On se rappellera que de nombreux opposants à ce cours, imposé à tous les élèves du Québec depuis la première année du primaire, se plaignaient du grand nombre de concepts introduits superficiellement et sur un pied d'égalité dès le plus jeune âge. Ces détracteurs craignaient que le cours soit « mélant ».
Fait-il voir un aveu de ce caractère confus et superficiel dans le titre de la page 51 : « Méli-Mélo »?
Au fait qui est Muhammad ? Les dictionnaires français donnent depuis des siècles Mahomet. Mais bon, le Québec est toujours « en avance » d'une mode. Il semble en tirer un certain orgueil.
On devrait apprendre aux enfants à parler anglais et à écrire en chinois et arabe.
RépondreSupprimerÇa va être super!