mercredi 1 septembre 2010

Jeu de l'été — de quoi s'agit-il ?

Mise à jour

Réponse  aujourd'hui 1er septembre 2010 sur le site http://www.liberte-quebec.ca.

Réseau Liberté-Québec (RLQ) dévoilent aujourd’hui les détails sur cette nouvelle organisation vouée à promouvoir des idéaux de liberté et de responsabilité individuelle au Québec.

Six personnes se cachent actuellement derrière cette initiative et plusieurs autres qui s’ajouteront. Il s’agit de Joanne Marcotte (auteur du documentaire L'Illusion tranquille), Roy Eappen, Gérard Laliberté et bien sûr, les analystes (et journalistes) Éric Duhaime, Guillaume S. Leduc et Ian Sénéchal.

Bon point : Le Devoir a déjà critiqué ce mouvement alors qu'il n'a pas encore tenu sa première conférence.

Moins bon point : pas de mention de l'éducation sur le site de ce réseau, or l'éducation assure la reproduction des « élites » en place comme aurait dit Bourdieu.

Un événement de lancement est prévu le 23 octobre 2010.

Le nom du premier conférencier a été annoncé : il s’agit de Kory Teneycke, vice-président au développement de Quebecor et directeur de la nouvelle chaîne SUN TV News. Les autres conférenciers seront dévoilés au cours des prochaines semaines. Il faut s'inscrire   : le coût d’inscription passera de 25 $ à 35 $ après le 23 septembre 2010.

Pour s'inscrire, aller sur la page suivante.




Cette vidéo fait-le tour de l'internet québécois, nous l'avons relevée car par deux fois on y parle de l'école québécoise.

Selon vous, qui se cache derrière ce mouvement ?









Soutenons les familles dans leurs combats juridiques (reçu fiscal pour tout don supérieur à 50 $)

23 commentaires:

Garoche a dit…

Aguiche intéressante, qui montre bien qu'il manque quelque chose sur le plan politique au Québec, que le système est à gauche (Le Devoir, La Presse, Radio-Canada) et ne permet pas le développement normal (car il caricature l'opposition) l'apparition d'une force conservatrice (pas uniquement économique) au Québec.

Anonyme a dit…

Moi ça me dit qu'il y a un courant "libertarien" là-dessous. Pas réellement mon genre. Je suis pour moins d'État, mais je ne renie pas l'État.

Romanus a dit…

Anonyme est en faveur d'une laisse, mais d'une laisse plus longue... mais ca lui prend sa laisse. (Remarquez qu'il met une majuscule au mot état... quand vous lisez ce mot, faites une génuflexion)

Moi, je veux que l'état me sacre LA PAIX! Je peux me tenir debout! Je ne les veux plus dans mes jambes!

Sébas a dit…

Un message censuré ??? sur le site des analystes.ca ?


Voici le message qui ne semble pas apparaitre:

***

http://www.liberte-quebec.ca/

J'aime le titre.
C'est toujours ce terme qui m'accroche le plus: "LIBERTÉ" (ce n'est pas un concept de droite ou de gauche).

Pour moi la droite, le conservatisme, le traditionalisme, etc, en tout cas, tous ces termes qui sont dépeint comme étant réactionnaires par les médias étatiques, ne sont pas bons.

C'est justement la dynamique droite gauche qui nous mènent tous vers la dictature.

Selon moi, c'est le populisme "à la Tea Party" qui nous sauvera...
Pas le faux populisme "à la Hilter" (en passant, il n'a jamais été élu, et n'a jamais eu la faveur populaire, il a été nommé et n'a jamais écouté les demandes populaires...)

Par exemple:

Si demain matin, nous avions un référendum sur la Formule Rand, et sachant que 40% des Québécois sont syndiqués ( et que même parmi ceux-là, plusieurs sont contre cette formule), que pensez-vous sera le résultat ?

Et sur une victoire comme celle-là, tout est enfin possible !!!

La MAJORITÉ du Québec étouffe et il ne faut pas se fier aux médias pour nous renvoyer une image vraie de ce que pense le Québécois "moyen".

La droite corporatiste (hyper subventionnée et hyper influente au gvt), est aussi autant un problème que la gauche corporatiste (ou syndicaliste). Toutes ces "forces" travaillent contre chacun d'entre nous, contre la famille, contre nos droits, contre notre liberté, contre l'innovation, contre notre porte-feuille, contre l'excellence, contre l'instruction saine, etc.

La droite n'est pas plus l'avenir ou la solution à nos problèmes que la gauche.

C'est lorsque le populisme ou la majorité de la population se rangera derrière quelques simples idées (mais pas simplistes), COULÉES DANS LE BÉTON DE SA CHARTE, que nous retrouverons un Québec sain...

Lire ceci:

"Pour un mouvement populiste québécois : l’exemple des Tea Parties (texte intégral)"

Par Luc Gagnon
http://www.egards.qc.ca/3983.php

***

Et ce mouvement sera attaqué/détourné -par les droitistes ou les gauchistes-, comme l'est le mouvement TEA PARTY aux États-Unis et même au Canada.

Regardez ce qui est arrivé au 'Wild Rose Alliance' en Alberta:

http://www.letexteur.com/2010/06/28/le-wildrose-alliance-aura-dure-le-temps-des-roses/

http://www.nationalpost.com/Wildrose+members+reject+controversial+policies+annual+meeting/3208320/story.html

Sébas a dit…

Bon, je viens d'être publié:

http://lesanalystes.wordpress.com/2010/08/16/rlq-selon-vous-cest-quoi/#comment-3850

Fausse alerte !
;-)

p.s.
La liberté d'expression -dans le respect des personnes- est selon moi, ce qu'il y a de plus important pour faire "avancer" les bonnes idées et sortir du statu quo néfaste actuel.

