jeudi 10 mars 2011

L'État tatillon « débusque » des centaines de garderies soudainement « illégales »

Mario Dumont reçoit Martyne Huot, directrice générale du Réseau Familles d'aujourd'hui, pour discuter des quatre-cent soixante-dix-sept garderies « illégales » qui auraient été débusquées par de vaillants fonctionnaires. Garderies qui ont donné satisfaction jusqu'à récemment, elles deviennent illégales parfois en passant de six à 7 enfants (un permis est obligatoire depuis quelques années pour plus de 6 enfants).

(Son est bon, mais image désynchronisée)

Lien sur V Télé (meilleure qualité, mais publicité  d'une vingtaine de secondes)



Un sondage similaire à celui où apparaissait la volonté des Québécois d'avoir plus de choix
dans les programmes de morales et de religion, plutôt que le cours unique d'ECR
 imposé au nom de la diversité


Réseau Familles d'aujourd'hui militent pour
« faire ouvrir de nouvelles places en garderie plus vite. Nous ne montons pas aux barricades ou ne faisons pas de manifestations. Nous tenons simplement à rendre cette loi universelle vraiment universelle et surtout proposer aux parents des choix avantageux pour eux, pour le gouvernement mais surtout et avant tout, avantageux pour les enfants.

« C’est quoi un choix avantageux pour les enfants et les parents? C’est de laisser les parents décider s'ils opteront pour des services de garde éducatifs (CPE) et si tel est le cas, leur assurer une place. Si les parents choisissent de rester avec leur enfant durant ses premières années de vie, qu’ils puissent le faire et toucher une somme raisonnable (bien moindre que le coût d’une place en garderie) ou encore pouvoir embaucher une aide familiale ou une gardienne à la maison et bénéficier d’un crédit d’impôt équivalent sans devoir financer l’État durant près de 16 mois dans certains cas.

« Pour nous, ces options font appel au gros bon sens. Elles sont raisonnables quant aux coûts engendrés (qui devraient déjà être prévus compte tenu de la nature universelle du programme de services de garde éducatifs) mais surtout favorisent un milieu adapté à chaque enfant, répond à plusieurs préoccupations sociales comme les impacts des CPE sur les jeunes poupons, la conciliation travail-famille, les soins des enfants administrés par le parent directement, etc. »

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1 commentaire:

90 a dit…

Ce qui est bon pour les garderies : les laisser libres et ne pas les déclarer « illégales » par diktat de l'État bureaucratique devrait s'appliquer aux écoles.