"La réalité est qu'on ne peut pas vivre dans une France blanche", Mathieu Kassovitz, acteur et réalisateur
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Carnet voué à la promotion d'une véritable liberté scolaire au Québec, pour une diversité de programmes, pour une plus grande concurrence dans l'enseignement.
dimanche 25 mai 2025
L'acteur militant Mathieu Kassovitz : « Il y a des Français de souche, cela s'appelle des fins de race ».
Dans les écoles publiques québécoises, 1 prof sur 10 ne détient pas de brevet d'enseignement
Il s’agit d’une tendance qui n’est pas près de s’essouffler, souligne la Fédération québécoise des directions d’établissement d’enseignement.
Des profs quittent le navire
Ces profs sans brevet représentent toutefois une charge de travail supplémentaire pour le personnel en place.
Le taux de roulement élevé ajoute à la lourdeur de la tâche, puisque les profs NLQ sont aussi nombreux à abandonner le navire en cours d’année, soulignent les directions d’école.
Certains y renoncent de gré ou de force, comme Emilie Lacas, qui est en arrêt de travail pour épuisement professionnel depuis le début du mois d’avril.
Au cabinet du ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, on rappelle que le nombre d’élèves dans le réseau scolaire ne cesse d’augmenter. «On a donc plus de postes à combler année après année», indique son attaché de presse, Antoine de la Durantaye.
Plusieurs universités offrent désormais des programmes courts de 30 crédits, pour former plus rapidement les enseignants sans brevet, «mais force est de constater qu’on doit en faire plus», ajoute-t-il, tout en précisant que le cabinet «travaille sur différentes avenues en ce moment».
Les hausses salariales et les aides à la classe, consenties dans la dernière négociation avec les enseignants, contribuent par ailleurs à rendre la profession plus attrayante, ajoute-t-il.
Après les dernières négociations salariales, un enseignant à l'échelon 8 verra son salaire passer de 62 820 $ annuellement à 79 292 $ en avril 2027, ce qui représente une augmentation de 23,8 % sur cinq ans (jusqu'à 26,2 % en considérant l'effet composé). À l'échelon 12, le salaire passera de 74 199 $ à 91 261 $ par année, soit une augmentation de 21,1 % sur cinq ans (jusqu'à 23 % en tenant compte de l'effet composé). Ceux qui sont au sommet de l'échelle salariale, à l'échelon 16, verront leur salaire passer de 92 027 $ à 109 151 $ à la fin de la convention collective. Le salaire moyen au Québec en 2025, selon les données les plus récentes de Statistique Canada, s'élève à environ 64 351 $ par année (ou 1 237,52 $ par semaine), basé sur les chiffres de janvier 2025, avec une augmentation de 5,4 % par rapport à janvier 2024.
Mars 2025: 10 400 (9,9%)
Octobre 2024: 9184 (9,1%)
Février 2024: 7949 (8,9%)
2022-2023: 6484 (7,3%)
2021-2022: 4783 (6,1%)
Éducation : le succès du cours Clovis, une école d’excellence dans la France rurale
En 2027, il faudra se donner les moyens de reproduire à l’échelle nationale de la France le succès du cours Clovis, une école d’exception à La Fère, dans la France périphérique.
Les jeunes ruraux pauvres se projettent deux fois moins dans les études supérieures
La Fère est emblématique de la France dite périphérique. Hier couverte de gloire et enjeu de batailles décisives, La Fère, ville natale du père d’Henri IV, choyée par Mazarin et Anne d’Autriche, ancien siège de l’école royale d’artillerie, semblait vouée à la disparition. 2 800 habitants, 30 % de chômeurs, des commerces qui ferment les uns après les autres. Plus d’avenir pour les adultes, pas de perspective pour les jeunes… jusqu’à ce qu’en 2017 un petit groupe de trentenaires, décidé à renverser le cours d’un destin trop triste, installe quatre Algecos sur le stationnement d’une enseigne commerciale de maxi-discompte désaffectée, et lance un appel : « Élèves décrocheurs de la région, venez apprendre et grandir avec nous ! » Le cours Clovis – nous sommes à 40 kilomètres de Soissons – était né. Huit ans plus tard, les résultats de sa pédagogie tiennent du miracle.
Dans cette région qui cumule les records (pauvreté, chômage, alcoolisme), les élèves du cours Clovis entrent en CP avec un niveau inférieur à celui des réseaux d’éducation prioritaire renforcés (les élèves en plus grande difficulté)... pour entrer en 6e avec un niveau supérieur à la moyenne nationale. Le succès ne s’arrête pas là : depuis trois ans, les élèves de 3e obtiennent des résultats semblables aux 10 % des élèves les plus favorisés de France, alors qu’ils font partie des 10 % les plus défavorisés.