Anonyme a dit…

Vous faites erreur, Romanus. Apprenez à connaître les libertariens. La convergence d'intérêts entre les catholiques ou chrétiens conservateurs au plan social, et les "anarcho-libéraux" au plan économique, ne saurait être que circonstancielle. À l'usage, vous vous en rendrez compte. Ces libertariens sont peut-être contre l'emprise de l'État en éducation, mais ils sont aussi opposés à ce qu'il se mêle de contrôler la moralité publique, donc en faveur du mariage gai au nom de la liberté, contre toute forme de politique familiale (même celle qui vous semblerait conforme aux principes de l'Église), etc. Je ne dis pas que ces gens n'apportent rien, mais il faut conserver une distance critique. Les croyants ont trop souvent été dupes de leurs supposés appuis. Exemple: contre la séparation du Québec parce que le PQ de Lévesque était supposément gauchiste, donc en faveur de Trudeau... qui nous a imposé sa Charte des droits en guise de monnaie d'échange, grâce à laquelle on a complètement déréglementé l'avortement au Canada et aboli la Loi sur le dimanche. Ça, c'est le type même de choses avec lesquelles les libertariens, contre l'État, sont parfaitement d'accord. Et vous?...

Sébas a dit…

@ Anonyme qui écrit:

"mais ils [les libertariens] sont aussi opposés à ce qu'il se mêle de contrôler la moralité publique, donc en faveur du mariage gai au nom de la liberté, contre toute forme de politique familiale (même celle qui vous semblerait conforme aux principes de l'Église), etc."


***

Justement, les conservateurs moraux ÉTATIQUES d'aujourd'hui (souvent des fondamentalistes autoritaires: est-ce que la bonne morale -ou l'amour de Jésus- s'impose ou s'apprend? Poser la question, c'est y répondre), ne sont pas des "descendants spirituels" de nos ancêtres, qui eux, avaient TOUJOURS UNE SAINE, pour ne pas dire SAINTE, méfiance de l'état.

Il ne faut se fier à quelques libertariens sur Antagoniste.ca qui sont en réalité des droitistes fiscaux et TRES anti-religion, pour se faire une idée d'un monde 100% libertarien. D'ailleurs je vais vous choquer, mais JÉSUS était et EST -à 100%- un libertarien !
;-)

Un vrai libertarien EST POUR LA BONNE MORALE. Et il sait que l'état est l'ennemi # 1 de cette bonne morale, de la famille, etc.

Un vrai libertarien est contre une définition -par l'état- du mariage, point. Un mariage pour un chrétien est une union entre 2 personnes, devant Dieu et la communauté, POINT.

Faudrait que les chrétens ou conservateurs moraux de tout acabit, lisent l'histoire du mariage en Occident. Ce que nous vivons n'a plus rien à voir avec un mariage entre votre épouse/époux, vous et Dieu. C'est devenu un mariage à 3; l'état étant le 3e partenaire: avez-vous lu le code civil -au niveau provincial- ou la loi entourant le mariage et le divorce -au fédéral? Cela ressemble drôlement à du MARXISME. Et c'est ça qui devrait vous préoccupez, car c'est surtout ça qui "tue" le mariage (et plein d'autres interventions socioconstructivistes de l'état dans nos vies; comme les cpe).

Dans un pays où l'état ne définit plus le mariage et ou l'état n'intervient plus dans nos vies, pensez-vous que si .0001% des homos décident de s'unir juridiquement (en appelant ça ce qu'ils veulent), cela va être 1, être connu? et 2, nuire à la moralité du "pays"? Par contre, dans le cadre étatique, juridique et médiatique actuel, je reconnais que cela est de la pure folie d'endosser le mariage homo (comme si nous pouvions marier 2 choses semblables).

Mais, êtes-vous seulement capable de vous poser ce genre de question, où êtes-vous un autre de ces dogmatiques pro-état qui croyez que l'état est la solution à tout?

Et que dirait Jésus à propos de tout ça? Il demanderait à Rome ou à Jérusalem des lois plus sévères?

Pourtant, ils dénonçaient les -hypocrites- pharisiens qui demandaient tjrs plus de lois et Il était découragé par Judas, qui attendait un sauveur/réformateur politique...

Sébas a dit…

SUITE:

Et comment les chrétiens dit primitifs, ont-ils vécu pendant 3-4 siècles, ceux-là qui étaient justement BEAUCOUP plus "proches" du SAINT ESPRIT, que le sont nos -souvents hypocrites- conservateurs moraux autoritaires d'aujourd'hui? Et quels étaient les fruits sociétaux de ces chrétiens? Nombreux et bons et pourtant, ils ne demandaient JAMAIS à "Rome" de définir leurs mariages ou de -par exemple- de payer pour des programmes dit pro-familles...

La question centrale et philosophique que tous les conservateurs moraux doivent se poser: comment arriver à ce genre de société? Par l'état ou SANS état.

Indice?

Si demain matin l'état ne payait plus du tout pour l'avortement, et/ou arrêtait d'en faire la promo dans TOUTES les écoles/clsc, etc étatiques, pensez-vous que les gens vont faire plus attention ? Ce n'est qu'un exemple...

