jeudi 25 août 2022

Canular ? Une collégienne australienne s'identifierait à un chat, l'école la soutiendrait

Une école secondaire privée de Melbourne soutient le choix d’une élève « non verbale » de s’identifier à un chat, aurait révélé une source proche de la famille. Un élève non verbal ne parle pas ou a des difficultés à se faire comprendre ou à percevoir les intentions des autres. C’est le cas notamment des enfants autistes ou atteints de déficience intellectuelle.

Le Herald Sun rapporte que l’enfant « phénoménalement brillant » a été autorisé à assumer l’identité et le comportement lié à la sous-culture « des animaux à fourrure » adoptée par certains cercles d’adolescents.


 

« Personne ne semble avoir de protocole pour les élèves s’identifiant comme des animaux, mais l’approche a été que si cela ne perturbe pas l’école, tout le monde est solidaire », a déclaré une source proche de la famille.

« Le comportement est en train de se normaliser. Maintenant, de plus en plus de gens s’identifient à tout ce à quoi ils veulent s’identifier, y compris les chats ou les chiens. »

Bien que l’école n’ait pas confirmé la présence de la jeune fille, elle a déclaré que sa stratégie de santé mentale « s’adapte toujours à l’élève et prendra en compte les conseils professionnels et le bien-être de l’élève ».

Plus tôt cette année, dans le Michigan, un État du Midwest américain, une école a été forcée de démentir les affirmations selon lesquelles elle avait mis en place une « litière pour les enfants qui s’identifient comme des chats ». Ceci en réponse à un parent inquiet qui avait fustigé l’école lors d’un forum scolaire.

« Je suis tout à fait pour la créativité et l’imagination, mais quand quelqu’un vit dans un monde imaginaire et s’attend à ce que les autres l’acceptent, j’ai un problème avec ça », a déclaré un parent inquiet à l’époque, qui définissait les « animaux à fourrure » comme quelqu’un qui s’identifie comme un « chat ou un chien, peu importe ».

En réponse, le surintendant des Midland Public Schools, près de Detroit, Michael E. Sharrow avait déclaré qu’il n’y avait « aucune once de vérité à cette fausse déclaration/accusation ! ».

Les incidents ci-dessus surviennent alors que certains adolescents de la génération Z ont adopté la sous-culture des animaux à fourrure. Les membres de cette sous-culture anthropomorphisent les animaux et leur attribuent des caractéristiques humaines.


2 commentaires:

Anonyme a dit…

La stupidité n'a donc plus de limite, plus de bon sens, on est en train de fabriquer une génération de débile, dépressif et déprimé, qui sera incapable de faire face à la vraie vie ...

Petit message à la génération actuelle qui à décidé de rendre le monde débile.

Les enfants d'aujourd'hui sont censé être les policiers et médecins de demain, mais ils n'auront plus la capacité intellectuelle d'être des médecins et nous quand on se sera vieux on aura plus qu'à crever la gueule ouverte car on a accepté l'innaceptable :

Rendre les gens cons, et faire en sorte que cette logique stupide s'applique partout et on en arrive à un stade ou on trouve des excuses à un aggresseur qui vient de tuer ou violer une petite fille, ou une grand mère, ou n'importe qui.

Vivement le jour où en cas d'aggression c'est la victime qui ira en prison parce qu'elle aura osé se défendre.

Bref la fin du monde est proche, et c'est notre connerie qui l'aura causé, j'ai honte d'être humain quand je lis des conneries pareils... Rendez nous service, fermer ce blog de merde et allez voir la vraie vie, vous verrez ça fait peur !

Anonyme a dit…

Vous êtes d'accord avec ce site, et souhaitez cependant qu'il soit fermé ?!

Pour info :
1° On ne rend pas les gens idiots, à moins de lésions au cerveau, car les capacités intellectuelles sont innées, et c'est leur défaut qu'on appelle idiotie. En revanche, on peut rendre malades des personnalités, et briser des caractères, ou laisser en jachère des terres fertiles (à prendre au sens intellectuel ici) : or c'est ce qui se fait depuis des décennies, et, si le dénoncer ne suffira pas, à l'inverse aucune réaction ne sera possible sans la conscience du mal, donc sans l"information, qui ne viendra jamais de la grosse presse.
2° Il y a déjà eu des cas d'hommes condamnés lourdement et incarcérés pour avoir eu le tort de s'être défendendus contre des agressions spontanées.