avait invité Marc-André Cyr à un «cabaret» sur la liberté de presse, j’ai été estomaquée.
Pourquoi la FPJQ, Fédération professionnelle des journalistes du Québec, lui donne-t-elle une tribune? Si un troll anonyme avait pondu un texte aussi haineux et des dessins aussi violents, jamais la FPJQ ne l’aurait invité.
Mais Môsieur est prof à l’UQAM, alors ça lui donne le droit à s’asseoir à la table?
Môsieur écrit dans Ricochet, magazine branchouillard, ouh la la, vous comprenez, ma chère!
Le pire, c’est que Bell Média est un des commanditaires de la FPJQ.
Quelle ironie!
Bell Médias congédie un animateur qui a écrit un tweet débile, mais s’associe à un événement où un troll de première classe va pouvoir faire rigoler la salle en leur racontant la fois où il a imaginé la mort de mon mari?
[...]
Et pourtant à la FPJQ on trouve ce gars, Monsieur Cyr, tellement pertinent qu’on l’invite à un petit «cabaret» animé par Pat Lagacé où Yves Desautels va jouer de la zizique.
Ils devraient renommer leur cabaret: J’irai cracher sur vos tombes.
Et combien on parie qu’à son prochain congrès la FPJQ va dénoncer les radios poubelles?
Mais les médias poubelles de gauche où un prof de l’UQAM imagine la mort du père de mon enfant, ça, la FPJQ ne les dénonce pas?
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