Et pour les interventions étatiques dans des politiques dites familiales : ELLES SONT TOUTES NÉFASTES et je peux facilement le prouver et je l'ai d'ailleurs fait souvent ici. Elles détruisent la famille traditionnelle !

Ah que je suis tanné de me répéter !

p.s.
Les libertariens savent que toutes les interventions dans nos vies sont -à terme- beaucoup plus néfastes que bonnes (même les mieux intentionnés). Ce que nous proposons, c'est AUCUNES INTERVENTIONS DANS NOS VIES.

C'est ce que nos ancêtres ont vécu pendant des siècles et c'est ça qui faisait que les gens dépendaient les uns sur les autres (au lieu de dépendre de l'état-nounou), ET SUR DIEU !

Aujourd'hui, pourquoi se forcer?, comment acquérir de la sagesse?, et la crainte de Dieu?, si l'état est toujours là pour chacun d'entre nous et ce, dans TOUS les domaines de nos vies.

p.s.
Vous devriez vraiment lire et méditer Tocqueville. Votre inconscience est sidérante.

Sébas a dit…

Cadeau que pour vous:

A MÉDITER:

La prédiction de Tocqueville:

Un lecteur note un passage célèbre du maître ouvrage de Tocqueville, De la démocratie en Amérique, tiré du chapitre intitulé : « Quelle espèce de despotisme les nations démocratiques ont à craindre ». La prévision de l’écrivain est si juste, sa description correspond si bien à notre modernité que l’on serait tenté de parler de divination. Il s’agit de beaucoup mieux : une éblouissante analyse des causes permettant d’anticiper les effets :

« Je veux imaginer sous quels traits nouveaux le despotisme pourrait se produire dans le monde. Je vois une foule innombrable d’hommes semblables et égaux qui tournent sans repos sur eux-mêmes pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs, dont ils emplissent leurs âmes. Chacun d’eux, retiré à l’écart, est comme étranger à la destinée de tous les autres : ses enfants et ses amis particuliers forment pour lui toute l’espèce humaine ; quant au demeurant de ses concitoyens, il est à côté d’eux, mais il ne les voit pas ; il les touche et ne les sent point ; il n’existe qu’en lui-même et pour lui seul, et, s’il lui reste encore une famille, on peut dire du moins qu’il n’a plus de patrie.

Au-dessus de ceux-là s’élève un pouvoir immense et tutélaire, qui se charge seul d’assurer leur jouissance et de veiller sur leur sort. Il est absolu, détaillé, régulier, pré-voyant et doux. Il ressemblerait à la puissance paternelle si, comme elle, il avait pour objet de préparer les hommes à l’âge viril ; mais il ne cherche, au contraire, qu’à les fixer irrévocablement dans l’enfance ; il aime que les citoyens se réjouissent, pourvu qu’ils ne songent qu’à se réjouir. Il travaille volontiers à leur bonheur ; mais il veut en être l’unique agent et le seul arbitre ; il pourvoit à leur sécurité, prévoit et assure leurs besoins, facilite leurs plaisirs, conduit leurs principales affaires, dirige leur industrie, règle leurs successions, divise leurs héritages, que ne peut-il leur ôter entièrement le trouble de penser et la peine de vivre ?

C’est ainsi que tous les jours il rend moins utile et plus rare l’emploi du libre arbitre ; qu’il renferme l’action de la volonté dans un plus petit espace, et dérobe peu à peu à chaque citoyen jusqu’à l’usage de lui-même. L’égalité a préparé les hommes à toutes ces choses : elle les a disposés à les souffrir et souvent même à les regarder comme un bienfait.

Après avoir pris ainsi tour à tour dans ses puissantes mains chaque individu, et l’avoir pétri à sa guise, le souverain étend ses bras sur la société tout entière ; il en couvre la surface d’un réseau de petites règles compliquées, minutieuses et uniformes, à travers lesquelles les esprits les plus originaux et les âmes les plus vigoureuses ne sauraient se faire jour pour dépasser la foule ; il ne brise pas les volontés, mais il les amollit, les plie et les dirige ; il force rarement d’agir, mais il s’oppose sans cesse à ce qu’on agisse ; il ne détruit point, il empêche de naître ; il ne tyrannise point, il gêne, il comprime, il énerve, il éteint, il hébète, et il réduit enfin chaque nation à n’être plus qu’un troupeau d’animaux timides et industrieux, dont le gouvernement est le berger.

J’ai toujours cru que cette sorte de servitude, réglée, douce et paisible, dont je viens de faire le tableau, pourrait se combiner mieux qu’on ne l’imagine avec quelques-unes des formes extérieures de la liberté, et qu’il ne lui serait pas impossible de s’établir à l’ombre même de la souveraineté du peuple. »

*

Ne dirait-on pas une peinture de notre société ?

Anonyme a dit…

Le Christ a dit: "Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu". Saint Pierre a écrit: "Soyez donc soumis à toute institution humaine à cause du Seigneur, soit au roi, comme souverain, soit aux gouverneurs, comme délégués par lui pour faire justice des malfaiteurs et approuver les gens de bien." (Bible Crampon, 2ème ép, ch. 2, 13-14).

Soyez assuré que les libertariens les plus radicaux tiennent eux aussi à ce que l'État "fasse justice des malfaiteurs" en garantissant la propriété privée. (De quelle autre garantie pourrait-elle d'ailleurs se prévaloir? La liberté du port d'armes?...)

Lacordaire, restaurateur de l'ordre dominicain en France après la Révolution: "Entre le fort et le faible, entre le riche et le pauvre, entre le maître et le serviteur, c’est la liberté qui opprime, c’est la loi qui affranchit."

