samedi 30 octobre 2021

La Presse élimine un texte du docteur René Lavigueur contre la vaccination des enfants publié la veille (m à j)

Devant le tollé suscité par la disparition sans explication de cet article, La Presse s’est expliquée. Cette lettre contiendrait des « faussetés et des demi-vérités ». Il est bon d’en débattre. De nombreux articles des gros médias subventionnés sont aussi tendancieux et peuvent également induire en erreur (mais bien sûr pour la bonne cause, ce sont de nobles demi-vérités). 

Nous ne voyons pas pourquoi des erreurs devraient aboutir sur la disparition d’un texte déjà publié et sa censure insidieuse : il faut réfuter les erreurs, en débattre, pas faire taire.

Le lecteur n’ayant pas accès à la lettre censurée ne peut pas juger pour voir si le censeur ne se concentre pas que sur les aspects douteux il est vrai, mais mineurs du texte ; tout en ne répondant pas à des aspects soulevés par l’auteur qui méritent réponse. Les critiques ne semblent pas avoir répondu à une question pourtant centrale : comment justifier la vaccination des jeunes enfants qui ne sont pas à risques de la Covid-19 ?

La Presse (ou un autre organe de presse) publiera-t-elle la réponse du Dr Lavigueur à ces articles qui le traite de désinformateur ? On peut en douter.

Une chose est sûre la censure est efficace au Québec (le nombre de médias est très petit, ils sont sous perfusion), pour notre bien collectif bien sûr.

En France, les choses vont autrement voir sur le sujet le Dr Gérald Kierzek, médecin urgentiste à l’hôpital Hôtel Dieu, pourtant pro-vaccins, très sceptique par rapport à la vaccination des enfants contre la Covid-19. Voir vidéo ci-dessous (mais c'est sur une radio privée qui ne vit pas de subventions).

Aussi : Dernières nouvelles sur la Covid-19 (résumés de plusieurs études).




Billet du 27 octobre 


L’article ci-dessous du docteur René Lavigueur sceptique par rapport à la vaccination des enfants a été publié dans La Presse d’hier, puis retiré cette nuit de leur site. Sans explication...

À quoi ressemble la page de l'article (écran 8) aujourd'hui

VACCINATION DES ENFANTS

LES DILEMMES D’UN MÉDECIN DE FAMILLE EN TEMPS DE COVID-19

RENÉ LAVIGUEUR

MÉDECIN, SAINTE-ANNE-DES-MONTS

Médecin de famille, je suis doublement vacciné et mon témoignage apporte l’éclairage d’un homme de terrain aux prises avec les dilemmes quotidiens particuliers qu’occasionne la crise du coronavirus.

À quoi ressemblait l'article hier

La pensée unique et la peur qu’ont entraînées 19 mois de campagne médiatique ont divisé cruellement et inutilement les familles, les professionnels, bref la société tout entière. Cette pensée interdit toute discussion et tout débat par peur de représailles.

UN CODE DE DÉONTOLOGIE MIS À MAL

Le médecin de famille est soumis à un code de déontologie qui comprend des articles visant la protection du public et le respect du droit des patients à un consentement libre et éclairé.

Je suis, en tant que médecin de famille, placé devant des choix déchirants lorsque l’application de ces principes entre en conflit avec la gestion politique de cette pandémie, gestion préconisée par les autorités de santé publique et soutenue par le Collège des médecins du Québec. Toute ma pratique s’est articulée autour d’un souci constant : celui de ne pas nuire. Mon allégeance première est envers la mère, l’enfant et toute personne qui sollicite mon aide. On me consulte donc au sujet de la vaccination des enfants, de la sécurité du vaccin, de l’obligation vaccinale, des complications du vaccin.

Je constate au quotidien, tout comme les psychologues et les travailleurs sociaux, les dommages non seulement de la COVID-19, mais aussi de sa gestion.

Pour respecter le droit de mes patients à un consentement éclairé, voici ce que je crois devoir leur dire concernant la vaccination des enfants :

« Acceptez-vous que votre enfant reçoive le vaccin à ARN messager ? Ce vaccin est différent de tous les vaccins que vous connaissez. Ce vaccin comporte une balance risques/bénéfices incertaine chez les enfants en bonne santé et sans facteurs de risque. Le fabricant ignore les effets à long terme de son produit. L’Organisation mondiale de la santé ne le recommande pas et il n’est pas encore approuvé par la Food and Drug Administration aux États-Unis, ni par Santé Canada pour les 5 à 11 ans. Il est offert aux enfants dans l’espoir de contribuer à limiter la contamination des personnes âgées et/ou vulnérables par la COVID-19. Acceptez-vous que votre enfant reçoive ce vaccin ? »

On aurait pu ajouter que la mortalité chez les enfants âgés de 0 à 9 ans est nulle depuis le début de la pandémie (données de l’INSPQ). La balance risques/bénéfices est donc a priori difficile à défendre pour cette tranche d’âge, tout comme chez les jeunes en général.

