Cinq juges fédéraux ont ordonné :
- Elon Musk de réintégrer les employés de l'USAID ;
- à Trump de divulguer quand/où les vols sont partis avec des terroristes ;
- la réintégration des transgenres dans l'armée ;
- le rétablissement des subventions du ministère de l'Éducation;
- interdiction de l'EPA de mettre fin aux subventions.
Il y a plus de quatre ans, Shannon Bream et moi-même avons discuté sur Fox du souhait du président de la Cour suprême des États-Unis d'éviter que la Cour suprême ne soit entraînée dans une « controverse ». J'ai fait remarquer à Shannon qu'à un certain moment, le désir d'éviter la controverse devient lui-même controversé. Nous avons aujourd'hui largement dépassé ce stade - au point que n'importe quel juge de district de Dead Moose Junction peut prétendre substituer sa propre politique étrangère à celle du président et usurper la conduite des relations privilégiées d'État à État :
L'administration n'a pas « refusé de se conformer » à une décision de justice. L'ordonnance, qui ne reposait sur aucune base légale, a été émise après que les étrangers terroristes du TdA [Tren de Aragua] eurent déjà été expulsés du territoire américain. L'ordre écrit et les actions de l'administration ne sont pas contradictoires. En outre, comme la Cour suprême l'a clairement indiqué à plusieurs reprises, les tribunaux fédéraux ne sont généralement pas compétents pour statuer sur la conduite des affaires étrangères par le président, sur les pouvoirs que lui confère la loi sur les ennemis étrangers (Alien Enemies Act) et sur les pouvoirs fondamentaux que lui confère l'article II pour expulser les terroristes étrangers du territoire américain et pour repousser une invasion déclarée. Un seul juge dans une seule ville ne peut pas décider des mouvements d'un avion transportant des terroristes étrangers qui ont été physiquement expulsés du sol américain.
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Site parodique : Juge fédéral ordonne que les astronautes soient renvoyés à la station spatiale. |
Le juge dans la lune qui s'est autoproclamé commissaire en chef pour les relations avec le Venezuela s'appelle Boasberg. Mais l'Amérique a beaucoup de juges. J'en sais quelque chose. J'ai comparu devant un plus grand nombre d'entre eux que dans le reste du monde réuni, et - à deux exceptions près - je ne les ai pas trouvés d'une qualité impressionnante. Néanmoins, ils sont assez nombreux, de sorte que d'un jour à l'autre, un autre individu du genre de Boasberg se nommera commissaire en chef aux relations avec la Russie et annulera un accord de paix avec l'Ukraine. Et malheureusement, même si quelques juristes à cinq sous du pays sont prêts à se contenter du Timor oriental ou des îles Salomon, il n'y a pas assez de pays pour tout le monde. Par conséquent, s'il y a un moment où John Roberts, qui n'aime pas les controverses, doit intervenir et mettre un terme à ces balivernes, c'est bien maintenant.
À moins, bien sûr, que le président de la Cour suprême ne considère comme « constitutionnel » le fait que l'exécutif soit contraint d'engager des poursuites pour chacune de ses actions, par l'intermédiaire d'un pouvoir judiciaire ouvertement anarchique qui ne présente aucune perspective de bon sens tant que la cause ne sera pas entendue par des juridictions d'appel de plus en plus hautes.
C'est parce que les démocrates ont fait un pari, comme ils l'ont fait avec l'Obamacare : les autres (malgré tous les efforts des machines à voter du comté de Maricopa) gagneront de temps en temps ... mais tous les autres leviers sociétaux resteront entre les mains de ceux qui partagent la vision des choses des démocrates. Pour eux, cela vaut donc la peine de se battre à fond sur ce sujet.
