tag:blogger.com,1999:blog-8221147601357355702.post2301823484266003124..comments2024-03-19T09:26:47.124-04:00Comments on Pour une école libre au Québec: ECR : analyse d'un programme multiculturaliste et pluraliste normatifUnknownnoreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-8221147601357355702.post-6618589870466287062009-01-03T20:49:00.000-05:002009-01-03T20:49:00.000-05:00Mon commentaire précédent est un exemple possible ...Mon commentaire précédent est un exemple possible de présentation laïque honnête. (Donc ne pas trop parler de religion quand même et sans jamais prendre position, souvent dans les manuels on ajoutera des "selon les chrétiens" et des conditionnels)<BR/><BR/>Voici le début de sa biographie tirée du site du Vatican :<BR/><BR/>Marguerite d'Youville (1701-1771)<BR/>Fondatrice de la Congrégation des Soeurs de la Charité<BR/><BR/>Première fleur de sainteté aux racines canadiennes [[et le Lys des Agniers, ma question?]], MARGUERITE d'YOUVILLE naît à Varennes (Québec), le 15 octobre 1701. Enfant de Christophe Dufrost de Lajemmerais et de Marie-Renée Gaultier de Varennes, ella sera suivie de deux sœurs et trois frères. À sept ans, elle est orpheline de père. Sa famille connaît dès lors une grande pauvreté. Grâce à l'influence de Pierre Boucher, son arrière-grand-père, Marguerite bénéficie de deux années d'études chez les Ursulines de Québec. Ses éducatrices décèlent chez elle un caractère bien trempé et une grande maturité.<BR/><BR/>De retour au foyer, l'adolescente seconde sa mère dans la tenue de la maison et l'éducation de ses frères et soeurs. Plus tard, elle suit à Montréal sa mère remariée et fait la connaissance de François d'Youville qu'elle épouse en 1722. Très tôt, elle réalise qu'il devient indifférent à son foyer. Elle souffre de ses fréquentes absences et de son commerce de l'alcool avec les Indiens. Des six enfants qu'elle met au monde, quatre décèdent en bas âge. À ces épreuves s'ajoute celle de la cohabitation avec une belle-mère exigeante. Lorsqu'une maladie soudaine et mortelle atteint son mari, Marguerite veille sur lui avec tendresse jusqu'à ce qu'il meure, en 1730, la laissant enceinte du sixième enfant qui ne survivra pas.<BR/><BR/>La jeune veuve saisit progressivement l'amour de sollicitude de Dieu pour tous les humains et se sent pressée de manifester cette compassion autour d'elle. Avec une immense confiance en la Providence de ce Dieu qu'elle aime comme un Père, elle entreprend de multiples œuvres en réponse à des besoins non comblés. Tout en veillant à l'éducation de ses deux fils qui deviendront prêtres, elle accueille chez elle une aveugle, le 21 novembre 1737. Puis, avec trois compagnes qui partagent ses visées, elle se consacre à Dieu, le 31 décembre 1737, pour le servir dans la personne des plus démunis. Marguerite devient alors, à son insu, fondatrice de l'Institut connu plus tard sous le nom de Sœurs de la Charité de Montréal, "Sœurs Grises"Pour une école librehttps://www.blogger.com/profile/09205398279540955539noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8221147601357355702.post-68642758413862464232009-01-03T20:35:00.000-05:002009-01-03T20:35:00.000-05:00Dire que Elle naquit à Varennes, près de Montréal ...Dire que <BR/><BR/>Elle naquit à Varennes, près de Montréal au Canada, la fille de Christophe-Dufrost de Lajemmerais et Renée de Varennes, elle-même la sœur de la Vérendrye, celui qui a découvert les Rocheuses. Après avoir étudié avec les Ursulines à Québec, elle dut se répartir les tâches ménagères dans la maison de sa mère devenue veuve. Elle se maria en 1722 à François-Madeleine d’Youville (1700-1730), qui la traita avec indifférence, et la laissa veuve huit ans plus tard avec trois enfants et beaucoup de dettes. Elle fut obligée de travailler par elle-même pour pouvoir subvenir à ses besoins. Deux de ses fils atteignirent l'âge adulte : ils devinrent tous deux prêtres. De sa propre pauvreté, elle aidait ceux qui étaient dans le besoin.<BR/><BR/>Catholique très croyante, elle secourut de la dette et de la ruine l'hôpital, fondé en 1694 par M. Charon, puis géré par la confrérie portant son nom. Cette entreprise allait être le travail de fondation d'un nouvel institut religieux, les sœurs grises ou sœurs de la charité, qui fut, semble-t-il, destiné à fleurir sous la direction de Mère d'Youville.Pour une école librehttps://www.blogger.com/profile/09205398279540955539noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8221147601357355702.post-57351217050188304402009-01-03T19:00:00.000-05:002009-01-03T19:00:00.000-05:00Que 'devrait' répondre un enseignant d'ECR à un él...Que 'devrait' répondre un enseignant d'ECR à un élève que demanderait la question suivante:<BR/><BR/>J'ai entendu dire qu'une sœur catholique, Marguerite d'Youville a fait beaucoup de bonnes choses... pouvez-vous me dire qui elle est, ce qu'elle a fait et pourquoi?Anonymousnoreply@blogger.com