mercredi 29 février 2012

Monsieur Lazhar, une claque pour le Monopole de l'Éducation ?

Mise-à-jour du 29 février 2012


Mathieu Bock-Côté revient sur la critique implicite du système de l'éducation québécoise que porte le film Monsieur Lazhar.

27 janvier 2012

Mario Dumont et Gilles Proulx parlent de Monsieur Lazhar nommé aux Oscars. Ce film raconte l'histoire d'un Monsieur Bachir Lazhar qui se présente à une école montréalaise pour remplacer une enseignante qui vient de se suicider. Monsieur Lazhar, un résident permanent au Canada, se présente à l’école et se fait passer pour un maître d’école prêt à prendre le relais et à faire la classe aux enfants.

Mais voilà, Bachir Lazhar n’est pas vraiment résident permanent. Il est réfugié politique algérien. Et il n’est pas maître d’école. Mais restaurateur. Mais parce qu’il est cultivé, parce qu’il a aussi du bon sens, il devient vite un professeur exemplaire...




Bande annonce






Entretien avec Phillipe Falardeau où il aborde (au début) ses recherches en classe






Chronique audio de Bock-Côté sur le film (l'école, l'autorité condition de la transmission)






Voir aussi

Bock-Côté : Merveilleux Monsieur Lazhar (chronique écrite)






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4 commentaires:

  1. ...sur le lien entre le film et le titre interrogatif du billet: "Monsieur Lazhar, une claque pour le Monopole de l'Éducation ?"

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  2. On s'interroge,

    Vous avez vu la vidéo avec Mario Dumont et Gilles Proulx ?

    C'est pourtant simple : un épicier qui a fait son lycée en Algérie sait plus et fait mieux que les ignorantins « formés » au Québec pour enseigner au primaire et bardés de leur diplôme en (psycho-)pédagogie.

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  3. Ce n'est pas le ministre qui forme les enseignantes et les enseignants, mais les universités.

    Quant aux exigences du ministre, elles sont élevées comme vous pourrez le constater en lisant: "La formation à l'enseignement" sur

    http://www.mels.gouv.qc.ca/dftps/interieur/pdf/formation_ens.pdf

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  4. On s'interroge,


    C'est quand même bien le MELS qui décide des exigences et donc indirectement de qui sera embauché et avec quelle formation. Il ne faut pas ergoter.

    Pour ce qui est des exigences élevées, elles peuvent l'être dans des sujets inutiles ou même néfastes.

    J'ai eu droit à des jeunes enseignants formés au Québec qui ont travaillé pour moi, un désastre, peut-être plein d'heures de cours abscons, compliqués, ennuyeux d'une utilité douteuse, mais nuls en français, en orthographe et en culture générale. Vraiment affligeants.

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