Et pourtant, le coût annuel par élève du cours Clovis, qui est hors contrat et donc non subventionné par l'État, est significativement inférieur au coût moyen d’un élève de l’Éducation nationale : 6 500 euros par an contre 7 900 euros (primaire). D’où vient le miracle et peut-on le reproduire à l’échelle nationale en 2027 ?
Il y a ce qui se donne à voir dans cette école d’exception : l’uniforme pour masquer les disparités de revenus et de conditions, et libérer parents et enfants de la tyrannie dispendieuse des marques ; le vouvoiement des professeurs par leurs élèves et réciproquement ; les professeurs qui jouent au foot et au basket avec leurs élèves pendant la récréation à même le stationnement de voitures.
La discipline, bien sûr, mais d’où vient cette joie sereine sur les visages des enfants ; cette absence de tensions et de violences ; ce je-ne-sais-quoi où se mélangent le respect, la fierté d’en être ? Le directeur d’Excellence Ruralités, Jean-Baptiste Nouailhac, a la réponse. « Il n’y a pas de miracle, mais un projet fondamental : nous mettons des personnes (les professeurs) devant d’autres personnes (les élèves) ; nous ne broyons pas l’humain dans une procédure ou une bureaucratie. Des petits effectifs permettent un suivi personnalisé de chaque élève. Le projet éducatif ici, ce n’est pas de faire rentrer les élèves dans des cases idéologiques, quelles qu’elles soient ; c’est de faire en sorte que l’élève puisse voler de ses propres ailes. Nous éduquons à la liberté et à la maîtrise de soi, dans une époque où il est de plus en plus difficile de résister aux intrusions et aux tentations et prescriptions des petits écrans. » Et pour enfoncer le clou, et le compas, Pythagore vient à la rescousse : « Nul n’est libre s’il n’est maître de lui-même. » CQFD.
Révolution culturelle
Comment réussir le déploiement à l’échelle nationale, au-delà du cours Clovis et de deux nouvelles écoles lancées en Charente et dans le Morvan ? Cela passe d’abord par une forme de révolution culturelle à l’Éducation nationale. Remettre la personne au centre, c’est troquer une approche massifiée par une approche granulaire, de personne à personne. Les outils numériques le permettent. Pierre d’angle du succès d’une école comme de toute entreprise humaine : son chef. Un chef d’établissement, en effet, doit avoir les moyens juridiques et financiers de son autorité; pouvoir recruter l’équipe d’enseignants qu’il souhaite, au prix qu’il aura décidé – dans le cadre d’un budget global, et en privilégiant la personnalité, la motivation, son adhésion au projet éducatif, plutôt que des enseignants choisis par le syndicat et au titre de l’ancienneté.
Comment financer cette révolution culturelle – où le principe du doublement des salaires des enseignants doit être acté, afin de rémunérer les enseignants français dignement – et au niveau de leurs homologues allemands ?
Neuf des 10 départements les plus touchés par les retards de lecture sont ruraux
Les marges de manœuvre sont toutes trouvées dans les pantagruéliques effectifs administratifs de l’Éducation nationale, tant à Paris que dans chaque établissement. 600 000 agents « encadrent » 10 millions d’élèves dans l’Éducation nationale, soit 1,5 fois plus que dans l’enseignement catholique. À l’instar de l’hôpital et d’autres services publics essentiels, le mal est là, et croissant (48 % d’effectifs non enseignants en hausse depuis 2015, source Ifrap) : dans la bureaucratisation à outrance. La solution est toute trouvée : aucun départ à la retraite ne sera remplacé chez les non-enseignants pendant le prochain quinquennat ; gel total des embauches pour ce corps déjà obèse. Priorité absolue donnée à la « ligne de front » – les enseignants, et à l’initiative des chefs d’établissement. Ce sont eux qui savent faire, au plus près des élèves ; pas des bureaucrates syndiqués à Paris, récitant souvent un mauvais catéchisme idéologique.
Une idée du cours Clovis, dont la stratégie est d’aider les élèves de leur région à pleinement se réapproprier leur territoire, son histoire et sa marque glorieuses, nous identifions le triptyque gagnant pour l’Éducation nationale en 2027. Plus un euro pour l’administratif, tout pour les enseignants ; dévolution maximale des pouvoirs au chef d’établissement et que les meilleures écoles gagnent ; et remettre la personne de l’élève, son histoire et son territoire, au cœur du nouveau contrat éducatif français. Si nous y arrivons en 2027, les enseignants-mousquetaires de La Fère n’auront pas démérité de leurs ancêtres dumasiens.
Source : JDD
Échange tendu entre le président sud-africain et donal Trump devant la presse internationale
Le président américain montre au président sud-africain Cyril Ramaphosa une compilation vidéo de ce qui se passe contre les agriculteurs blancs en Afrique du Sud pic.twitter.com/Mv8gxODIeg
— Brainless Partisans 🏴☠️☢️☣️🪆 (@BPartisans) May 21, 2025
Il a également nié toute expropriation de terres basée sur la race. Ceci est discutable.