Sébas a dit…

@ Anonyme

Premièrement, votre capacité de passer par dessus le sens de mes messages et changer de sujet, est sidérante. Vous semblez complètement obnubilé par l'autoritarisme étatique et votre dépendance à l'état...

Voici quelques FAITS pour vous:

1)
Dieu, Jésus, sa Vie, Son Saint Esprit, et LEUR Voix/Voie/Message/etc, SONT radicaux, justement pour faire advenir le "Royaume de Dieu" sur terre... et justement (dsl la répétition), parce que les hommes ne vivent pas comme au ciel.

Mais pour les "centristes", "sages" et "hypocrites" -pharisiens?- qui s'appuient sur la loi -notez le petit "l"-, des hommes.... son Message/Esprit, sont dépassés ?.

2)
Ce qui est sage aux yeux des hommes est folie au Yeux de Dieu...

***

Pour ça:

"Le Christ a dit: "Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu".

1)
Comme trop de chrétiens (fondamentalistes?), d'aujourd'hui, vous sortez une phrase de son contexte biblique... et cela en change le sens.

2)
Et pour de nombreux chrétiens AUTORITAIRES et ÉTATIQUES, d'aujourd'hui, cela ne veut plus du tout dire la même chose qu'au temps de Jésus. Les premiers chrétiens vivaient-ils selon les valeurs romaines. Poser la question, c'est y répondre et un peu d'histoire, ne vous ferait pas de tort...

***

Pour ça:

"Saint Pierre a écrit: "Soyez donc soumis à toute institution humaine à cause du Seigneur, soit au roi, comme souverain, soit aux gouverneurs, comme délégués par lui pour faire justice des malfaiteurs et approuver les gens de bien." (Bible Crampon, 2ème ép, ch. 2, 13-14)."

1)
J'y suis SOUMIS. Je suis contre la révolution politique/armée/etc (comme Judas), mais pour la "révolution des coeurs/esprits"... comme Jésus d'ailleurs.

2)
Mais est-ce que cela veut dire d'endosser "tout" (au niveau de notre conscience et de notre façon de vivre), de cet état ou de vivre selon les valeurs de cet état?

3)
Et encore une fois: comment les chrétiens, dit primitifs vivaient-il ça ? Indice: Ils se faisaient "bouffer par les lions" parce qu'ils NE vivaient PAS selon les valeurs de l'état romain...
;-)

***

Pour ça:

"Soyez assuré que les libertariens les plus radicaux tiennent eux aussi à ce que l'État "fasse justice des malfaiteurs" en garantissant la propriété privée. (De quelle autre garantie pourrait-elle d'ailleurs se prévaloir? La liberté du port d'armes?...)"

1)
Comme tous les pharisiens (?), vous êtes un habile en parole/hypocrisie, mais peu habile en compréhension... véritable. Vos propos sont réducteurs de façon intentionnelle...

Le libertarianisme est beaucoup plus qu'une simple protection de la propriété privée...

2)
Le respect de la propriété privée ("NE PAS VOLER", VOUS VOUS SOUVENEZ?), est une des base de notre civilisation Judéo-chrétienne et vous, vous méprisez ça dans une tentative de "salir" le libertarianisme? L'art de se tirer dans "l'pied".

3)
La base du libertarianisme est la BASE de ce que Jésus nous a enseigné: le RESPECT de la vie, la non-agression, la coopération VOLONTAIRE, l'amour VOLONTAIRE, etc.


4)
INSTRUISEZ-VOUS sur le libertarianisme et comparez ça au christianisme:

"Philosophie de la Liberté"
http://www.youtube.com/watch#!v=In033ti5ryY

Sebas a dit…

@ Anonyme

Suite et fin:

Pour ça:

"Lacordaire, restaurateur de l'ordre dominicain en France après la Révolution: "Entre le fort et le faible, entre le riche et le pauvre, entre le maître et le serviteur, c’est la liberté qui opprime, c’est la loi qui affranchit."

1)
La loi et la liberté dont il est question ici, quelles sont leur nature exacte ?

2)
La Loi et Liberté (notez les 'L' majuscules), de Jésus/Dieu, est-ce les mêmes que la loi/liberté des hommes ? Selon, les Évangiles, la loi et la politique (des pharisiens?), sont-ils bons ou mauvais par nature ?

3)
Et si vous méditez la Vie de Jésus, ou voyez-vous qu'Il dit que la Liberté (pas la fausse liberté des hommes), est oppressive? A-t-il seulement demandé une fois que les "pharisiens" augmentent les lois? A-t-il dit que la vertu passait pas la loi (des hommes) ? Pensez à Marie Madeleine...

Et l'Amour dans la Liberté, n'est-ce pas la "Loi" # 1 de Dieu ? Peut-on être/vivre dans l'amour, si la loi des hommes oppriment (elle le fait toujours d'ailleurs!) ? Ou a-t-il dit que les royaumes terrestres pouvaient être bons, être libérateurs ? Etc.

4)
Luc 4:

"Le diable, l’ayant élevé, lui montra en un instant tous les royaumes de la terre, et lui dit : Je te donnerai toute cette puissance, et la gloire de ces royaumes ; car elle m’a été donnée, et je la donne à qui je veux."

p.s.

Maintenant, j'espère que vous allez dialoguer (ou au moins méditer avant de répondre)... parce que pour l'instant, vous semblez avoir un "agenda": changer le sens des écritures et nous IMPOSER tjrs plus d'état dans nos bobettes: ce qui est justement la SOURCE PRINCIPALE de la décadence actuelle.