Pour illustrer la capture institutionnelle, prenons l'exemple du district scolaire 109 de l'Illinois - les écoles publiques de Deerfield :
Selon la mère de l'une des filles concernées, un collège (école secondaire) de l'Illinois aurait forcé une classe de filles de treize ans à se changer devant un garçon qui se dit trans dans les vestiaires de l'école, après un cours d'éducation physique.Oui, mais l'école est allée un peu plus loin que ce que la « loi » exige :
Nicole Georgas a révélé que le 5 février, sa fille est rentrée à la maison « effrayée » et « bouleversée » après avoir trouvé un élève de sexe masculin dans les toilettes des filles à l'école. Inquiète, Mme Georgas a contacté l'administration, qui lui a répondu que si l'élève s'identifie comme une fille, elle est libre d'utiliser les toilettes réservées aux filles comme elle l'entend, conformément aux instructions de son conseiller juridique.
These school administrators marched the girls into the locker room and stood there to make sure that they undressed.
— Audra Worlow 🇺🇸 (@audrawrongspeak) March 15, 2025
The school didn’t just say “you’ll lose PE credit if you don’t change”
They literally marched the girls into the locker room.
Who do these women think they… pic.twitter.com/znKg4ORidt
Comme quelqu'un l'a dit en ricanant au parent qui se plaignait, pourquoi êtes-vous si obsédés par les organes génitaux ? Mais, en fait, c'est le district scolaire qui est obsédé par les organes génitaux. Il ne suffit donc pas que l'une des « filles » du collège se mette à balancer son service-trois-pièces dans les vestiaires, il faut que les filles dépourvues de pénis soient obligées de contempler ses Œuvres, ô puissants, et désespèrent [allusion à un poème de Shelley]. C'est pourquoi Cathy Van Treese, directrice adjointe, Ginger Logemann, directrice des services sociaux, Joanna Ford, directrice adjointe du district 109, et de nombreux enseignants étaient tous présents pour faire entrer les filles et, métaphoriquement parlant, mais à peine, pour leur mettre les bijoux de famille sous le nez - pendant que, de son côté, « elle » pouvait contempler une pièce remplie de filles nues.
Dans n'importe quelle société saine et fonctionnelle, cela serait considéré comme de la maltraitance d'enfants et les institutrices Van Treese, Logemann et Ford n'auraient plus jamais le droit d'être en contact avec des mineurs. Mais en Amérique, c'est tout à fait normal (à environ la 45e minute) :
D'ailleurs, pourquoi la moitié des personnes qui se tiennent derrière la mère lésée portent-elles un masque ?
Qui sait ? Pour marquer le cinquième anniversaire de l'introduction du confinement ?
Il y a cinq ans, l'ensemble du monde occidental, à l'exception de la Suède, a remplacé diverses formes d'autonomie par un système homogène entièrement nouveau. Dans les nouvelles confinocraties occidentales, nulle contradiction ne pouvait être trop absurde pour ne pas être avalée : les mêmes responsables de la « santé publique » qui avaient la prétention de décréter combien de parents vous pouviez recevoir pour Noël et d'insister pour que des cercles soient peints tous les six pieds sur le trottoir devant Starbucks étaient heureux de laisser Black Lives Matter et antifa organiser des émeutes sans distance sociale tous les soirs parce que le racisme est un problème de « santé publique ». Une New-Yorkaise non vaccinée ne pouvait pas travailler comme serveuse, mais sur le Rio Grande, des millions de personnes dont on ne connaissait pas le statut vaccinal et/ou le statut Covid pouvaient simplement entrer dans le pays.
Et pourtant, le confinement reste l'horizon indépassable de notre avenir pour la classe dirigeante.
À l'occasion de ce cinquième anniversaire, le New York Times a eu l'audace de se plaindre d'avoir été « gravement induit en erreur ». Allison Pearson, la camarade de croisière de Mark Steyn, l'a réprimandé :
Le Times n'a pas été « gravement induit en erreur ». Il a été l'un des pires manipulateurs. Il y a beaucoup d'exemples de ce genre. Il y a cinq ans, le BND (le service de renseignement extérieur allemand) a déclaré à Angela Merkel qu'il était certain à quatre-vingt-dix pour cent que le Covid avait été fabriqué en laboratoire. Mme Merkel a décidé qu'il n'était pas utile que le public allemand le sache.