J’aimerais bien pouvoir dire cela librement, sans risque de représailles. Le médecin, comme les parents, devrait pouvoir défendre le « principe de précaution » et la prudence en ce qui concerne la santé des enfants.

Les vaccinés, tout comme les non-vaccinés, peuvent héberger et transmettre le virus. Les enfants sont de mauvais propagateurs du virus dans la communauté. Alors, comment justifier la vaccination imposée aux enfants ?

Il y a un grave problème éthique à forcer la vaccination chez des enfants sains dans le but hypothétique d’en faire profiter un autre segment de la population (les personnes âgées avec comorbidités). Les enfants n’ont-ils pas déjà assez souffert ? Pourquoi risquer de compromettre davantage leur santé ?

Les parents ont eu le choix douloureux de signer l’autorisation vaccinale de leurs enfants ou de les condamner à l’exclusion et au rejet. C’est donc une vaccination obligatoire, mais qui ne s’affiche pas comme telle. Or, notre code de déontologie impose un « consentement libre » pour toute décision, c’est-à-dire sans pression, menace ou contrainte. Comment puis-je conseiller le parent inquiet qui ne veut pas que son enfant soit marginalisé ? Que gagne-t-on avec cette vaccination ? Pourquoi punir l’enfant non vacciné ?

UN VACCIN QUI ÉCHAPPE À TOUTE SURVEILLANCE

Je traite des adultes avec des séquelles graves à la suite de l’administration de ce vaccin. Pour une population de 11 300 habitants, j’ai déjà signalé à la Santé publique deux décès, des cas d’ACV, de paralysie de Bell, de saignements menstruels, de palpitations et de fatigue extrême consécutifs à l’administration des vaccins.

Des milliers de morts, des dizaines de milliers d’effets secondaires graves dus au vaccin sont rapportés à travers le monde. Pourquoi ignorer, au Québec, les risques associés à ces vaccins ? Si le fabricant n’est responsable de rien, s’il a pu négocier une immunité judiciaire, alors qui sera responsable des dommages bien réels de ces vaccins ?

 

Voir aussi 

 

Pfizer : laissez-nous vacciner vos enfants pour évaluer efficacité et danger

Pr Peyromaure : je suis scandalisé par le débat sur la vaccination des plus jeunes... c’est une folie...   

Annonces du Premier ministre Legault de ce jour (vaccination des 5 à 11 ans!)

L'Ontario, la Suède et le Danemark suspendent le vaccin anti-Covid de Moderna pour certains jeunes (m à j : Finlande et Islande aussi)  

Canada — Université menace ses étudiants en ligne de suspension s'ils ne sont pas vaccinés, mis en demeure par des avocats, elle recule   

Grande-Bretagne — les avantages de la vaccination de tous les enfants et jeunes de moins de 18 ans ne l'emportent pas sur les risques

Étude — Plus de risques d'événement cardiaque indésirable après 2e dose du vaccin chez les garçons que d'infection à la Covid sur 120 jours  

Vaccins : le doute est-il encore permis ?  

Une étude révèle que l'immunité naturelle serait supérieure à la vaccination  

Trudeau : les non-vaccinés assis à côté de vaccinés mettent ces derniers en danger 

Stéphan Bureau blâmé par l'ombudsman de la radio gouvernementale pour son entrevue avec Didier Raoult 

Le vaccin d'AstraZeneca suspendu pour les moins de 55 ans [Le Soleil 29 mars 2021 : « Après avoir clamé sur tous les fronts que le vaccin d’AstraZeneca est efficace et sécuritaire, les autorités fédérales et provinciales en suspendent maintenant l’utilisation pour les personnes de moins de 55 ans. »] 

«Un nombre important de cas d'échec du vaccin Janssen a été rapporté, avec notamment des formes graves (décès, réanimation) ainsi qu'une surreprésentation des patients vaccinés par Janssen en réanimation dans deux CHU» (Centres Hospitaliers Universitaires), à Marseille (sud) et Tours (ouest), note l'ANSM dans son rapport périodique de surveillance des vaccins.

 

 

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