LISEZ/MÉDITEZ TOCQUEVILLE, 'boyenne' !
;-)

Nous n'avons JAMAIS eu autant de "pharisiens", et lois/règlements pour nous dire comment vivre; jamais eu autant d'état dans nos bobettes, et jamais eu autant de décadence... sauf au temps des Romains, et eux aussi -justement- vivaient les 'joies' de l'état-providence... de l'état bureaucratique et de la décadence:

Les mêmes causes donnent tjrs les mêmes effets !

Sebas a dit…

@ Anonyme

Suite et fin:

Pour ça:

"Lacordaire, restaurateur de l'ordre dominicain en France après la Révolution: "Entre le fort et le faible, entre le riche et le pauvre, entre le maître et le serviteur, c’est la liberté qui opprime, c’est la loi qui affranchit."

1)
La loi et la liberté dont il est question ici, quelles sont leur nature exacte ?

2)
La Loi et Liberté (notez les 'L' majuscules), de Jésus/Dieu, est-ce les mêmes que la loi/liberté des hommes ? Selon, les Évangiles, la loi et la politique (des pharisiens?), sont-ils bons ou mauvais par nature ?

3)
Et si vous méditez la Vie de Jésus, ou voyez-vous qu'Il dit que la Liberté (pas la fausse liberté des hommes), est oppressive? A-t-il seulement demandé une fois que les "pharisiens" augmentent les lois? A-t-il dit que la vertu passait pas la loi (des hommes) ? Pensez à Marie Madeleine...

Et l'Amour dans la Liberté, n'est-ce pas la "Loi" # 1 de Dieu ? Peut-on être/vivre dans l'amour, si la loi des hommes oppriment (elle le fait toujours d'ailleurs!) ? Ou a-t-il dit que les royaumes terrestres pouvaient être bons, être libérateurs ? Etc.

4)
Luc 4:

"Le diable, l’ayant élevé, lui montra en un instant tous les royaumes de la terre, et lui dit : Je te donnerai toute cette puissance, et la gloire de ces royaumes ; car elle m’a été donnée, et je la donne à qui je veux."

p.s.

Maintenant, j'espère que vous allez dialoguer (ou au moins méditer avant de répondre)... parce que pour l'instant, vous semblez avoir un "agenda": changer le sens des écritures et nous IMPOSER tjrs plus d'état dans nos bobettes: ce qui est justement la SOURCE PRINCIPALE de la décadence actuelle.

LISEZ/MÉDITEZ TOCQUEVILLE, 'boyenne' !
;-)

Nous n'avons JAMAIS eu autant de "pharisiens", et lois/règlements pour nous dire comment vivre; jamais eu autant d'état dans nos bobettes, et jamais eu autant de décadence... sauf au temps des Romains, et eux aussi -justement- vivaient les 'joies' de l'état-providence... de l'état bureaucratique et de la décadence:

Les mêmes causes donnent tjrs les mêmes effets !

Anonyme a dit…

Pour quelqu'un qui invoque l'enseignement du Seigneur, vous êtes très prompt à utiliser les arguments "ad hominem" et à porter des jugements à l'emporte-pièce sur vos interlocuteurs... On croirait avoir affaire à une version inversée de l'abbé Gravel, toujours en train de traiter d'intégristes les catholiques qui osent le contredire. Je le sais; j'ai souvent débattu avec lui. Je le note pour vous faire observer que vous non plus, vous n'avez pas la moindre idée de ce que je pense réellement et vous y allez par extrapolation pour défendre votre chapelle bec et ongles.

Et en plus, pour vous avoir lu un peu partout, vous ne savez pas convaincre; vous devriez sérieusement vous pratiquer à l'art de la concision.

P.S.-1: J'ai lu Tocqueville, ainsi que le livre que Pierre Manent lui a consacré et qui est remarquble (un dangereux gauchiste, ce Pierre Manent - le connaissez-vous?). Vous devriez savoir que Tocqueville est susceptible d'interprétations variées qui le tirent dans des directions assez contrastées. Pour ma part, je pense que la citation que vous en avez fait est plus appropriée aux USA d'aujourd'hui (pays social-démocrate comme chacun sait) qu'aux autres pays d'Occident. Ce dont il parle, à mon sens (je ne prétends pas détenir la vérité là-dessus, moi), c'est tout particulièrement d'une démocratie formellement achevée (la Constitution américaine) oû l'existence de garanties officielles a presqu'éteint le sens de la responsabilité des citoyens envers la chose publique. En témoignent le taux de participation anémique aux élections (en bas de 50%) et les réflexions d'un jeune noir américain que j'ai croisé il y a quelques années: farouchement opposé à Bush... et totalement abstentionniste.

P.S.-2: Vous savez, les paradoxes existent et la pensée nuancée ne signifie pas forcément la mollesse de pensée. Exemple: au grand séminaire américain de la Fraternité Saint-Pierre (traditionnaliste), j'ai connu un certain nombre d'ex-militaires parmi les séminaristes et un ancien aumônier de l'armée lors de la guerre du Golfe en 1990, évidemment conservateurs, très patriotes, et pourtant résolument hostiles à la guerre en Irak. Vous voyez ce que je veux dire?

Perpétue a dit…

Qui est derrière ce vidéo? Je propose Éric Lanthier.

Sébas a dit…

@ Anonyme:

J'avoue que j'ai été raide avec vous et vous avez raison de dire ça:

"et à porter des jugements à l'emporte-pièce sur vos interlocuteurs.."