Kallie Kriel directeur exécutif d'Afriforum a réagi sur X :
Après que le président Donald Trump, le secrétaire Rubio et Elon Musk ont attiré l'attention internationale sur les horreurs des meurtres dans les fermes en Afrique du Sud, les médias de gauche et autres négateurs de ces crimes se sont précipités pour minimiser la gravité de ces atrocités de toutes les manières possibles.
Ils ont tout simplement ignoré les récits horribles de tortures et de meurtres de sang-froid d'innocents dans les fermes. Ils ont passé sous silence le fait que les appels aux meurtres ethniques d'Afrikaners et de fermiers, tels que « Kill the Boer », sont désormais légaux en Afrique du Sud.
Ils ont omis de souligner que le président Ramaphosa refuse toujours de condamner ces appels au génocide. Ce type de manipulation par les médias de gauche est une insulte aux victimes d'attaques de fermes et ne tient pas compte du traumatisme subi par elles et leurs communautés.
Les histoires des victimes de meurtres dans les fermes ne doivent jamais être balayées sous le tapis. C'est pourquoi Afriforum et moi-même publierons dans les semaines à venir une série de vidéos mettant en lumière ces histoires. Merci de les diffuser le plus largement possible.
Farm murder facts from South Africa
— Kallie Kriel (@kalliekriel) May 24, 2025
(episode 1)
– The Murder of Robert Stander
After President @realDonaldTrump, @SecRubio and @elonmusk drew international attention to the horrors of farm murders in South Africa, leftist media and other deniers of these crimes scrambled to… pic.twitter.com/w6oyQ8NKi3
Cyril Ramphosa avait à sa droite Ronald Lamola, ministre sud-africain des Relations internationales et de la Coopération. Voici ce qu'il disait en juin 2012 alors qu'il était vice-président de la Ligue de jeunesse du Congrès national africain : les Afrikaners n'y peuvent rien, «cette terre sera expropriée sans compensation».
See the guy next to President Cyril? Listen to what he has to say about land. He’s not talking about expropriating land without compensation to build highways or schools — that’s clearly not the plan. What do you think? pic.twitter.com/k8qjBEtby3
— Tiaan Esterhuizen (@tiaanest) May 24, 2025
Si les Sud-Africains blancs ne cèdent pas leurs terres aux Noirs pauvres, il pourrait y avoir des invasions de terres comme celles qui ont eu lieu au Zimbabwe, avait menacé Ronald Lamola à l'époque.
M. Kriel a souligné que la promulgation de la loi sur l'éducation de base (Bela) et de la loi sur l'unification, ainsi que l'application de divers régimes raciaux, ont contribué à l'aliénation des Afrikaners et d'autres communautés minoritaires dans le pays.
«L'acte d'agression du gouvernement dirigé par l'ANC à l'égard des locuteurs de l'afrikaans, en menaçant les écoles afrikaans et, par conséquent, la survie de cette communauté, a provoqué un grave abus de confiance. La violation a été exacerbée par la publication de réglementations raciales draconiennes imposant des quotas raciaux stricts sur le lieu de travail et dans l'économie, le déni des protections des droits de l'homme, telles que celles visibles dans l'affaire des meurtres de fermiers et la législation autorisant l'expropriation sans compensation. »
« Les tentatives de déni et d'intimidation, telles qu'elles ressortent notamment des plaintes pour trahison déposées contre AfriForum [par le parti de l'ex-président sud-africain Jacob Zuma], ne nous contraindront pas au silence. Au contraire, cela nous motive d'autant plus à défendre notre cause légitime avec plus de vigueur », a conclu M. Kriel.
Voir aussi
Trump déclare qu'il supprime tout financement à l'Afrique du Sud en raison de la discrimination anti-blanche (extraits de la loi sur l'Éducation de base et sur l'expropriation sans compensation).
Vivre-ensemble : chef du 3e parti (13 %) en Afrique du Sud chante « Tirez pour tuer, Tuez le Boer, tuez le fermier » devant stade combleVivre-ensemble : Julius #Malema, le chef de l'#EFF, le 3e parti (13 %) en Afrique du Sud, chante « Tirez pour tuer, #Tuez le #Boer, tuez le #fermier » devant stade comble#afriquedusud #meurtre #arcenciel #afrique https://t.co/lFL6d9komI pic.twitter.com/eaIHuJ6F3y
— École Libre (@ecolelibre) July 31, 2023
Une semaine à Orania, cette petite ville qui refuse le multiculturalisme sud-africain
Uniformiser les universités de la « nation arc-en-ciel » au nom de l’« unité » ?
Afrique du Sud — volonté de spolier les terres et d’angliciser les écoles malgré la constitution