samedi 20 août 2011

« Immigration : ce sondage terrible dont personne ne parle  »

Un récent sondage Ipsos fait état d’un durcissement des opinions dans le monde face à l’immigration. Le magazine Marianne s'interroge sur le silence qui a accompagné ce sondage dans la presse traditionnelle francophone.

L’étude a été menée du 15 au 28 juin dans 23 pays du monde sur tous les continents. Un chiffre choc : 54% des Français trouvent que l’immigration a un impact négatif sur leur pays. Les pays avec le moins d'immigration sont globalement les plus favorables à l'immigration.

Aucun média français n’a repris cette étude, on trouve quelques traces du sondage sur des médias belges, mais rien dans nos contrées. Comme si l’émergence d’une opinion majoritairement hostile aux immigrés était un sujet tabou.

À noter qu'au Canada, pays qui sélectionne son immigration en grande partie,  « seuls » 42 % des habitants trouvent qu'il y a trop d'immigrants. Rappelons que la part croissante de l'immigration non européenne et non chrétienne est un des prétextes invoqués par les « ingénieurs sociaux » pour éliminer les cours de religion à l'école publique et les remplacer par des cours d'éthique et de culture religieuse, considérés par plusieurs sociologues comme des cours de multiculturalisme 101. Imposition étatique à tous les élèves que plus de 75 % des Québécois rejettent.


Voir aussi  

Sondage Abacus de décembre 2010, pour 50 % des Canadiens il faut diminuer l'immigration.

 



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1 commentaire:

Dia a dit…

en fait c'est mieux ou pire que cela : De ce sondage truqué - ils le sont tous - il ressort néammoins que 55% des français OSENT désormais dire leur opposition à l'immmigration africaine. Devant un enquêteur qui a toute les chances d'être lui-méme une "chance pour la France" ou bien devant un gauchiste étudiant-chomeur en psychologie, ils osent. C'est ça qui est nouveau. Ils osent.

Ici au Québec entre français immigrés la question n'a même plus besoin d'être débattue ! Plus personne n'oserait défendre l'apocalyspe migratoire.

Et nous observons avec tristesse le Québec s'engloutir dans le même marde. Encore dix ans - allez - et comme la-bas, ici.