Je reconnais que je ne suis pas parfait et je sais que la perfection n'est pas de ce monde, et c'est pour ça que je ne comprends pas des personnes comme vous, qui se croient -assez- parfaite (?), ou qui croit que d'autres (i.e. des pharisiens?), sont assez parfaits, pour IMPOSER À TOUS, LA BONNE MORALE...

Et de toute façon, lorsque c'est IMPOSER, cela n'est pas profond/compris réellement, et le backclash -sociétal- est toujours virulent...

C'est seulement par l'intérieur (par le coeur des hommes), que la société peut réellement changer. En tout cas, c'est ce que j'ai compris de la Vie de Jésus et du message des Évangiles. Pas vous?

C'est pour ça que je suis "libertarien-chrétien" au plan humain et "chrétien-libertarien" au plan spirituel.

***

Et rien au monde me lève plus le coeur que l'hypocrisie (des pharisiens, à ch'fal sur la loi?), ou ceux qui utilisent leur talent -avec les mots- pour ridiculiser leur "adversaire"... ou les pensées de leurs "adversaires".

Vous êtes plus habile que moi avec les mots, mais pour ce qui est de la compréhension RÉELLE du monde qui nous entourent ou pour la compréhension RÉELLE des concepts de ce monde, là, tout ce qu'il vous reste c'est;

1)
Changer le sens des écritures: Me*de, pas une seule fois vous parlez D'AMOUR ET DE LA LIBERTÉ APPORTÉ PAR JÉSUS... pour chacun d'entre nous! N'est-ca pas ça l'essentiel? N'est-ce pas LE message le plus Divin qui soit, le plus "révolutionnaire" qui soit?

Et quels sont les "fruits" sociétaux d'une telle transformation: sûrement pas une théocratie ou une dictature... et pensez aux premiers chrétiens; ils vivaient à 100% comme des "libertariens-chrétiens".
;-)

2)
Vous aimez 100x plus l'autorité qui impose la vertu, que la libération de nos passions par la compréhension et par l'Esprit Saint et les grâces Divines. Avez-vous seulement encore la foi en Jésus? J'ai vraiment l'impression de discuter avec un pharisien ou un adepte de l'Ancien Testament.

3)
Vous changez de sujet, et ne répondez PAS DU TOUT directement à mes arguments. C'est comme si je discutais avec un ordinateur;

"autorité, autorité, loi des hommes, la liberté ce n'est pas bon, bip-bip, c'est écrit dans les écritures, 1010101"

***

Et parlons-en de l'Abbé Gravel:

Ici même sur ce site, j'ai lu des attaques vicieuses contre lui que je n'endosse pas du tout. Est-ce que cela veut dire que j'endosse ses enseignements? Pas du tout. Il faut aimer le pécheur (aimer nos "ennemis"?), et dénoncer le péché, sinon nous ne sommes pas mieux qu'eux. Selon les écritures, c'est l'Amour qui départagera chacun d'entre nous... pas notre connaissance (ou manque de...), ou nos habilités.

Mais pour les Abbé Gravel de ce monde: si vos enseignements nous éloignent de cet Amour et/ou son faux... (euh, je laisse Dieu faire son œuvre...)
;-)

Et comme je l'ai écrit au débat, je reconnais que j'ai été raide avec vous et je m'en excuse. Par contre, j'ai surtout répondu à vos ARGUMENTS directement. Ce que vous NE FAITES PAS (ou très peu).



***

Pour ça:

"vous n'avez pas la moindre idée de ce que je pense réellement"

Au contraire, cela fait tellement d'année que je lis des débats et que je m'engage dans de tel débats, que je sais presque à 100% comment vous pensez. Ce n'est pas de la télépathie (ou même pas un don?), c'est vraiment tout bonnement de l'expérience. D'ailleurs, toutes vos réponses "trahissent" votre pensée profonde et votre personnalité.

Et les miennes, encore plus...
;-)

Jouons donc cartes sur table !

La suite dans le prochain message...

Sébas a dit…

Suite:

@ Anonyme:

"Et en plus, pour vous avoir lu un peu partout, vous ne savez pas convaincre; vous devriez sérieusement vous pratiquer à l'art de la concision."

Merci pour le conseil (s'il est sincère):

Je n'essaye pas de convaincre (sic), mais de démontrer (chercher), la réalité en tout.

Si mes réflexions ne touchent personne, à la limite je m'en fou, je fais mon possible et je laisse les "fruits" (si fruits il y a), à Dieu.


Pour ça:

"J'ai lu Tocqueville, ainsi que le livre que Pierre Manent lui a consacré et qui est remarquble (un dangereux gauchiste, ce Pierre Manent - le connaissez-vous?). Vous devriez savoir que Tocqueville est susceptible d'interprétations variées qui le tirent dans des directions assez contrastées."

*

Non je ne connais pas Pierre Manent et oui je suis d'accord que plusieurs interprétations sont possibles. COMME À PEU PRÈS TOUT DANS LE MONDE, y compris les Évangiles.
;-)

Sauf que là encore, vous ne discutez pas directement de l'extrait que j'ai placé.

J'avoue que ma patience à ses limites et les p'tits jeux de ping-pong d'intellos, peu pour moi.

J'ai été à l'université, et j'en ai encore des souvenirs douloureux. Aujourd'hui, ce genre de discussions/jeux, me donne carrément le goût de vomir.

