mercredi 27 octobre 2010

France — Plus de notes en classe, mais l'évaluation des compétences ?

Alors que le Québec, après Genève, en revient de ses bulletins par compétences et rétablit après dix ans d'expérimentation des bulletins chiffrés plus compréhensibles pour les parents sans être dénués de défauts, voilà qu'en France certains voudraient se lancer dans cette aventure qui a si souvent échoué.







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6 commentaires:

Anonyme a dit…

Evidemment, la baisse du niveau ne suffit plus, alors on supprime les notes.

D'autres part,

"Collège totalement musulman", la faute à qui ?
"Refus d'apprendre la langue française", pourquoi le feraient-ils, ils le clament assez fort qu'ils ne sont pas et ne veulent pas être français.

Mais peut-être que notre pote Chloé a une théorie ? ( sans balancer les noms bien sûr ! )

Attention aux ours a dit…

Plus ils seront ignorants plus les camarades enseignants les manipuleront facilement.

Luc Miville a dit…

Refus d'apprendre l'histoire de France, le français !!!

Incroyable !

François a dit…

Le même jour que la sortie d'une enquête sur la réussite des Asiatiques à l'école.

En fait c'est la suite de l'article sur la réussite scolaire des enfants asiatiques.

Des parents qui hurlent à la stigmatisation de leurs abrutis de gosses? Suivez mon regard.

Dia a dit…

Il est constant que, si vous voulez endoctriner à l'égalitarisme communiste, vous devez vous débarrasser en effet très tôt de la notion de classement.Ce qui est frappant c'est que ces mesures démagogiques émanent précisément d'une société où les différences de salaires ne cessent de croître. Une société cynique qui ne note plus de 0 à 10 mais plutôt de 0 à 100000 !

Je sais que l'on dit que ces mesures sont pédagogiques (c'est à dire au sens strict qu'elle concernent l'enfant mais... je ne crois pas. Je crois qu'elles visent d'abord les parents. Elles visent à déposséder les parents du dernier moyen qui leur restait de savoir où en est leur enfant. Les notes c'est le marqueur simple et clair de la situation scolaire de l'enfant. Un marqueur qui est aussi comparatif notez-le : mon enfant à côté des autres. Avec les notes c'est ce dernier repère qui disparaît. Les parents sortent définitivement de l'horizon de l'école et les bureaucrates ont gagné.

PS : accessoirement aussi, ce marqueur permettait à l'enseignant lui-même de mesurer la réception de son message. Si dans une classe tout le monde est sous la moyenne alors clairement le programme n'est pas adapté.

Désormais : plus de thermomètre, plus de maladie !



"Nous avons de nos maître en cette démocratie (...) nous avons d'eux et de leur administration et de leur gouvernement et de leur commandement et de leur tyrannie une idée si extraordinaire (et si juste), que nous commençons par ne rien mettre à leur passif, quoi qu'il fassent, parce que nous trouvons que quand ils font mal c'est leur office même; et nous nous y attendons si bien; et à leur actif nous comptons, premièrement le peu de bien qu'ils font, deuxièmement tout le mal qu'ils ne font pas, et qu'ils pourraient si bien faire."

Peguy - L'argent suite - Gallimard p 206

Sébas a dit…

Dia :

100% d'accord avec vous.

Vous connaissez sûrement "L'école de Francfort" ?

Et pour ceux qui ne connaissent pas: ce n'est pas une école avec un toit!
;-)


***

"Le but est partout le même : la Destruction des Peuples européens (ou d’origine européenne) honnis, par l’immigration, le multiculturalisme, le métissage, les gay rights, le mariage gay, la famille monoparentale, les quota, les manuel scolaires.

Qu’est donc ce Marxiste Culturel ou déconstructivisme plus connu sous le terme de Politiquement Correct ?

Il se trouve qu’après les échecs des révolutions bolcheviques en Europe de l’Ouest (où Marx avait pourtant prévu que la révolution communiste prendrait place), des intellectuels marxistes internationaux formèrent en 1923 ce qu’il est convenu d’appeler l’École de Francfort afin d’étudier les causes des échecs des révolutions trotsko-léninistes dans ces pays. Elle rassemblait des socio-philosophes universitaires tels que Horkheimer, Wiesengrund-Adorno, Marcuse, Benjamin, Fromm, Pollock, Neumann, Wiggersrhaus, suivis par Habermas, Gramsci, Lukacs… assistés par Sigmund Freud.

Leurs conclusions fut que la doctrine marxiste n’était pas en cause mais que les peuples immatures n’étaient pas réceptifs. Il fallait donc changer les peuples. Ce fut le but de ce qu’ils nommèrent le Marxisme Culturel, ou déconstructivisme, dictature de la pensée, qui gouverne les démocraties d’Occident depuis les années 60.

Les mots étant des armes il était impératif de prendre le contrôle des media et de l’industrie culturelle. Ce fut fait. On pouvait dorénavant façonner la pensée des peuples, promouvoir la fragmentation de la société en minorités, religieuses, raciales, sexuelles, et dresser ces minorités contre la majorité traditionnelle qui n’avait plus d’autre choix que de se taire.

Au moindre écart de langage le terrorisme de la pensée vous traine devant les tribunaux, en brandissant jusqu’à plus soif les clichés éculés de l’antisémitisme, de la xénophobie, du racisme, de l’islamophobie, du fascisme, de l’homophobie, du nazisme, de la puanteur nauséabonde, des heures les plus sombres, etc. Idem aux Etats-Unis : fascist, anti-semite, racist, nazi, bigot, ignorant, offensive, hate.

Ainsi fut installée la tyrannie des minorités sur la majorité traditionnelle, préalable à la destruction de la substance des peuples d’Occident."



Extrait de ce texte:

http://www.polemia.com/article.php?id=3033