FORUM SUR L’ÉDUCATION
RLQ GRAND-MONTRÉAL
LE SAMEDI 17 SEPTEMBRE 2011
HOLIDAY INN LAVAL
Thème :
Éducation c. économie : l’avenir, au Québec, passe-t-il véritablement par l’école ?
PROGRAMME DE LA JOURNÉE
9 h 30 |
Accueil et
inscription |
10 h 00 |
Mot de
bienvenue |
10 h 10 |
Discours d’ouverture.
Mme Joanne Marcotte,
Co-fondatrice du Réseau Liberté-Québec |
10 h 30 |
Éducation c. Entrepreneuriat. Capitaine |
10 h 45 | Critique
et reconstruction du système scolaire québécois. |
12 h 00 |
Diner.
Kiosques |
13 h 30 |
Lucidité
parentale c. système scolaire. |
14 h 00 |
Education c. Culture économique – Panel Mme Oona Stock, Associée chez Secor. Fondatrice du «Focus Stratégique Québec» M. M. Adrien Pouliot, Vice-président de la Commission politique de l’ADQ. Ex-président du Conseil de l’Institut économique de Montréal |
16 h 30 |
Discours
de clôture M. |
Coût :
25 $ Membres du RLQ
Holiday Inn Laval, 2900, boul. Le Carrefour, Laval, QC H7T 2K9
Texte introductif du RLQ sur ce colloque
« Nous souhaitons parler d’éducation dans une perspective que l’on aborde rarement, soit : le coefficient de corrélation qui, dans toute société économiquement saine, doit exister entre formation scolaire et comportement socioéconomique.
Au Québec, il est clair que celui-ci se trouve déficitaire : le taux d’entrepreneuriat y atteint tout juste 7%, à peine 12% de la population y détient des placements, le taux d’épargne personnelle y représente un maigre 1.5% du revenu disponible, l’endettement autant individuel que collectif y prend des proportions dramatiques, la productivité y est si faible que la province se classe au 54e rang sur les 60 états nord-américains.
À cet égard, il n’y a aucun doute que le système scolaire porte une responsabilité dans le développement des attitudes que les Québécois adoptent à l’endroit de l’économie. «Le redressement du système scolaire québécois ne viendra pas de l’intérieur», soutient Robert Deschamps, fondateur du RLQ GRAND-MONTRÉAL et concepteur de l’événement.
«La Ministre de l’éducation aura beau réunir tant qu’elle voudra les divers intervenants du monde de l’éducation, ceux-ci ne seront jamais aptes ni disposés à arrimer l’école à l’économie. Nous allons donc demander à ceux et celles qui la font véritablement tourner, cette économie, comment façonner l’éducation pour que celle-ci transmette aux générations futures une connaissance adéquate des rouages économiques». »
Soutenons les familles dans leurs combats juridiques (reçu fiscal pour tout don supérieur à 50 $)
3 commentaires:
Que l'école soit au service des lubies progressistes ou au service du marché(ou des deux pour faire un beau consensus québécois), les parents n'auront pas plus leur mot à dire.
Les changements que le Québec a besoin sont beaucoup plus d'ordre culturel qu'économique.
"But, as Miss Ingraham says, "Even if our economic and national security challenges disappeared overnight, we'd still have to climb out of the cultural abyss into which we've tumbled." Actually, I think I'd go a little further than the author on that. I'm a great believer that culture trumps economics. Every time the government in Athens calls up the Germans and says, OK, we've burned through the last bailout, time for the next one, Angela Merkel understands all too well that the real problem in Greece is not the Greek finances but the Greek people."--
Mark Steyn
Jonathan, c'est pire que cela...
1) Ces gens sont des conjoints et des conjointes... Même pas des « parents ».... Quel étrange censure ou perte du sens des mots. Parents c'est ce qui comptent quand on parle d'école pas conjoint.
2) Regarder qui emploie tous ces gens ... dans la finance.
On n'est pas sorti de l'auberge si le RLQ est notre intelligentsia et notre avenir...
Il faut absolument aider le RLQ a mieux réfléchir et à proposer un véritable choix, qu'il lise ce blogue !
http://pouruneecolelibre.blogspot.com/2011/09/royaume-uni-vingt-quatre-libres-la.html
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