Alors je vous laisse avec vos idées sur les interprétations possibles (de ce livre), et je vais discuter du FOND de cet extrait, avec ceux qui le veulent bien...
;-)

10-4?

***

Pour ça:

"Pour ma part, je pense que la citation que vous en avez fait est plus appropriée aux USA d'aujourd'hui (pays social-démocrate comme chacun sait) qu'aux autres pays d'Occident. Ce dont il parle, à mon sens (je ne prétends pas détenir la vérité là-dessus, moi), c'est tout particulièrement d'une démocratie formellement achevée (la Constitution américaine) oû l'existence de garanties officielles a presqu'éteint le sens de la responsabilité des citoyens envers la chose publique. En témoignent le taux de participation anémique aux élections (en bas de 50%) et les réflexions d'un jeune noir américain que j'ai croisé il y a quelques années: farouchement opposé à Bush... et totalement abstentionniste."

*

Peut-être, peut-être pas, mais vous passez par dessus l'extrait que j'ai placé pour entamer un AUTRE débat, qui oui, serait peut-être intéressant, mais pour l'instant j'aimerais bien que nous restions "collés" au sujet principal:
La LIBERTÉ face à l'état et/ou les conséquences d'un ÉTAT TOUT PUISSANT dans nos vies, ICI MÊME AU "QUÉBEC", en 2010.

***


Pour ça:

"P.S.-2: Vous savez, les paradoxes existent et la pensée nuancée ne signifie pas forcément la mollesse de pensée. Exemple: au grand séminaire américain de la Fraternité Saint-Pierre (traditionnaliste), j'ai connu un certain nombre d'ex-militaires parmi les séminaristes et un ancien aumônier de l'armée lors de la guerre du Golfe en 1990, évidemment conservateurs, très patriotes, et pourtant résolument hostiles à la guerre en Irak.

Vous voyez ce que je veux dire?"

*

Non pas du tout, je ne comprends pas ou vous allez avec vos skis.
;-)

Je cherche LA réalité qui existe en tout, mais je sais que notre manque de connaissance, notre subjectivité, nos fausses croyances, notre haine ou nos émotions, etc, nous empêchent de LA saisir et/ou de LA décrire à 100%.

Par contre, jamais je ne cesserai s'essayer de la trouver/décrire et ce, en tout. Et même si cette ré.lité me condamne, je vais me "ranger" derrière elle...

Sébas a dit…

Petite correction:

"Peut-être, peut-être pas, mais vous ***UTLISEZ*** l'extrait que j'ai placé pour entamer un AUTRE débat,"

Et pour les trop nombreuses fautes: désolé.

Anonyme a dit…

Citation:

"Avez-vous seulement encore la foi en Jésus? J'ai vraiment l'impression de discuter avec un pharisien ou un adepte de l'Ancien Testament."

Question: pour qui vous prenez-vous?

L'extrémiste ici, ce n'est pas moi. La mouvance libertarienne fantasme sur la mort de l'État (comme Marx, tiens!), mais là oû elle a pu imposer ses idées (qui tirent essentiellement à l'économique, et c'est là mon grief essentiel depuis le début, ce que vous n'avez même pas remarqué, tout occupé à dérouler votre argumentaire sans égard à la personne qui s'exprime en face), elle n'a pas dédaigné l'État, au contraire. Exemple: le Chili de Pinochet.

Vous viendrez dire après ça à un lecteur de Tocqueville et Manent qu'il est un "autoritariste". Vous ne comprenez pas? Eh bien, cela ne m'étonne pas. Votre niveau de raisonnement est du même ordre que celui des gens qui disent qu'aimer l'Église revient à approuver les abus du clergé.

Sébas a dit…

Bon, bon, bon,

C'est drôle que vous me demandiez "pour qui je me prends?.. parce que je me demandais la même chose par rapport à vous et ce, depuis le tout début.


Non seulement vous êtes pauvre en compréhension des divers concepts qui existent, mais en rhétorique, vous êtes encore plus pauvre/drôle.
;-)

1)
Vous avez dit vous-même que vous me lisiez un peu partout... donc vous saviez exactement ce que vous faisiez... en salissant nos idées et les libertariens.

2)
Je peux comprendre que vous avez peur (j'ai déjà eu peur de ce genre d'idées), parce que vous ne comprenez rien à rien de tout ça, mais de la à devenir aussi simpliste dans vos répliques et attaques, il y a une marge.

3)
C'est vous qui êtes venu ici dire que les libertariens sont des anarcho-libéraux et des radicaux.

a) Apprenez donc la différence entre anarcho-libéraux et libertariens.

b) Et si vous aviez encore la foi, vous réaliseriez que l'action du SAINT ESPRIT dans le monde, est beaucoup plus 'radicale' que le courant libertarien.


4)
Enfin, c'est vous qui ne dialoguer pas, qui dites savoir de quoi il en retourne, etc, et pourtant à lire vos répliques et tites attaques dignes d'un journaliste dans les médias de masse... (Chili? libertarien? Hahahaha ---> Aucune, mais vraiment aucune des idées appliquées là-bas étaient libertariennes. Hong Kong peut-être et la Suisse aussi, mais surtout le Canada et les États-Unis de nos ancêtres. Ça c'était presque 100& libertariens. Vous voyez comme cela n'est pas dangereux?)...

En tout cas, à votre place j'étudierais tout ça avant de démontrer à tous votre ignorance et votre incapacité à débattre de ces idées (ou des concepts en général).

C'est triste tout ça, parce que nous avons exactement les mêmes croyances... et probablement les mêmes désirs concernant la "société"...