Vient ensuite le MI6 [La Covid-19 bien issue d'un labo chinois... selon des rapports du MI6 et du BND tenus secrets] :
De même, mon vieux camarade du Spectator [Boris Johnson] a conclu que, comme Mutti Merkel, ses intérêts étaient mieux servis en mentant aux citoyens. Et bien sûr, le fou couvert de sang Fauci savait depuis le premier jour que le CoronaWurus était un projet financé par le contribuable qu'il avait délocalisé à la succursale de Wuhan du grossiste en Gains de Fonction.
Mon principal intérêt reste les origines de la grippe de Wuhan.En même temps, on remarque le manque presque total d'intérêt pour ses origines de la part de pratiquement tous ceux qui comptent, à commencer par les plus hautes strates gouvernementales. Comme le disait Rumsfeld, l'absence de preuves n'est pas la preuve de l'absence. De la même manière, le manque d'intérêt pour une preuve est paradoxalement une preuve d'intérêt. La vérité sur les origines du Covid aurait de graves conséquences pour le gouvernement américain et ses bureaucraties de « santé publique », ainsi que pour la communauté « scientifique » au sens large, ses revues à comité de lecture et ses processus de demande de subventions. En outre, la déférence du public à l'égard des dirigeants politiques qui prétendent « suivre la science » - qui s'effrite déjà en France et en Australie - serait fortement ébranlée s'il apparaissait clairement que le virus mortel est lui-même une création de la « science » et d'une bureaucratie de santé publique de Washington qui l'a suivi jusqu'à un laboratoire non sécurisé de Wuhan.
L'ingénieur/chercheur américain Jim Haslam attribue à Vincent Munster, un ancien virologue d'Erasmus qui a obtenu son doctorat sous la direction d'Ab Osterhaus, un rôle de premier plan dans la création du virus SRAS-CoV-2. Munster aurait rendu le virus transmissible par voie aérienne dans un laboratoire américain en utilisant la technique du « passage en série », une spécialité du département de virologie de l'université Erasmus de Rotterdam.De quel laboratoire américain pourrait-il bien s'agir ?
Les Rocky Mountain Laboratories de Hamilton, dans le Montana. Eh bien, cela me dit quelque chose.
Mais voici ce qui est intéressant. Même si le grand retour en arrière (selon l'expression de Laura Rosen Cohen) s'accélère dans le New York Times et le MI6, gardez toujours ceci à l'esprit : la moitié de vos voisins seraient prêts à seraient prêts à recommencer.
Regardez cette salle remplie d'administrateurs scolaires dans l'Illinois. Ils ont l'air si gentils et normaux, n'est-ce pas ? Je parie qu'ils écoutent NPR [la radio publique américaine] et lisent le New York Times ou quelque chose d'aussi barbant. C'est pourquoi ils pensent qu'il n'y a rien d'étrange à ce que des juges inconnus fassent de la politique étrangère, ou que des administrateurs locaux forcent des écolières à se doucher avec des pénis, ou que des scientifiques du gouvernement fabriquent des virus qui mettent le monde à l'arrêt et obligent vos parents malades à mourir seuls, sans être entourés d'êtres chers ennuyeux.
Vous vous souvenez de ce que les promoteurs de Pfizer et d'AstraZeneca nous ont dit ? Si vous ne le prenez pas, vous êtes un tueur de mamies. En réalité, Fauci, un savant fou sorti d'un film d'animation des années 50, a tué votre grand-mère ... et la moitié des Américains seraient heureux de le laisser recommencer. Qui me confine une fois, honte à lui; qui me confine deux fois, honte à moi.
Les juges usurpent la souveraineté populaire, les scientifiques usurpent les libertés fondamentales et les éducateurs usurpent les parents. Il ne reste pas grand-chose.
Voir aussi
Le juge sanctionne Michael E. Mann pour « mauvaise conduite et mauvaise foi durant le procès » : « Le dossier montre clairement la mauvaise conduite délibérée et consciente de l'avocat du Dr. Mann en suscitant un faux témoignage du Dr. Mann et en faisant de fausses déclarations sur les subventions qu'il reçoit. »
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