En tout cas, je constate que vous ne voulez pas échanger, vous voulez démolir des idées que vous NE comprenez PAS. J'ai déjà été comme vous, lorsque je me pensais 'bon', 'fort' et 'dans la bonne voie'.

L'Esprit Saint semble plus souffler sur les humbles et faibles, et ceux qui se reconnaissent en tout temps qu'ils sont tout plein de défauts...
;-)


p.s.

Si jamais vous êtes encore capable de répondre directement à une question ou à une idée, pourriez-vous me dire pourquoi -selon vous- l'Occident s'est déchristianisé? I.e. LA raison principale, selon vous....

Sébas a dit…

A lire et surtout à méditer:

« Il est indéniable que l’Église catholique a toujours eu des privilèges immenses comme institution en Nouvelle-France et au Québec. Sauf qu’il y a tout de même une distinction importante à faire entre pression sociale et coercition légale, distinction que les anticléricaux militants qui prétendent que les curés dominaient tout et que les évêques n’étaient que de petits dictateurs ont intérêt à brouiller. Dans une société où la majorité est composée de fervents catholiques et où la religion exerce une très forte influence intellectuelle, culturelle, morale, sociale et même politique, ceux qui refusent de suivre le troupeau vont se faire dénoncer le dimanche à l’église et ostraciser par la bonne société. Sauf qu’il n’y a pas un homme armé de l’État, comme mon ami Pierre Lemieux se plaît à le dire, au bout du processus de « répression », comme lorsqu’il s’agit de faire respecter les lois du gouvernement. Il y a simplement des excommunications, des dénonciations, des airs bêtes de voisins et de parents, des dénis d’inhumation en terre consacrée, des contrats perdus, etc. D’un point de vue libertarien, la différence est cruciale et devrait être faite. Ceux qui ont subi cet ostracisme n’arrêtent pas de nous parler du Québec traditionnel comme d’une société totalitaire, sauf que dans la loi, les gens étaient plus libres que nous et pouvaient tout de même décider de ne pas suivre le troupeau et les mandements s’ils étaient prêts à en payer les coûts social et économique. Cette exagération du pouvoir de l’Église – et la confusion qui en découle – est à la source de bien des problèmes d’interprétation historique».

-Martin Masse
Québécois Libre.

http://www.quebecoislibre.org/001209-14.htm

Sébas a dit…

Je conseille à tous de lire ce très bon texte d'un chrétien (je spécifie qu'il est chrétien pour ceux qui accordent plus d'importance aux apparences/titres, qu'aux fruits réels de nos actions/pensées et cela inclus les fruits de nos idées)...

Extraits:


La conjecture Bonobo:

"Du sexe et des bananes

Les bonobos ont beaucoup d’activités sexuelles. Non seulement s’accouplent-ils fréquemment, mais ils se masturbent beaucoup et ont même des relations homosexuelles. Les mâles et les femelles ont des partenaires sexuels multiples. Il n’y a aucune exclusivité sexuelle chez les bonobos. De plus, les pratiques de type homosexuelles et lesbiennes y sont fréquentes et répandues!"

(...)

"Le modèle fondamental de la famille bonobo est la famille monoparentale sous la charge directe d’une femme dont le soutien financier provient des retenues financières assurées par l’état et obtenues grâce à l’action politique du collectif. Quand il y a un homme à la maison, c’est bien mais ce n’est pas essentiel. L’homme est un ajout à la famille bonobo de base. Celle-ci est d’abord constituée d’une femme, de ses enfants (provenant d’un ou de plusieurs conjoints), de l’état et du collectif. Dans un sens la femme elle-même est comme une grande soeur dans sa famille alors que les rôles de papa et de maman sont remplis par l’appareil judiciaire de l’état et le collectif des femmes de pouvoir respectivement. Quant aux hommes bonobo individuels, ils gravitent autour de cette unité, en tant que maris, copains, amis de cœur, collègues et autres.

Dans le modèle bonobo, les hommes vont librement d’une liaison à l’autre. Leurs revenus pourvoient aux familles qu’ils ont quittées et ils jouent le rôle de pères dans les familles qu’ils ont retrouvées. Pourtant, l’ordre règne car, derrière ces unions romantiques et cesw désunions émotives, la machinerie de l’état, conditionnée par le collectif gère le tout.

Depuis la révolution sexuelle, l’appareil gouvernemental a résolument pris parti pour le modèle bonobo. Ses lois, motivés par des impératifs de justice sociales, pénalisent indirectement les familles de type traditionnelles et subventionnent directement les comportements de type bonobo.

La modèle de comportement bonobo est maintenant entièrement dominant dans les milieux dits progressistes, les facultés de sciences sociales, les médias, et les milieux artistiques. Il est le modèle dominant des sociétés urbaines. Dans certains cas, la société entière est de ce type. On peut dire par exemple, que la société québécoise est une société bonobo.

La distinction entre les deux modèles de comportement bonobo et traditionnel est si nette, que, si nous étions des animaux, nous appartiendront à deux espèces différentes!"


Texte complet (ça vaut vraiment la peine de lire ce texte):

http://jeantardy.net/index.php/fr/essais/3-publiees/20-conjecture-bonobo

Sébas a dit…

Il y a une petite erreur dans ma première phrase:

"(je spécifie qu'il est chrétien pour ceux qui accordent plus d'importance aux apparences/titres, qu'aux fruits réels de nos actions/pensées et cela inclus les fruits de nos idées exprimées)..."